Rassurons-nous : "Ils sont nourris, logés, scolarisés et ont de l'argent de poche. On se substitue aux parents mais ils s'intègrent facilement", reconnaît Maurice Chabert mais qui pointe aussi du doigt les limites de cette prise en charge avec la recrudescence des arrivées"
Le problème, c'est que "depuis l'été 2015 12 procédures d'éloignement ont été notifiées à des jeunes majeurs mais le retour au pays d'origine est quasi impossible. "En Guinée, il n'y a personne au bout du fil... Le pays ne délivre pas de papiers"
Heureusement que ce joli petit monde "s'intègre facilement" (M. Chabert)...