Copenhage pardonne à son terroriste.

A Copenhage des dizaines de bouquets de fleurs ont été déposées à un endroit plutôt inattendu : la rue où l'auteur présumé des deux attaques meurtrières a été abattu par la police dans la nuit de samedi à dimanche (Un Danois venu fleurir les lieux a expliqué son geste par le besoin de «pardon»...)

Puis on apprend que de jeunes musulmans venus en nombre ont détruit cet autel car "il n'est pas dans la tradition musulmane de déposer des fleurs en mémoire des morts", dénonçant au passage une société danoise qu'ils jugent discriminatoire à l'égard des musulmans et à l'inverse trop protectrice à l'égard des juifs...

[www.20minutes.fr]

Le jeune musulman est élevé dès le berceau, de façon explicite, ou de façon implicite, sans l'air d'y toucher, par mille petits détail répétés, à se croire supérieur à tout non musulman et à se croire tout permis contre eux. Cette culture du droit à l'impunité dure depuis quatorze siècles. On imagine à quel point elle a pu laisser des traces indélébiles.

Le «mémorial Charlie» à nouveau vandalisé place de la République

A Copenhague, ils étaient plus de 500 à assister aux obsèques du bourreau (impressionnantes obsèques d'ailleurs).

Inquiétant phénomène: en même temps que les gens commencent d'ouvrir les yeux, les frères et sœurs affichent ouvertement leur soutien à la soldatesque musulmane. Le visage de la guerre se découvre — on y voit certes plus clair, les excusologues et les apôtres de la cause sociale en rabattent un peu, mais on a rarement eu aussi peur.

Décidément, les langues se délient:


According to a 2013 Pew survey, many Muslims in some countries—25 percent in Egypt, 27 percent in Malaysia, 33 percent in Lebanon, and 62 percent in the Palestinian territories— think suicide bombing against civilian targets is often or sometimes justified.

En Malaisie! qu'on nous présente régulièrement comme un must de démocratie musulmane. L'Indonésie est également citée en exemple, un pays où l'on s'assure de la virginité des futures gendarmettes et où la police des mœurs n'a rien à envier à la police de la Vertu iranienne.

[www.causeur.fr]