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Le Figaro, la mairie de Paris et la liberté d'expression

Envoyé par Marcel Meyer 
Le Figaro nous apprend sur son site que ce matin, les services de la mairie de Paris ont empêché ses journalistes de suivre l'évacuation du camp de migrants quai d'Austerlitz à laquelle toute la presse avait pourtant été invitée. Très sobrement, on nous raconte qu'on leur a indiqué que Le Figaro n'était pas le bienvenu, que leurs accréditations avaient été annulées, le lien de confiance entre la mairie et eux ayant été rompu (sic !). En cause, un article paru le matin même dans le quotidien intitulé La Mairie de Paris craint d'être débordée dans la gestion des nouveaux migrants et qui a manifestement déplu.

Pour l'instant Le Figaro n'en fait pas une affaire d'État. Nous verrons demain matin, mais peut-être faudra-t-il aussi protester contre cette passivité fataliste qui semble indiquer une volonté de soumission, d'apaisement, d’accommodement raisonnable.

L'article du site est ici.
Ce matin : rien, pas un mot, nulle part. la chose n'a pas eu lieu. Même le très modéré article d'hier a disparu. Quand on clique sur le lien, on obtient ceci :

« La page que vous avez demandée n'existe pas, ou elle n'est plus accessible à cette adresse »

N'est-ce pas extraordinaire ? La question, en tout cas, ne sera pas posée.
Utilisateur anonyme
19 septembre 2015, 07:44   Re : Le Figaro, la mairie de Paris et la liberté d'expression
Rien, pas un mot, nulle part. la chose n'a pas eu lieu.

.......

Cette chose-là non plus n'a pas eu lieu, ou si peu lieu :


Saint-Pol-sur-Mer (59) : un migrant érythréen sidaïque tente d’agresser sexuellement une fillette de 10 ans :

"Mercredi 9 septembre, un ressortissant érythréen hébergé au foyer Adoma de Saint-Pol-sur-Mer a tenté d’agresser sexuellement une fillette de 10 ans qui marchait dans la rue, à proximité du foyer. La fillette a réussi à s’échapper, puis a appelé la police.

L’individu est alors retourné au foyer, où il a agressé la directrice, tentant de l’entraîner de force dans sa chambre, là encore pour obtenir des faveurs sexuelles. L’homme a été placé en garde à vue puis finalement libéré vendredi soir.

Dans un premier temps, la justice avait voulu hospitaliser d’office le résident du foyer Adoma. Mais en quittant le CHD, le mise en cause a de nouveau commis une agression dans son foyer.

Le mis en cause, qui a contracté le sida et se trouve en phase terminale, atteint de surcroît de la tuberculose, avait violemment pris à partie la police, lui crachant dessus. Huit fonctionnaires avaient été nécessaires pour le maîtriser.

Comme il est ressorti libre de sa garde à vue, mardi vers 13 h, l’individu est retourné au foyer Adoma. Cette fois, il a agressé la sous-directrice selon le même mode opératoire. Il a de nouveau été interpellé avec beaucoup de précaution, au regard de son état d’agressivité et de sa situation sanitaire, puis placé en garde à vue. La justice statuera sur son sort ce jeudi.


La Voix du Nord.

..........

Une fillette de 10 ans, une directrice, une sous-directrice, sans compter les policiers agressés... Mais RIEN ou presque, là aussi.

QUESTION : combien nous coûte à lui tout seul ce sympathique "migrant" ? Hébergement, nourriture, aides diverses, accompagnement(s), soins médicaux, frais de dossiers, frais de justice, d'incarcération (s), etc., etc., plus le "regroupement familial" en prime.

Evidemment que, là aussi, la (mauvaise) question ne sera jamais posée.
[je crois que le nom de la capitale de notre pays s'écrit "Paris", mais il est vrai que je n'y suis pas retourné depuis un certain temps et que tout change si vite ...]
Réflexion faite, je crois que vous avez raison : j'ai corrigé.
J'aimais bien Parie,
Pari,
Paris,
Parie,
Parille,


Parti,
Partie,
Partille,
comme c'est, on va en avoir besoin.
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