Remplacisme soft.

La nationalité française accordée aux Algériens nés avant 1963.

L’Assemblée nationale française va introduire un amendement supplémentaire dans le projet de loi «Egalité et Citoyenneté» présenté en Conseil des ministres en avril dernier.


En effet, dernier grand projet législatif du quinquennat de Hollande, le projet de loi «Égalité et Citoyenneté» est actuellement en séance publique à l’Assemblée nationale jusqu’au 1er juillet prochain.

Ce projet de loi est porté Patrick Kanner, ministre de la Ville, en collaboration Emmanuelle Cosse, ministre du Logement, et la secrétaire d'État à l'Égalité réelle Ericka Bareigts et se veut une réponse législative à «l'apartheid territorial, social et ethnique» déploré par le Premier ministre, Manuel Valls.

Cet amendement, porté par 95 députés, prévoit d’accorder la citoyenneté française, sur simple demande de l’intéressé exprimant ce vœu, aux Algériens nés en France ou en Algérie avant le 1er janvier 1963, de père ou de mère algériens après en avoir été déchus par la loi n° 66-945 du 20 décembre 1966 modifiant l'ordonnance n° 62-825 du 21 juillet 1962, relative à certaines dispositions concernant la nationalité française.

[www.echoroukonline.com]

Je vais finir par penser que le remplacisme est une véritable passion… Une passion comme une autre.

C'est parce que nous sommes passés de la Nation à la Clepsydre libérale.





La clepsydre libérale distingue donc 3 catégories de français:
• les entrants, ceux qui entrent.
• le cheptel, qui compose le capital social de l'exercice en cours.
• les sortants, ceux qui sortent.


(Petite et grande sublimation)

Résultat des courses remplaçistes, l'Algérie ne compterait sur son sol que 100 djihadistes affiliés à l'EI. D'ailleurs, la France étant à présent une colonie à forte composante algérienne, Hollande pourrait demander à Alger que ses services de sécurité viennent faire le ménage dans nos banlieues. Toute puissance coloniale, occupante, a des droits mais aussi des devoirs envers les indigènes...

Ce projet de loi est porté Patrick Kanner, ministre de la Ville, en collaboration Emmanuelle Cosse, ministre du Logement, et la secrétaire d'État à l'Égalité réelle Ericka Bareigts et se veut une réponse législative à «l'apartheid territorial, social et ethnique» déploré par le Premier ministre, Manuel Valls.

Le pays est à 2 doigts de s'écrouler, l'Europe ne sait plus où elle va, et voilà à quoi sont occupés nos "responsables" politiques. Mais j'oubliais : pour ces rentiers du remplacisme le Grand Remplacement reste la priorité des priorités.