Obama, "esclave noir" des Blancs

On y revient, ça lasse, mais quand même l'information de l'AFP est intéressante

Le numéro 2 d'Al-Qaida, Ayman Zawahiri, a traité le président élu des Etats-Unis, Barack Obama, d'"esclave noir" au service des Blancs, dans un message audio diffusé aujourd'hui sur l'internet.

Dans sa première intervention depuis la victoire de Barack Obama le mois dernier, l'adjoint égyptien d'Oussama ben Laden traite le premier Noir élu président et d'autres Noirs occupant d'importantes fonctions aux Etats-Unis, de "d'esclaves noirs domestiques", qui vivaient dans la maison de leurs maitres blancs.

"Ce que Malcom X disait au sujet des esclaves employés de maison s'applique à vous et à des gens comme vous", a dit Zawahiri citant l'ancien secrétaire d'Etat Colin Powell et la secrétaire d'Etat Condoleezza Rice.

Zawahiri, esclave de ses nerfs et de ses glandes.

Une leçon d'anti-esclavagisme et d'anti-racisme donné par un Muslim de cette trempe, ça en impose...

""esclave noir" au service des Blancs"

Me souviens très bien de ce contrôleur de la RATP (d'origine antillaise (enfin je crois)) qui, lui aussi, se fit traiter d'"esclave noir" au service des Blancs lorsqu'il demanda, pourtant très poliment, à l'un de ses "frères de race" (d'origine malienne (enfin je crois)) de bien vouloir lui présenter son titre de transport...

Me souviens d'avoir été avec une amie à Genève en voiture. Un diplomate de couleur noire (je ne sais plus comment dire....) dans sa Mercedes nous a coupé la route. Mon amie a klaxonné. Le diplomate, blanc de rage, a ouvert sa fenêtre et lui a crié "raciste !"

... "avec une amie à Genève en voiture" ? Oui, en effet, c'est plus "sympa" que de se promener seul à la station Jussieu...

Chacun son destin, cher Pascal. Père et Mère m'ont toujours défendu de prendre le métro.

En somme, Corto, vous avez un peu le destin d'un Morand…

Oui, feu Resistero est un homme de droite (un Morand honteux) !, sachant que les gens de droite, pour le dire vite, ont pour but le maintien d'une classe supérieure, indiscutée comme telle, qui pourra avoir de la bonté pour les humbles (comme vous et moi, cher Boris), mais trouve juste de les écraser s'ils veulent changer leur sort par la violence (violence des mots, des idées)...

Bon, je suppose que tout le monde connaît la blague d'André Gide sur le juif et l'antisémite dans le même compartiment . Je vous la raconte en remplaçant le juif de l'histoire par un noir:
Monsieur X prend le train-couchette pour Paris. Il voyage, dans son compartiment, avec monsieur Y, un noir. Le matin, une heure avant l'arrivée, ils se lèvent et monsieur Y, le noir, demande à monsieur X d'avoir l'amabilité de lui prêter sa savonnette parce qu'il a oublié la sienne. Monsieur X s'empresse, avec le sourire, de la lui prêter. Un moment après, monieur Y demande à monsieur X d'avoir l'amabilité de lui prêter son peigne parce qu'il a oublié le sien. Monsieur X, sans sourire, lui prête toutefois son peigne. Un peu plus tard nouvelle demande de monsieur Y : c'est la brosse à dents de monsieur X qu'il aimerait utiliser parce qu'il a oublié la sienne. Cette fois monsieur X refuse poliment mais catégoriquement. Le voyage se termine. Les deux voyageurs se séparent et chacun regagne son logis.
Dès qu'elle voit son mari, madame Y lui demande si le voyage s'est bien passé. " Très bien, lui répond monsieur Y, sauf que j'ai voyagé avec un raciste. "

Quel salaud de pauvre, cet Orsoni ! Et cette vulgate marxiste ! C'est d'un pénible.

Parce que vous pensez vraiment, Boris, que, comme Morand, j'aurai pu m'avilir au service d'un valet des nazis ? Vous me décevez.