Le site du parti de l'In-nocence

Machin d'Où (ou Lano Nymat protège LeMessage)

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Utilisateur anonyme
24 août 2008, 20:29   Machin d'Où (ou Lano Nymat protège LeMessage)
« Je ne vois pas en quoi mon identité dévoilée augmenterait la valeur de mes arguments. "Tu parles d'où camarade ?" m'a toujours semblé une question aussi violente que "De quelle origine es-tu" ou "De quelle origine est ton nom ?". L'anonymat permet justement de limiter l'application rapide de grilles au discours tenu, il protège le message. »

Ce n'est pas de l'humour anglais, je suis désolé, c'est seulement la rumeur du Net.
Utilisateur anonyme
24 août 2008, 20:59   Sans papiers, sans papières !
Parcourant ce forum d'un œil désabusé, je me demande tout à coup si nous ne sommes pas les passagers clandestins, enfermés à fond de cale, d'un navire abandonné depuis belle lurette en haute mer par son équipage et sa société, et qui dérive doucement vers le désastre final.
Utilisateur anonyme
24 août 2008, 21:06   En mesure
Il y a aussi le petit orchestre du Titanic, tel qu'on le voit continuer à jouer contre vents et marées (et vague finale) dans le film du même nom.
Utilisateur anonyme
24 août 2008, 21:08   Harmonie
Oui, j'y avais pensé, mais alors ça va jouer foutrement faux.
Utilisateur anonyme
24 août 2008, 21:13   Re : Harmonie
S'il y a une place au kazoo...
Vous voulez parler du forum, Boris ? Ou du monde ? Mais peut-être, à l'instar de la Bibliothèque de Borges, le Forum est-il le Monde, après tout...
Utilisateur anonyme
24 août 2008, 21:47   Harmonies du vide
Oui, ici est le PI réel.
Utilisateur anonyme
24 août 2008, 23:48   Orimont "Kazoo" Bolacre
Orimont, même sans étui pénien, on vous prendra dans la fanfare, allez !

Utilisateur anonyme
25 août 2008, 09:15   Scherzando
Meno male ! Un engagement dans le music-hall ! Depuis le temps que j'en rêvais !

Plus sérieusement (on va dire), quelqu'un m'a raconté qu'un des descendants du compositeur qui est joué par le petit orchestre du Titanic (le film), ayant reconnu une œuvre de son aïeul, avait obtenu, après une action en justice, le versement de royalties par la production. C'est un bobard ou une histoire vraie ?
L'anonymat nous protège (vaguement) de l'argument d'autorité.
" Parcourant ce forum d'un œil désabusé, je me demande tout à coup si nous ne sommes pas les passagers clandestins, enfermés à fond de cale, d'un navire abandonné depuis belle lurette en haute mer par son équipage et sa société, et qui dérive doucement vers le désastre final. "

Cher Boris, j'ai exactement la même impresion que vous.
Utilisateur anonyme
25 août 2008, 10:25   Re : Machin d'Où (ou Lano Nymat protège LeMessage)
Je ne pense absolument pas que l'anonymat protège le message, ni même (ou alors si peu) de l'argument d'autorité. J'ai longtemps pensé que l'anonymat était une plaie, et je le pense toujours. Mais il faut bien se faire une raison : l'anonymat sur Internet est quasiment indispensable, et je regrette pour ma part de ne pas l'avoir compris plus tôt. (Je signale en passant à tous ceux qui ne manquent jamais de m'accuser de contradiction, à ce sujet, que je ne suis PAS anonyme, ni ici, ni ailleurs.) Ne pas être anonyme sur Internet, c'est faire preuve d'angélisme, et plus gravement encore me semble-t-il, d'une mécompréhension profonde de ce qu'est l'Internet et la vie en réseau.

