Le site du parti de l'In-nocence

En direct du cours Belsunce à Marseille

Envoyé par Pierre Jean Comolli 
La voie doit faire dans les 500 mètres, et l'on y compte, alignés, imposants, pas moins de 5 'kebabs' turcs, immenses et flambant neufs. L'Algérie, petite cachottière, aurait-elle vendu Marseille à la Turquie sans prévenir la France?
Tout à l'heure, sur la Canebière, une dame, une blanche, rabroue un jeune Arabe -- cheveux gominés, lunettes de soleil, survêt à l'effigie du Chelsea FC et sucette coincée entre les dents -- qui a failli la percuter violemment avec son vélo. Réaction forcément tendue du jeune: "Ci bon, j'vous ai pas renversée qon même!"

Moralité hypothétique: s'il l'avait renversée, il se serait peut-être enquis de son état, et s'il l'avait éjectée sur la route où le tram l'aurait percutée, la tuant sur le coup, il est possible qu'il en aurait conçu quelque trouble. S'excuser? S'en vouloir? Baisser les yeux? J'ai du mal à l'envisager.
Voilà ce qu'il se passe quand un jeune musulman en manque de repères en retrouve en fixant son attention sur une kippa: [www.europe1.fr]
Utilisateur anonyme
11 janvier 2016, 16:57   Re : En direct du cours Belsunce à Marseille
A peine arrêté que notre CPF est déjà étiqueté comme "déséquilibré"... Mais bon : l'affaire est classée, pas d'amalgame.
Reste que la rapidité des examens psychiatriques devient proprement sidérante... les experts psychiatres étant, j'imagine, de plus en plus performants. Voilà qui devrait nous rassurer et forcer notre admiration. Evidemment quelques mauvais esprits pourraient penser que psychiatres, médias et politiques aimeraient qu’ils (les CPF) soient tous fous, qu’ils ne soient que fous, ce qui leur éviterait d'avoir à parler d'islamisme (et surtout d'islam). Des collèges de psychiatres planchent parfois plusieurs mois pour déterminer la responsabilité d’un tueur, et de nombreuses fois sans se mettre d’accord. Alors diagnostiquer une Chance à laquelle on vient à peine de passer les menottes...

Mais pas de quoi s'alarmer. On sait que pour le CRIF, le danger, la priorité des priorités, ça reste le FN.
"Déséquilibré" est un mot neutre, et même juste, après tout. Le problème survient quand le politique s'en satisfait. En Algérie, dans la décennie 90, ces déséquilibrés ont tué 200000 personnes. Les nommer "déséquilibrés" suppose qu'on songe pour les mettre hors d'état de nuire à user avec eux de remèdes (psychiatriques, etc.) individuels. Et là, il y dévoiement, trahison de la classe dirigeante, politique de l'autruche, double jeu, manipulation de serpents venimeux à mains nues, ce qui est toujours dangereux, parfois fatal.

Dans le magazine Causeur.fr, un observateur kabyle, cette semaine, met en garde contre le risque très grand de jouer à mains nues avec les serpents, en proposant cette métaphore pour interpréter le "jeu" du pouvoir algérien avec les islamistes à cette époque. Traiter ce mouvement djihadiste en Europe comme un lot de "déséquilibrés" à génération spontanée et à cas particuliers isolés, actes d'individus auto-radicalisés, etc. s'apparente à ce jeu de la part du régime Hollande. Déni, manipulation de l'information, gonflette sondagière par l'exploitation d'opérations coups de poing et dépôts de chrysantèmes, c'est cela, jouer avec les serpents.
Utilisateur anonyme
11 janvier 2016, 18:29   Re : En direct du cours Belsunce à Marseille
D'accord Francis. Sauf que selon la logique qui est la leur, tous ses gens sont parfaitement "équilibrés" !
Ce sont des gens équilibrés, à leur manière. Pour cela, il faut et il suffit d'être d'accord avec son idéologie. Et avec une idéologie pareille, pas besoin de faire compliqué...

Il y a une logique capitaliste.
Il y a une logique communiste.
Il y a une logique islamiste.
Il y a ...

Les communistes français, partis dans les année 1950 en Indochine pour aller faire leur révolution, finirent en Indochine, geôliers de l'armée française, leur propre armée. Leur logique permettait cela. De leur point de vue, il n'y eut rien à redire, ils étaient venus faire la révolution communiste. Et l'armée française était venue combattre les communistes.
En revenant d'Indochine, le parti Communiste Français les protégea comme des héros du Communisme qu'ils étaient, et ce, en dépit du fait qu'ils avaient été les bourreaux de soldats français morts pour la plupart du paludisme dans ces camps. Ces camps firent en pourcentage plus de morts que les camps de la mort.

