Cher Monsieur Michel de S., je ne sais pas si vous citez mon nom (enfin, mon pseudonyme) en bonne ou mauvaise part dans votre intervention ci-dessus datée de 15h45 et peu m'importe car je ne voudrais plus du tout voir paraître celui-ci (je veux parler de mon pseudonyme) dans ces parages : le fil de discussion que vous citez - et que j'étire encore une (dernière) fois bien malgré moi - m'ayanpar Thierry Noroit - Forum principal
Ah, M. Camus me comprend, lui, au moins. Normal, c'est un littéraire, et quel ! Mon intérêt exclusif pour les lettres déborde un peu - et fatalement - sur la psychologie. La politique, non merci. J'aurais tendance à déraper selon les critères et l'échelle de valeur de M. Bourjon. C'est entendu. Une fois pour toutes. Utilisateur de ce forum sous pseudonyme, je porte pour cette raison beaucpar Thierry Noroit - Forum principal
Alain Eytan : C'est un choix qui ressortit à mon sens pratiquement à la vie privée, et je crois qu’il serait avisé d’en laisser l’entière responsabilité à ceux dont ce sont les affaires et la vie propres : on ne peut mesurer de l'extérieur à un unique étalon (ses propres conceptions "morales", aussi élevées soient-elles, sur ce que c'est que "bien se tenir")par Thierry Noroit - Forum principal
Moi, ce qui m'a frappé dans cette émission, c'est avant tout les sommes absolument considérables dépensées pour la rénovation de ces quartiers, surtout si on les rapporte au nombre d'habitants. La comparaison avec certaines villes défavorisées où les Français de souche dominent (on a cité Denain, je crois) était stupéfiante. Et j'ai noté aussi avec satisfaction que l'expression &quopar Thierry Noroit - Forum principal
Cher Didier Bourjon, Dans votre message du 5 décembre à 22h15 vous parlez des "pourfendeurs (sic) de l'orthonymie" Où sont-ils ? Qui sont-ils ? Je vois que le mot de pourfendeur, que j'ai dû, sauf erreur, employer le premier dans cette discussion, vous plaît bien, et vous souhaitez donc nous le retourner en l'assortissant d'un "sic" plaisant et prudent. Ceuxpar Thierry Noroit - Forum principal
Cette discussion sur l'anonymat ou le pseudonymat sur la Toile aura du moins incité M. le Président Camus à glisser une remarque tout à fait passionnante, et d'autant plus précieuse, à mon sens, qu'il est relativement avare de ce genre d'aveux sur ce forum : Je suis en train de me rendre compte, avec un certain trouble, mais un trouble amusé et plutôt agréable, de la grande cohérencepar Thierry Noroit - Forum principal
Jerôme Reybaud... ça me rappelle quelqu'un. Quelqu'un d'autre. Seriez-vous à la recherche d'une position ? Celle de pourfendeur attitré du pseudonymat, par exemple ? Sans trop de nuances ? Mais attention : Que serait ce forum sans Francmoineau, Ostinato, Phénarète, Rogemi, JGL, Cassandre, Florentin et consorts ? Bien triste, bien triste...par Thierry Noroit - Forum principal
Oui, Didier Goux, excellents arguments des deux côtés. Le problème toutefois serait que la suspicion, elle, est unilatérale. Ce qui nuit à la symétrie. On ne reproche rien à ceux qui utilisent leur nom véritable, ou leur apparent nom véritable. Mais de l'autre côté, on nous parle de prudence, de peur, de dissimulation, de manque de courage, de respect d'une obligation de rÃpar Thierry Noroit - Forum principal
Cher Olivier Lequeux, Vous écrivez : il est évident que la dissimulation, à l'intérieur du grand "panumérique", n'est généralement qu'une mesure de prudence (certes, plus ou moins nécessaire) Décidément, bien que nous soyons d'accord sur l'essentiel, je n'aime guère votre formulation particulièrement humiliante pour ceux qui, à votre différence, n'ont pas encore jetÃpar Thierry Noroit - Forum principal
Olivier Lequeux, Le risque de se voir sanctionné n'existe peut-être pas, en effet. Mais le risque de se voir catalogué, oui. Et une fois pour toutes. Avec toutes les conséquences que cela peut comporter. Qui peuvent être bien plus radicales qu'une simple sanction ponctuelle. Renaud Camus plaide sans cesse, à bon droit, pour son Journal publié, sur le fait que les sentiments d'un mpar Thierry Noroit - Forum principal
Cher Jean-Marc, je m'insurge justement, tout comme "Georges", contre la confusion du temporel et du topographique, qui apparaît dans la phrase désormais canonique : "Et pi derrière tu m'appelles, hein !" Il serait difficile que mon langage lui-même ne traduise pas cette confusion. Mais nous avions déjà parlé de cela sur ce forum. Inutile d'y revenir.par Thierry Noroit - Forum principal
Ayant lancé ce fil de discussion, je me permettrai de dire que je partage la remarque de Didier Bourjon, supra : Moui…. Le présent perpétuel, Debord et tout ça, c'est déjà dit de mille façons, "ça parle" un peu tout seul, faudrait voir à ne pas oublier de quoi que ça causait, au départ... En effet. Puisqu'il est question du temps, il est facile et presque automatiquepar Thierry Noroit - Forum principal