L'ouverture généralisée, et la démultiplication des liaisons rendues possible par le principe du réseau rendent la personne morale extrêmement vulnérable, et la mettent à la merci de n'importe quelle malveillance, malveillance dont la puissance de nuisance est également démultipliée par la société numérique. L'erreur, je crois, est de penser que nous devrions utiliser Internet comme nous le faisons pour les anciens moyens de communication et de mise en relation humains. Ce n'est pas seulement d'un saut quantitatif, de plus de vitesse, de plus de contacts, de plus de relations, de plus de transparence, qu'il s'agit, c'est de tout un autre monde, dont les règles ne peuvent pas rester les mêmes, quoi que nous en ayons. Je crois que c'est Baudrillard qui avait raison…

J'ai longtemps pensé que l'anonymat était une plaie, je le pense toujours, mais Internet rend cet anonymat indispensable… Je crois que la conclusion s'impose d'elle-même : c'est la société de l'Internet qui va tuer les noms.
Citation
c'est la société de l'Internet qui va tuer les noms.
Vous avez douloureusement raison, cher Boris.

Sur internet l'étalage débridé des vies privées cad sans aucune vergogne et sans limite oblige l'honnête homme à prendre un minimum de précautions s' il veut garder un reste d'estime pour soi.

Sur certains sites pornographiques gratuits on trouve des quantités énormes de vidéo-clips montrant en gros plans (souvent hideux car filmés dans de mauvaises conditions) de gentilles filles "girl next door", des méres de famille en train de copuler.

Je me demande comment leur progéniture réagira si dans 10 ou 20 ans celle-ci tombait sur un film montrant leur mère avalant des éjaculations en chaine.
Je crains qu cette progéniture ne soit convaincue dès la naissance, imprégnée qu'elle sera par l' " immoraly correctness " répandue par les médias, de trouver ça parfaitement normal. Je pense même qu'elle se dira fière de sa " maman " suceuse à la chaîne.
Il me semble que l'on vit une époque néronienne. L'horrible petit monde médiatique a la volonté et le pouvoir d'imposer ses moeurs en modèle à la société toute entière, comme en son temps Néron qui, dit-on, obligeait les vertueuese matrones romaines à se prostituer publiquement dans la rue. D'ailleurs - est-ce un hasard ? -, n'était-il pas fasciné par les acteurs et ne se prenait-il pas pour un acteur lui-même ?
Je n'ai rien contre la liberté des moeurs tant qu'elle se confine à un petit nombre. En revanche je trouve insupportable de narcissime mégalo -encore une caractéristique néronienne - que ce petit monde veuille l'imposer à la société toute entière , société si bien dite, alors, aujourd'hui plus que jamais, " dissolue " dans tous les sens du terme (suivez mon regard ).
Les anthropologues qui ont ces derniers 150 ans étudié toutes les ethnies sur tous les continents de la terre nous disent, cher Cassandre, que la pudeur est un sentiment inné et universellement répandu.

Mais apparemment on peut avec un lavage de cerveau adéquat arriver à éradiquer les instincts les plus profondément ancrés dans l'âme humaine.
Et moi qui croyais que les anthropologues avaient abandonné le concept de sentiment inné...
Utilisateur anonyme
25 août 2008, 13:38   Dissolution
Je suis votre regard, Chère Cassandre, mais je ne suis pas sûr de la direction…
Citation
Et moi qui croyais que les anthropologues avaient abandonné le concept de sentiment inné...

Les anthropologues progressistes bien sûr qui par ailleurs veulent nous faire avaler que la femme et l'homme en tant que tel(le) n'existent pas mais que ce sont des comportements imposés par la société.

D'autres scientifiques, plus près du réel, pensent le contraire.

Le successeur de Konrad Lorenz le professeur Eibl-Eibesfeldt, par exemple, a beaucoup écrit sur ces choses mais comme il s'est fermement élevé contre l'immigration de masse en provenance des pays africains il s'est, aux yeux de nos chers Amis du Désastre, complétement disqualifié.

Un vilain xénophobe de plus qui s'est mis au service d'idéologies nazies.

