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Acquittement Bouteldja : réponse aux magistrats de Toulouse

Envoyé par Gérard Rogemi 
Acquittement Bouteldja : réponse aux magistrats de Toulouse. i c i très solide réplique de notre vieille amie Elisseievna aux juges progressistes de Toulouse.
Commentaire assez caustique de Liberté Chérie sur Facebook.

Avec ce passage, je bois du petit lait :

"Si pour le tribunal, la « notion de français de souche » ne correspondant pas « à des personnes identifiées ou simplement identifiables », parce que « les recherches de la génétiques nous ont appris que nous sommes tous métissés bien qu’unique », alors cela signifie qu’aucune autre personne ne peut être « simplement identifiable » « en raison de son appartenance à une ethnie, une race (…) déterminée », puisque nous serions tous « unique », impossibles à identifier. Mais alors que diable avait donc en tête le législateur en faisant allusion à l’éventualité d’une identification « en raison de son appartenance à une ethnie, une race », puisqu’elle serait « selon les recherches de la génétique », impossible ?

Autrement dit, pour le tribunal, repérer un noir, un juif (français de souche ou pas), un arabe est possible, mais pas repérer un français de souche (chrétien ou pas), donc punir une agression contre un noir, un juif, un arabe est faisable, mais pas punir une agression contre un français, puisqu’en effet, on ne peut pas punir une agression contre « ce » qui n’existe pas, « ce » qui n’existe pas ne peut être agressé. Si l’on pousse ce raisonnement jusqu’au bout – et je pense que tel est bien le sens de ces attendus du jugement, même si le tribunal ne s’en rend visiblement pas compte – un tel discours est hallucinant, le degré de déni de la réalité historique et sociale qu’il contient est hallucinant."

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Avec ce jugement qui va faire jurisprudence, on peut d'ores et déjà affirmer qu'il sera logique qu'il se retourne comme une crêpe lors de tout jugement ultérieur. En effet, lorsqu'une association grassement payée par les contribuables intentera un procès contre un Français blanc -qui n'existe pas rappelons-le- pour racisme ou discrimination envers un noir ou un musulman -qui n'existent pas non plus-, il sera logique que ledit Français blanc ne puisse être condamné, dans la mesure où :

« Les recherches de la génétique nous ont appris [...] que nous sommes tous métissés bien qu’uniques et que la diversité est une règle de la nature [...] Qu’ainsi, faute de pouvoir déterminer que le propos incriminé a porté une atteinte directe à des personnes identifiées ou simplement identifiables, [le Français blanc] sera relaxé des fins de la poursuite et la partie civile déboutée de ses demandes.
Qu'un tribunal raisonne de manière si faiblarde est assez inquiétant. Je vais paraître découvrir la lune, mais je pense que beaucoup de personnes continuent à croire que la justice de leur pays, que la justice française demeure une sorte de havre où les notions politiques n'entrent pas, où la vérité peut apparaître parce que justement on n'y pratique pas le même mode de raisonnement que dans la vie publique, que les magistrats ne sont pas trompés par le rafistolage idéologique, qu'ils le repèrent facilement pour prendre les bonnes décisions, car de toute façon ce type de discours ne les concerne pas. On peut être sali hors du tribunal, mais au sein de celui-ci certains arguments n'ont plus aucune valeur, et la vérité reprend ses droits. Voilà ce que beaucoup de gens continuent à penser. Lire ces raisonnements aberrants sur la génétique et le métissage est courant sous la plume des Plenel et compagnie qui officient dans les dix grands journaux qui nous restent en France ; ils peuvent bien nous hérisser quelquefois, mais nous y sommes habitués, c'est comme ça, telle est la soupe qu'il nous faut avaler chaque jour que Dieu fait. Mais savoir qu'un tribunal peut les professer pour fonder un jugement fait froid dans le dos.
Qui ignore que la France d'aujourd'hui est composée d'un agglomérat de communautés dont l'une d'entre elles (la plus nombreuse encore, la plus ancienne, celle qui donne sens à la reconnaissance des autres) a l'étrange particularité de ne pas exister ?
Utilisateur anonyme
31 janvier 2012, 10:49   Re : Acquittement Bouteldja : réponse aux magistrats de Toulouse
Les magistrats sont formés à l'ENM. Au concours d'entrée le jury élimine avec soin les candidats ayant une personnalité et une culture propre, jugés probablement non "formatables".. Savoir qui peut juger au nom du Peuple me paraît une bonne question, peu abordée.
Ce n'est pas un acquittement, c'est une relaxe.
Je connais quelques magistrats toulousains, c'est très partagé. Disons que là c'est mal tombé.
Utilisateur anonyme
31 janvier 2012, 10:57   Re : Acquittement Bouteldja : réponse aux magistrats de Toulouse
Ne pourrait-on pas parler d' "occidentaux non musulmans" ?
Utilisateur anonyme
31 janvier 2012, 12:32   Re : Acquittement Bouteldja : réponse aux magistrats de Toulouse
Encore une fois la justice donne une preuve éclatante de sa partialité et de sa dérive politique. Le relèvement de la France passera par un nettoyage idéologique de cette institution à commencer par l'ENM qui nous fabrique de tels juges .
Utilisateur anonyme
31 janvier 2012, 12:43   Re : Acquittement Bouteldja : réponse aux magistrats de Toulouse
L'école nationale de la magistrature qui forme les juges qui viennent d'acquitter cette raciste est une officine soviétique de formatage des esprits et je suis désolé d'avoir à contredire certains participants de ce forum, mais je n'ai plus aucune confiance en la " justice " de mon pays. Le seul racisme qui ait encore droit de cité en France, et qui est même encouragé par l'idéologie de la repentance permanente, c'est le racisme anti-blanc. Un citoyen qui songe de plus en plus sérieusement à l'exil.
Où pourrais-je me procurer le texte de la décision ?
Il est cité ici, dans son intégralité semble-t-il, mais je n'ai pas trouvé la source.
Utilisateur anonyme
31 janvier 2012, 14:36   Re : Acquittement Bouteldja : réponse aux magistrats de Toulouse
A Lille, on ne compte plus les juges et avocats qui arborent fièrement un badge "SOS Racisme". Cette profession est complètement lessivée, peut-être plus encore que le professorat (c'est dire !).
De fait, on a jugé Boutelja inapte à la civilisation, incapable de répondre à ce qu'on est en droit d'attendre d'un adulte. Pas de quoi être fière. Il y a des mansuétudes fatales.
Simplement qu'on ne la juge pas capable de supporter la moindre critique. Il y a beaucoup de lâcheté dans cette sorte de mansuétude, les parents irresponsables font de même.
Il est toujours étrange de voir que les faits, dans ce monde, sont amoindris, détournés, "mal vu mal dit". Arriver dans un pays, en être citoyen, bon citoyen, est la moindre des choses.

