Télégrammes de félicitation

« À l'occasion de votre élection en qualité de président de la République française, j'ai le plaisir de vous adresser, au nom du peuple et du gouvernement algériens et en mon nom personnel, nos chaleureuses félicitations ainsi que mes vœux de succès dans l'accomplissement des hautes charges dont vous venez d'être investi.

Je veux également vous exprimer ma pleine disponibilité à œuvrer, avec vous, en faveur d'une coopération algéro‑française qui soit à la hauteur des potentialités des deux pays et en adéquation avec la dimension humaine de nos relations et du partenariat d'exception que nous ambitionnons de construire.

Les défis auxquels est confronté la communauté internationale, aujourd'hui, nous invitent à approfondir le dialogue politique entre nos deux pays et à conjuguer nos efforts pour réaliser les objectifs de paix, de stabilité et de progrès auxquels nous aspirons, dans l'espace méditerranéen qui est le nôtre et à travers le monde. »

A conclu le président Bouteflika.

Les Amitiés particulières...

Notez que le peuple de gauche se réjouit, c'est bien normal, ici à Lille :

Quant au peuple de droite, il va payer, à tous les sens du terme.

Nous avons aussi en magasin, Jean-Michel, "Les Apparentements terribles".

Je crois qu'il préside un club hippique...

Boute, comme boute-en-train, et Flika comme Flicka.

J'avais pleuré en 81, ce soir j'ai le même sentiment. Amis du PI, protégez-vous, les nouveaux arrivants sont sans scrupule ou empathie.

Nicolas Sarkozy a laissé entrer le Maghreb en France plus encore que les socialistes . Il n' a jamais mégoté, bien au contraire, sur l'assistanat à l'égard des immigrés, il a encouragé sur tous les tons la promotion de la Diversité en montrant lui-même l'exemple, il a fait risette aux instances religieuses de l'islam et condamné l'islamophobie. Pourtant les musulmans ont choisi à une écrasante majorité le candidat de gauche. C'est que, comme on dit : " Bon chien chasse de race . Ces Français de papier(s) qui haïssent notre pays n'ont, en effet, pas besoin d'un dessin pour savoir que c'est dans cette gauche bobo qu'ils trouvent la même haine de la France et de son peuple. Ils ne s'y trompent pas et, donc, votent pour elle. Dès lors cette gauche sait ce qui l'attend : l'obligation, faute de susciter à son tour la déception et la colère de la communauté musulmane, d'aller encore bien au -delà des faveurs déjà énormes accordées à ladite communauté. Bon courage !
Cependant il est à noter que , s'agissant des paroles et des actes reprochés violemment par les populations "sensibles" à Nicolas Sarkozy, ce sont chaque fois les médias qui, en devançant cette indignation, en ont préparé le terrain . C'est toujours la presse qui bien avant les habitants des "quartiers", lesquels, peut-être, n'y eussent pas songé, a débusqué le mot, l'acte présidentiels propices à enflammer leur ressentiment, revenant à la charge jusqu'à ce que, enfin, la situation s'envenime et soit mise sur le dos de Nicolas Sarkozy. On peut, dès lors, penser sans risque de se tromper, que, à l'égard de son favori, la presse évitera soigneusement cette sorte de mise au pilori pour le moindre mot ou le moindre geste et qu'au moins pendant un certain temps, il arrivera à faire illusion.

Entre le très bon (Sarkosy), nos non intégrés préfèrent le "encore meilleur" (Hollande) selon la logique "toujours plus" qui les anime. Ce qui me laisse très perplexe c'est le grand écart entre la programmatique de 2007 de Nicolas Sarkozy, et son application. Il faudrait pouvoir en analyser les causes tant c'est invraissemblable.

"Ce qui me laisse très perplexe c'est le grand écart entre la programmatique de 2007 de Nicolas Sarkozy, et son application. Il faudrait pouvoir en analyser les causes tant c'est invraissemblable."j

Je me suis moi aussi souvent posé la question. Je pense qu'en raison de sa totale méconnaissance de l'islam et de sa propension à être trop sûr de lui, Nicolas Sarkozy n'a pas su prendre la véritable mesure de l'adversaire. Il a cru qu'en lui abandonnant quelques hochets et en lui adressant quelques bonnes paroles, cela suffirait à l'amadouer. Après quoi, il s'est laissé accaparer par d'innombrables problèmes qui lui ont paru plus urgents à régler.

C'est le problème des gens qui vivent protégés, dans un monde parallèle, en quelque sorte.

Citation
Cassandre
"Ce qui me laisse très perplexe c'est le grand écart entre la programmatique de 2007 de Nicolas Sarkozy, et son application. Il faudrait pouvoir en analyser les causes tant c'est invraissemblable."j

Je me suis moi aussi souvent posé la question. Je pense qu'en raison de sa totale méconnaissance de l'islam et de sa propension à être trop sûr de lui, Nicolas Sarkozy a n'a pas su prendre la véritable mesure de l'adversaire. Il a cru qu'en lui abandonnant quelques hochets et en lui adressant quelques bonnes paroles, cela suffirait à l'amadouer. Après quoi, il s'est laissé accaparer par d'innombrables problèmes qui lui ont paru plus urgents à régler.

Pour ma part, je soupçonne le poids des chiraquiens et autres centristes au sein de l'UMP. Les Raffarin and co.

La responsabilité des centristes me semble réelle.

Ce ne sont pas les centristes qui ont imposé l'ouverture à gauche.

Entendons-nous : que M. Sarkozy ait eu des torts, nul ne peut le nier.

Cela étant dit, entre les centristes en furie, Villepin guidé par une haine morbide et tout le monde qui lui tapait dessus, M. Sarkozy était vraiment en difficulté.

Citation
Marcel Meyer
Ce ne sont pas les centristes qui ont imposé l'ouverture à gauche.

Pourtant ce sont bien eux qui déplorent encore et toujours la droitisation de la campagne.