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Communiqué n° 1874, lundi 5 octobre 2015
Sur les désastres du Midi provençal

Comme dirait le vice-chancelier allemand Zigomar, la quantité d'eau en elle-même n'est absolument pas un problème,ce n'est que le fait qu'elle tombe d'un seul coup qui complique tout.

(Tout à fait en a parte, le "Midi provençal", was ist das ?)

Le Sud sans le département du Gers, pas grand chose en fait.

Midi provençal, Midi languedocien, Midi aquitain.

De mon temps, quand j'y étais et en étais, cela s'appelait le Midi méditerranéen, qui prenait tout le Languedoc et la Côte d'Azur; s'agissant plus spécialement du vaste l'espace qui s'étend entre la rive gauche du Rhône, en englobant la Camargue, et jusqu'au pays nissard, avec une pointe qui remonte presque jusqu'au Trièves par-delà le col de la Croix Haute, sur la frontière entre la Drôme et l'Isère où séjournait Giono : la Provence.

Je n'avais jamais entendu l'expression "Midi provençal", assez jolie au demeurant.

A propos de Nice et Cannes, le terme "Midi provençal" me parait artificiel, d'autant que la toponymie antique n'a rien perdu de sa pertinence : Alpes-Maritimes.

Vous devriez devenir membres de l’In-nocence, vous pourriez participer à la réaction des communiqués…

Vous avez raison et, en général, je m'interdis toute remarque sur la rédaction des communiqués. Ici, je n'ai pas résisté.