"Eibl-Eibesfeldt ist als „führender Verhaltensforscher“ anerkannt; zugleich wird ihm vorgeworfen, „seinen Ruf aber auch vielfach zur Unterstützung fremdenfeindlicher Ideologien eingesetzt“ zu haben. Im Mittelpunkt der Kritik an Eibl-Eibesfeldt steht seine Überzeugung, Erkenntnis aus der Verhaltensforschung der Tiere ließen sich auf Menschen übertragen."

25 août 2008, 14:32   Re : Dissolution
Je veux dire qu'une société se laissera d'autant plus facilement dissoudre dans les peuples radicalement étrangers issus de l'immigration qu'elle sera déjà dissolue par ses moeurs. A plus forte raison si les partisans de cette sorte de moeurs -à quelques exceptions éclatantes près - bien loin de lutter contre leur contraire : le puritanisme exacerbé de l'islam, sont les premiers à avoir toutes les complaisances possibles à l'égard de celui-ci. Jusqu'à quand cette contradiction - imbécile ou crapuleuse - sera-t-elle tenable ? c'est ce que je me demande.
25 août 2008, 14:39   Re : Dissolution
Imbecile et crapuleuse, c'est possible, aussi.
Utilisateur anonyme
25 août 2008, 14:49   Objets de communication
Merci de votre précision, Cassandre.

Pour revenir au sujet de ce fil, je voudrais seulement citer cette petite phrase de Jean Baudrillard, lue dans "Mots de passe", qui me semble parler très exactement de ce que nous sommes en train de vivre avec la société de l'Internet.

« Dans un premier temps, on communique par les objets, puis la prolifération bloque cette communication. »

Il note qu'il reste « une part maudite », dans l'objet, qui ne sera jamais résolue, « rédimée », et il ajoute, un peu plus loin, que le sujet ne peut s'emparer de ce "reste", et « qu'il croit pouvoir pallier [ce manque] par la profusion, l'amoncellement, (…) qui n'aboutit qu'à multiplier les obstacles à la relation. »
Citation
dans les peuples radicalement étrangers issus de l'immigration qu'elle sera déjà dissolue par ses moeurs.

On a très souvent dit que le déclin de Rome avait beaucoup à voir avec l'arrivée massive d'étrangers en provenance des régions orientales d'un empire déjà gravement affaibli par des moeurs dissolus et une natalité en déliquescence.

En effet l'édit de Caracalla en 212 avait d'un seul coup transformé des millions d'allogénes en citoyens romains...

Est-ce qu'une comparaison avec Rome est licite ?
Utilisateur anonyme
25 août 2008, 15:04   Comparaison
Faut demander à Twombly, Rogemi.
Kesako Twombly dans ce contexte ?

Insinuez-vous que l'art de Twombly serait dégénéré ?
Utilisateur anonyme
25 août 2008, 15:16   Joyce ou la communication dégénérée
Oh, moi, vous savez, le contexte…
Ah Boris,

Toujours les mêmes rotomontades pour après nous laisser sur notre faim..
Utilisateur anonyme
25 août 2008, 15:28   Re : Machin d'Où (ou Lano Nymat protège LeMessage)
Pastiche de citation sur le thème du "pseudonymat" :

l'Internet, c'est Pessoa à la portée des caniches.
» Les anthropologues progressistes bien sûr qui par ailleurs veulent nous faire avaler que la femme et l'homme en tant que tel(le) n'existent pas mais que ce sont des comportements imposés par la société.

Mais, Rogemi, vous parliez de sentiments innés !
Qu'est-ce qui vous déplait dans le substantif "sentiment" cher Bernard ?

Ou entamons-nous un dialogue de sourds ?
Permettez-moi de spéculer dans le sens contraire du vôtre, chère Cassandre, et surtout dans un sens plus terre-à-terre (pour une fois!): il y a tout à parier que ce phénomène de la "star porno" improvisée par la "girl next door" qui commet "the unspeakable" comme on dit en anglais (Umberto Ecco joue beaucoup sur ce terme dans son Pendule de Foucault) sur le Net pour l'éternité ou peu s'en faut connaîtra un reflux coupable, un féroce retour de bâton dans une quinzaine d'années, de manière tout à fait comparable à ce qu'il est advenue de la pédophilie qui, on s'en souviendra peut-être, avait acquis presque pignon sur rue dans les années 74-76, quand le journal Libération publiait des dessins qui feraient aujourd'hui embastiller (voire lyncher) son directeur et que le beau Daniel Cohn-Bendit s'en faisait le prosélyte dans certains de ses livres.

