Notre problème, et il est de taille, c'est que nous n'avons plus rien à opposer à la violence diversitaire, puisque le "monopole de la violence légitime" dont parlait Weber est aujourd'hui partout battu en brèche.
Clausewitz donnait déjà le nom de "petite guerre" à la guerre de partisans, à laquelle se rattache également le terrorisme. Violences sur la voie publique, violentes sexuelles, violences conjugales, la violence brutale (essentiellement d'origine extra-européenne, et dans une moindre mesure d'extrême gauche) est partout : elle éclate dans la rue, dans les écoles, dans les hôpitaux, dans les transports. Dans certaines banlieues elle est devenue un mode de vie, un style (le style Kaïra), une "vision du monde" et le seul language possible, aimable, respectable. Cela signifie qu’aux yeux d’un nombre croissant d’individus elle devient la norme. Face à cette violence les appels à la raison et au vivre-ensembleuuuhhh de la France petite bourgeoise ne peuvent que tomber dans le vide. Seule la force pourrait - non,
aurait pu, briser la force. Mais c'est trop tard.