J'entends ici et là parler d'assimilation, d'intégration etc.... Qu'est-ce que ça peut bien vouloir dire? Qui a demandé à qui que ce soit de changer de peau, de caractère, de nom, en arrivant sur le sol français? La civilité est-elle à ce point absurde? Qui songera à dire simplement qu'il y a des règles dans tous les pays, qu'insulter quelqu'un parce qu'il aime son pays, et désire défendre son histoire ne se fait tout simplement pas. Que ce qui est encore plus grave, c'est de ne pas reconnaître que cela ne se fait pas, et de continuer à affirmer qu'il n'y a aucun mal à cela.

Mais en même temps comment serais-je étonnée? J'ai déjà vu pire, sans que ceux qui serrinent pourtant leur morale toute la journée, ne bougent. Pourquoi? Parce qu'il s'en trouvera toujours qui mettront toute leur énergie et toute leur âme pour renverser les situations plutôt que de regarder en face ce qu'ils ne supportent pas de reconnaître en eux.
Je n'éprouve aucune rancune, aucune haine; je constate que lorsqu'un fait est insoutenable aux yeux de celui qui a peur du miroir ainsi placé devant lui, ce fait, est immédiatement récupéré de façon à masquer la vérité.

S'il est accepté que la vérité soit si souvent étouffée, c'est que c'est une habitude, une vieille habitude. Et celui qui commence à la dévoiler, devra en dévoiler d'autres et encore d'autres, et ceux qui sont désignés comme coupables d'en rajouter ou de mentir sur la vraie barbarie devront être de nouveau admis comme bafoués et surchargés de honte.

Il faudrait alors revenir à des principes moins agréables pour tous les adeptes du métissage de la vérité, de sa coloration en diversité qui masque l'unique chanson populaire.
Citation
Marcel Meyer
Il est cité ici, dans son intégralité semble-t-il, mais je n'ai pas trouvé la source.

J'ai du mal à croire qu'il puisse s'agir du jugement - pitié, dites moi que c'est un canular.
Les discours officiels, ça vous retape un homme !
Le parquet de Toulouse n’accepte pas non plus la relaxe d’Houria Bouteldja et fait appel .

Suite à l’appel interjeté par l’Agrif à l’encontre du jugement vraiment surprenant rendu le 25 janvier 2012 par le Tribunal correctionnel de Toulouse, le procureur de la République a décidé de reconnaître et d’accompagner notre démarche très légitime en exerçant son droit de recours devant la Cour d’Appel.
Il considère en effet que le jugement du tribunal présidé par monsieur Guillaume Roussel est d’abord entaché de graves irrégularités de forme notamment en ce qu’il s’appuie sur les déclarations de témoins recueillies en dépit des règles les plus impératives du code de procédure pénale.
Il observe ensuite que le jugement n’a pas du tout pris en compte les termes de la plainte de l’Agrif selon laquelle la communauté évidemment identifiée, désignée et injuriée est bien celle des « blancs » ; « ces blancs », qu’ « il faut rééduquer », qu’ « il faut bien nommer », et qu’Houria nomme en effet : « moi, je les appelle des sous-chiens ».
Est-il vraiment croyable que l’on n’ait pas saisi le réciproque renforcement injurieux de ces propos additionnant :
- le dédain menaçant : « ces blancs » qu’ « il faut rééduquer ».
- le mépris pour ces moins que rien : « ces blancs, il faut bien les nommer ».
- le racisme dégoulinant : « moi, je les appelle des sous-chiens ».

Qui, sérieusement, pourrait prétendre ne pas voir là l’expression d’une venimeuse haine raciste ?
L’Agrif attend désormais avec confiance de la Cour d’Appel de Toulouse la juste condamnation d’Houria Bouteldja.

Source
Une bonne chose de faite, Marc. Il existe en effet des magistrats consciencieux, et j'ai tort de généraliser.
A la place de cette charmante jeune femme, moi, je serais vexé. Cette relaxe (si j'ai bien compris) signifie en fait que ce qu'elle dit n'a aucune espèce d'importance (comme pour les rappeurs racistes, sexistes et homophobes). Elle se rêvait en Résistante comme le cheik Yassine qu'elle admire tant, en martyre de la xénophobie et de l'islamophobie françaises. Quel camouflet !
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