Comment et pourquoi un tel retour punitif et castrateur à la norme s'opèrera-t-il ? et bien par "la parole des victimes", comme cela a été le cas avec cette vague de licence pédophile: les gosses ou les adolescents prépubères violés en groupe par des adultes joyeusement "libérés" dans la première moitié de la décennie 70 ont fini par avoir 20 ou 25 ans, ou par atteindre un âge suffisant pour dire comme "cela était mal", que "cela leur a fait mal à l'âme". Et aussitôt, c'est la repentance et le réveil de la machine législative et judiciaire contre la pédophilie, avec une génération de retard et tordant le bâton vigoureusement dans l'autre sens.

Nous verrons donc ces pauvres filles qui dès leurs 18 ans atteints, se précipitent dans des concours de fellations à mettre en ligne, dénoncer ces horreurs qui les ont condamnées à la prise d'anxyolitiques jusqu'à la fin de leurs jours et appeler à sévir contre elles (contre l'existence et la disponibilité de ces images autant que contre leur production); et la machine judiciaire de se mettre en branle et de s'exécuter, obéissant à leur violent mouvement de repentance.

Le social, les moeurs et la judiciarisation des comportements connaissent de ces mouvements de flux et de reflux contradictoires jadis réservés à la sphère du spirituel et du religieux. Nous aurons donc, dans 10(?), 20(?) ans de nouvelles repenties, de nouvelles converties (suivez mon regard) et born-again Mères Lapudeur qui vous feront jeter en taule si vous possédez une de ces images d'elles les montrant dans des poses et des actes outrageants qu'elles diffusent aujourd'hui avec libéralité, un enviable sens du fun et une saine et franche fierté.
Je ne suis pas sûre, cher Francis, qu'il faille prendre votre message, brillant comme toujours, très au sérieux, mais je ferai comme si. Permettez-moi, donc, à mon tour, de ne pas être d'accord.
Contrairement aux victimes des pédophiles, ces jeunes femmes ou jeunes filles sont parfaitement consentantes, elles font, de leur propre chef, le choix du dévergondage sans limites. Je n'ai rien contre la liberté débridée des moeurs à condition qu'elle aille de paire, ainsi que pour les libertins du XVIII ème, avec une liberté aussi débridée de l'esprit, comme les deux revers de la même médaille, liberté d'esprit qui, seule, permet de résister à toutes les formes d'oppression. Or il suffit de se pencher sur la question pour s'apercevoir que ces jeunes - et moins jeunes - dévergondées non seulement sont d'un conformisme d'esprit consternant mais encore que leur dévergondage, loin d'être l'expression de la liberté n'est lui-même qu'un dégôutant conformisme qui fait le lit d'un islam dans lequel la France se vautre chaque jour davantage. On aurait pu s'attendre, justement, je l'ai cru moi-même à une époque, que tous et toutes ces innombrables pornophiles, nous immuniseraient contre l'intrusion des valeurs islamiques si étrangères à leur appétit de licence, qu'ils constitueraient une sorte d'armée pacifique de résistance. Force est de reconnaître que c'est exactement le contraire : plus ils sont débauchés plus ils ont de complaisance pour cette culture : curaillons, culs bénis de tous bords et dévergondé(e)s, même combat contre la France et son identité. Je parie d'ailleurs que c'est chez ces sauteuses sans cervelle qu l'on trouverait, par la suite, le plus de converties entchadorisées. Faut-il qu'un destin impitoyable ait scellé à jamais le sort de ce pays pour susciter contre lui une alliance aussi contre -nature que la partouze et la bondieuserie. A l'heure où le rap exhale une haine et un mépris de la France à délirante connotation sexuelle, ces comportements n'en finissent pas de convaincre nos cpf que les Françaises -et, donc, la France - sont bien des chiennes qui n'attendent que ça et les Français qui les y encouragent, selon l'expression séculairement convenu en terre d'islam, des chiens de roumis, le chien étant, dans l'esprit des musulmans, l'animal impur par excellence, celui qui fornique en public. Ces comportements alimentent aussi, bien entendu, leurs fantasmes de viols légitimes : si les Françaises aiment tant se faire enfiler dans tous les sens, elles n'ont pas à faire tant d'histoires, à moins d'être racistes, si on les y force un peu. Il faut croire qu'il y a une vérité profonde dans le vocabulaire qui emploie les expressions se faire baiser, se faire mettre, se faire entuber, comme équivalents de se faire berner, tromper dans les grandes largeurs. C'est exactement ce qui attend notre pays. A quand d'ailleurs au lieu de nos vieillots et poussiéreux Virginie, Aimée, Félicité, Sophie ou Conception, les Baisée, Foutue, Sautée, Fornication, autrement adaptés à la modernité ? Francis, franchement, que diriez-vous si votre fille s'exhibait à poil, le visage englué de foutre sous le nom d'Enculata ?
Pfouuu... ça devient un peu ordurier, non ?
Utilisateur anonyme
26 août 2008, 18:24   Re : Machin d'Où (ou Lano Nymat protège LeMessage)
« . Je n'ai rien contre la liberté débridée des moeurs à condition qu'elle aille de paire, ainsi que pour les libertins du XVIII ème, avec une liberté aussi débridée de l'esprit, comme les deux revers de la même médaille, liberté d'esprit qui, seule, permet de résister à toutes les formes d'oppression. »

