L'"intégration" ne se commande pas, ceux qui se figuraient qu'on pouvait l'obtenir soit par injonction soit pas menace, soit encore en se soumettant aux nouveaux arrivants, ont pris les Français pour des niais, et de l'espèce la plus ravalée.
Le football n'échappe pas lui non plus à la désintégration du pays : il en serait plutôt le miroir grossissant.
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