Je me permets de reproduire ici un passage tout récent du bloc-notes électronique de "Georges", qui je l'espère ne m'en voudra pas de trouver ses remarques fines et admirables : L'incompréhension et l'excommunication du temps, de la temporalité, pour nos contemporains, si elles semblent caricaturales pour ce qui concerne la musique, sont tout à fait constantes et générales,par Thierry Noroit - Forum principal
« Le contrat de confiance i' passe, quand y a une primaire, par dire Libération ne choisira pas. » ça, c'est du Nicolas Demorand tout chaud, si je ne me trompe, servi ce matin même sur les ondes de France Culture. On reconnaît tout de suite l'intellectuel égaré parmi la piétaille des journalistes, Nicolas Demorand n'étant pas diplômé d'une simple école de journalisme, comme tout upar Thierry Noroit - Forum principal
Définition de la petite-bourgeoisie : la classe sociale de ceux qui n'ont pas de mères, mais des mamans. Définition des in-nocents ou aspirants in-nocents : groupe de locuteurs qui sont pris d'un tremblement convulsif à mesure que s'approche la consonne finale d'un nom propre. On dira aussi : groupe de locuteurs qui transportent constamment parmi leurs effets de première nécessité l'par Thierry Noroit - Forum principal
Affirmati. Stéphane Bily est protégé de la ploukitude, lui, avec ses voyelles finales...par Thierry Noroit - Forum principal
Je me permettrai de dire en souriant et sans offense que nous sommes tous un peu victimes de la sorte d'intimidation que ressent parfois le lecteur de Renaud Camus, et plus encore, s'il se peut, celui qui serait admis à le fréquenter. Nous hésitons désormais à prononcer la dernière consonne des noms, de tous les noms, de peur de faire plouc. Ce qui serait sans doute le cas pour Gers ou Durapar Thierry Noroit - Forum principal
Maxime, Je prononce également Berlioze. Cela ne me paraît pas un "marqueur" significatif. La prononciation Berlio me semblerait au contraire très affectée.par Thierry Noroit - Forum principal
Jean Royère ? Vincent Muselli ?par Thierry Noroit - Forum principal
Contrairement à ce qu'on pourrait penser, CRAN signifie Conseil Représentatif des Associations Noires et pas Comité de Réduction A la Négritude Dans ces cas-là , on écrit : "hum" sur ce forum, non ?par Thierry Noroit - Forum principal
le chef cuisinier de la partialité inassumée L'expression est jolie, mais n'est-ce pas un peu abusif ? Il y a bien pire que lui. Donnons lui acte qu'il a laissé Eric Zemmour s'exprimer durant de nombreuses années.par Thierry Noroit - Forum principal
Première conseillère : Laura Delille. L'autre : Laurence Fabre. Vous y croyez, vous ?par Thierry Noroit - Forum principal
Alors s'il te plaît tu te présentes 20 minutes avant le début de la séance, t'es bien muni de ton badge, tu récupéres un casque pour la traduction et t'arrêtes de f. c. Version élitiste. Quasiment du Michel Butor.par Thierry Noroit - Forum principal
A moins que la version complète en langage bébé soit plus précisément : Je me présente 20 minutes avant le début de la séance, je n'oublie pas mon badge, je récupère mon casque pour la traduction.par Thierry Noroit - Forum principal
Je lis parmi les informations d'un grand Etablissement public à caractère culturel qui organise des séances publiques : Merci de vous présenter 20 minutes avant le début de la séance, muni de votre badge, afin de récupérer un casque pour la traduction. A-t-on déjà ici ou ailleurs remarqué et stigmatisé cet emploi proliférant, éminemment petit-bourgeois - et d'une effroyable lapar Thierry Noroit - Forum principal
(message supprimé par son auteur)par Thierry Noroit - Forum principal
Soit dit en passant, je suis contre l'immigration massive en provenance d'Afrique et des pays arabes ou musulmans Cela, je l'avais compris ! Nous sommes d'accord là -dessus. Donc sur l'essentiel. Bien à vous, Miza. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Didier Bourjon, je plaisantais un peu !par Thierry Noroit - Forum principal
Cher Miza Lundeks, Je vous remercie de vos précisions. Vous savez, que je sois d'accord ou non n'est pas bien grave. Ma religion n'est pas faite, à l'égard de la double nationalité. A l'égard de l'immigration-contre-colonisation-Remplacement, en revanche, elle est faite, oui. Cela dit lorsque vous écrivez : Ensuite, je ne vois pas en quoi posséder la double nationalité serait un gripar Thierry Noroit - Forum principal
Réponse à M. Lundeks (je le précise car je m'aperçois que M. Rodilon va dans le même sens que moi, en même temps). Oui, mais il n'y a aucun fondement juridique pour distinguer un type de double nationalité de l'autre. Du reste M. Lundeks commence par parler de double nationalité puis vire à l'immigration, ce qui n'est pas la même chose. Et enfin, je ne comprends pas la logique depar Thierry Noroit - Forum principal
Mais certainement. Non seulement écrivain mais encore écrivain qui a la cote, dans un certain milieu qui fait l'opinion. Ce milieu où l'on vous cite comme grands écrivains d'aujourd'hui toujours les mêmes : les Rolin, Bergounioux, Michon, Roubaud, Echenoz, Quignard et Bon. Ils ne sont pas tous à négliger, certes. La première surprise serait même que le sieur Bon figure dans le lot. Maispar Thierry Noroit - Forum principal