Je signe, contresigne, soussigne, sursigne et applaudit !

Merci, Cassandre. Ce débat (comme dirait Bernard) est essentiel, à mon goût.
Non, simplement cru, je pense, ce qui n'est pas du tout la même chose. J'appelle simplement un chat, un chat, comme on dit. Ce qui tranforme le mot cru en terme ordurier c'est la vulgarité du propos et du style. Je ne pense pas que ce soit le cas, mais peut-être me trompé-je. Ce n'est sans doute pas à moi d'en juger.
Utilisateur anonyme
26 août 2008, 18:34   Re : Machin d'Où (ou Lano Nymat protège LeMessage)
Il n'y a rien d'ordurier dans vos propos, Cassandre, bien entendu.
26 août 2008, 20:08   Le cru et le cuit
Eh bien moi, j'ai été choqué; non par l'effet d'une quelconque pudibonderie de chaisière - j'en ai vu, lu et entendu d'autres-, mais parce que, encore une fois, sous prétexte de dénoncer quelque chose, on en rajoute une louche qui ne fait que grossir le tas. Je suis persuadé que l'on n'est pas obligé de se montrer aussi "cru", pour employer le mot de Cassandre, pour vitupérer. Je crois même fermement, au contraire, que l'on a fort à y perdre.
Utilisateur anonyme
26 août 2008, 20:51   Conception, Fornication, Foutrale,
Mais alors, Francmoineau, vous les nommeriez comment, vous, ces prêtes à naître (« Les Baisée, Foutue, Sautée, Fornication, autrement adaptés à la modernité ») ?

Je trouve au contraire qu'on ne comprendrait à peu près rien à ce qui se passe, si l'on n'avait pas des Cassandres prêtes à y aller.

Et puis, avouez, Fornication, c'est quand-même quelque chose, comme prénom, non ?
C'est toujours mieux qu'Enzo ou Kevina...
Mais je préfèrerais Anticonception, ou Contraception (à prononcer à l'espagnole).
Utilisateur anonyme
27 août 2008, 00:02   Re : Machin d'Où (ou Lano Nymat protège LeMessage)
Cara Sandra,

Non seulement l'écran a un très gros appétit mais il ne possède aucun système d'évacuation.