Il faut voir quelle logique anime les individus.
Le problème c'est qu'on s'imagine en France qu'un pays dans lequel cohabitent plusieurs logiques est un pays sain.
Les Français se sont imaginés que la France pouvait être à moitié avec une logique de Gauche et à moitié avec une logique de Droite.
Aujourd'hui, ils s'imaginent encore que la France peut être un Tiers de Gauche, un tiers de Droite, un Tiers d'Islam. Trois logiques qui cohabiteraient sans problème.

La Gauche est le kapo d'un camp de prisonniers.
Utilisateur anonyme
11 janvier 2016, 19:17   Re : En direct du cours Belsunce à Marseille
Les communistes français, partis dans les année 1950 en Indochine pour aller faire leur révolution,
/////

Très bon exemple.

Il me semble d'ailleurs que le statut de "déséquilibré" soit réservé aux seuls Divers.
Utilisateur anonyme
12 janvier 2016, 09:08   Re : En direct du cours Belsunce à Marseille
Un "déséquilibré" de 12 ANS :

Sur B.Voltaire (extrait).
L’événement, rapporté par Sud Ouest, s’est déroulé vendredi à La Rochelle, au collège Fabre-d’Églantine, situé dans un quartier d’habitat social. « Vêtu d’une djellaba, un collégien menace un enseignant avec un couteau », titre le quotidien régional. Dans le gymnase, un élève de cinquième a menacé avec un couteau son professeur d’éducation physique. Celui-ci a pu se réfugier derrière une table de ping-pong. Avant de se diriger vers lui, le collégien avait « mis une djellaba blanche et des tissus pour masquer son visage », rapportent ses condisciples. Le jeune agresseur, en fuite, a été interpellé par la police et fait l’objet d’une convocation devant le juge des enfants.
Bien sûr, on nous sert les poncifs habituels : « le décryptage [de ce] geste […] est du ressort d’un psychologue », « les spécialistes de l’enfance détermineront […] son sentiment de frustration vis-à-vis de l’institution scolaire », « l’enfant [est] issu d’une famille nombreuse modeste et très fragilisée ». Comme Mme Taubira l’a dit, il faudrait « comprendre cela », c’est-à-dire en fait excuser les coupables et surtout accuser les victimes ; ici, en l’occurrence, « l’institution scolaire » que représente cet enseignant.
Pourtant, révèle aussi le journal, « l’enquête de la brigade des mineurs […] devra, elle, déterminer si le collégien, avant de menacer l’enseignant, a fait une prière musulmane comme cela est rapporté par différents élèves et parents » et « plusieurs paramètres font d’ores et déjà penser à une attitude mimétique au regard, peut-être, de l’événement survenu jeudi matin, devant un commissariat parisien, dans le quartier de Barbès ».
Je m’interroge. Certes, l’acte commis par ce garçon de 12 ANS n’a pas eu de conséquences graves, mais il est loin d’être anodin. Or, à ma connaissance, la presse nationale n’en a pas ou peu parlé. Comment expliquer ce silence ? D’abord, pour ne pas effrayer les Français. Il est plus rassurant de commémorer que d’informer : on se donne ainsi bonne conscience en feignant de croire que « ces tragédies demeureront gravées dans chacune de nos mémoires [et] ne s’effaceront jamais » (disait M. Hollande dans ses vœux le 31 décembre)ule on les range prudemment dans le tiroir des souvenirs, comme si tout était rentré dans l’ordre.
Ensuite, parce que les actes de ce type sont justement si répandus – en témoigne la nouvelle agression (à la machette !), ce lundi, d’un professeur portant une kippa par un jeune de nationalité turque et d’origine kurde, au nom d’Allah et de Daech — que les médias peuvent facilement en occulter certains
.
l’enquête de la brigade des mineurs devra déterminer

La brigade des mineurs, 99 fois sur 100, se compose de femmes, dont le travail relève plus de l'Action Sociale, de la CAF, que du travail de police.
Un ado (la victime d'elle-même) qui aurait trucidé quinze élèves pendant un cours de français, et voilà notre brigade des mineurs partie à la recherche d'un attirail mimétique composé d'un manche et d'une lame, objet issu de la société des adultes.
En général, le journaliste est lui aussi une femme sur le point d'adhérer à l'ordre de l'Action Sociale:

Soeur Thérère de l'Action Sociale de l'Enfance Jésusifiée


la STASEJ

@Pierre Hergat :
EFDRG ! (Effondré de rire, grave).
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter