C, c'est sûr.
«
Bachir arpente les zones où se disputent ses fêlures et l’étrangeté du réel dans l’espace mental et pourtant concret de cette maison-cage. A-t-il seulement une ombre ? A-t-il un frère, s’invente-t-il un ami ? A-t-il basculé dans la folie ? A-t-il seulement rêvé ? Comme dans une nouvelle de Dostoïevski ou de Poe, c’est l’étrangeté de cette double présence qui sème le doute… On entre alors de plain-pied dans un imaginaire en suspens, fait du temps qui passe et de fraternité».
Béchir, Bechir ou Bachir, prénom et nom arabe (بشير) signifiant annonciateur de bonnes nouvelles.
Donc, j’opterai pour C, le grotesque
spectacle de trampoline de l'esprit humain, imprégné de religiosité et de mysticisme, à l'heure où les grands fauves vont boire leur
bière thé au bar des amis, chez 'Dostoïevski, Poe et Cie'.