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"Je suis le machisme ordinaire".

Envoyé par Francis Marche 
Le scénario de ce court-métrage illustre comment les sévices d'une femme ne valent souvent pas ceux d'un homme et la façon dont ce sexisme si ordinaire désigne toujours, entre agresseur et agressée, le mauvais coupable.

[madame.lefigaro.fr]


Comment fonctionne la propagande néo-fem ? Comme toute propagande : en occultant le réel.

Le réel pourtant, transparaît parfois, à bas-bruit. Voici l'opinion d'une experte du cyberharcèlement, Catherine Blaya :

[www.levif.be]


"Les victimes ont-elles un profil commun ?

Les "cybervictimes" le sont aussi dans la vie. Les filles se disent plus souvent visées que les garçons, notamment en ce qui concerne les insultes et les agressions sexuelles. Leur nombre serait même en augmentation. Cette hausse est en lien avec l'importance des réseaux sociaux chez les ados, et l'expression de l'agressivité chez les filles qui s'inscrit plus dans la communication relationnelle."

Rappelons que lorsqu'une jeune fille (ou un garçon) finit par se suicider à cause du harcèlement, il s'agit toujours d'un harcèlement verbal, par des mots, et notamment de cyberharcèlement, lequel est en passe de devenir une spécialité féminine chez les jeunes. Mais le "machisme" est bon client, il a bon dos.

Tirer les chevelures des filles dans la cour de récréation et leur soulever les jupes et se livrer sur elles à des attouchements de gosses, c'est mal, et même très mal. Mais ça pousse rarement au suicide celles qui en sont les victimes. Tandis que s'acharner sur l'une dont on moquera le physique, qu'on insultera anonymement parce qu'on est un groupe de filles dont l'une aurait à reprocher à la victime de lui avoir "pris son mec", ou d'avoir manifesté un intérêt pour lui, ça n'est pas du machisme, c'est donc secondaire, mineur (comme est généralement considéré l'élément féminin dans toute agression), et lorsque ça conduit à la mort de la jeune victime, l'affaire sera traitée comme "incident regrettable", "drame douloureux" provoqué par l'abus des réseaux sociaux, etc. La bête machiste n'étant pas en cause, pareil drame n'inspirera aucune vidéo de propagande plébiscitée par boboland. Les violences faites aux femmes par d'autres femmes dans la conscience collective n'existent pas : elles ne sauraient être autre chose que des cas particuliers dont les responsables véritables ne sauraient être que des tiers (les réseaux sociaux, les ceci les cela, quand ce n'est pas encore "la société mâle").
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