Dans l'hypothèse du maintien en service des ordinateurs, les capacités de stockage et de consultation de toute trace laissée sur Internet paraissent illimitées. C'est une de ces circonstances pour amateur de science-fiction et dont l'absence de précédent rend très difficile toute prévision (ou peut-être toutes les hypothèses, la vôtre, celle de Francis, celles que tant et tant parmi nous essayons de forger quant à l'évolution des choses, toutes finissent par se réaliser.)
Oui, l'instantanéité et la permanence du numérique font que le pays, la société, déjà, vivent un présent permanent fait de plusieurs époques superposées. Du Moyen-âge (islamiste) au XXIe siècle en passant par les années 1970 - on voit des jeunes gens qui s'habillent, se donnent un "look" années 70 et cela ne participe plus d'aucune mode "rétro", cela est ainsi, ces gens sont dans une époque-sphère coexistentielle aux autres -, dans les moeurs, la pensée, l'habillement, il n'y a plus d'époque, comme on disait autrefois, sauf que là, c'est vrai. L'époque n'existe plus, tout le monde à raison: tout se réalisera ou plutôt, puisque le temps ne s'écoule plus et que plus rien ne meurt: tout est réalisé, actualisé, est dans l'être-là et l'acquis-présent (paradoxalement grâce à l'intemporel virtuel)
Citation
Ce qui tranforme le mot cru en terme ordurier c'est la vulgarité du propos et du style. Je ne pense pas que ce soit le cas, mais peut-être me trompé-je. Ce n'est sans doute pas à moi d'en juger.

Non, chére Cassandre, vous ne vous trompez pas votre billet n'était en aucune facon ordurier.

Votre démonstration a été, une fois de plus, époustouflante.

Par contre j'ai les plus grands doutes sur "l'éternité du maintien en service des ordinateurs, les capacités de stockage et de consultation de toute trace laissée sur Internet". Rappellez-vous la disparition douloureuse de toutes les données de ce forum qui fut obligé, il y a quelques mois, de repartir à zéro.

Si quelqu'un a une quelconque idée sur un moyen de retrouver quelque part sur la toile ces informations numériques qu'il nous le fasse savoir.
Pour participer au vote, je tiens à dire que je n'ai lu aucun propos déplacé sous la plume de Cassandre, et que votre réaction, Francmoineau, m'a étonné. Pardonnez-moi, mais c'est elle que j'ai trouvé déplacée (mais bien entendu, parfaitement exprimable).
Utilisateur anonyme
27 août 2008, 10:18   Re : Machin d'Où (ou Lano Nymat protège LeMessage)
Ce serait un bien étonnant et amusant exercice d'employer, pour édulcorer le message de Cassandre, des approximations, des flous, des termes médicaux, des périphrases ondoyantes, des métaphores poétiques comme dans les romans osés d'autrefois ! On voit bien ce que son message en aurait perdu de vérité.
Utilisateur anonyme
27 août 2008, 11:26   Re : Machin d'Où (ou Lano Nymat protège LeMessage)
« L'époque n'existe plus, tout le monde à raison : tout se réalisera ou plutôt, puisque le temps ne s'écoule plus et que plus rien ne meurt : tout est réalisé, actualisé, est dans l'être-là et l'acquis-présent (paradoxalement grâce à l'intemporel virtuel) »

Vous touchez là à quelque chose d'essentiel dans le monde numérique, Francis ! Les réalités qui se superposent, qui ne sont plus dans un rapport dialectique les unes avec les autres, et qui, par l'effet de cette accumulation infinie, prive le réel de sa force régulatrice.

Il n'est plus besoin de nier quelque chose (et c'est bien l'affolante force du "pourquoi pas ?"), il suffit d'ajouter, par dessus, à côté, une "autre" réalité, un autre fantasme, une autre prise


Je ne suis pas d'accord avec vous, Roland : peu importe que les données (supports) numériques soient fragiles (et ils le sont effectivement), bien plus que les données (supports) analogiques, puisque la possibilité de leur reproduction ad infinitum est incluse de fait dans le principe du réseau. Le réseau implique que chacun participe à la reproduction, sans avoir besoin d'un passe, d'une autorisation, d'une raison. Chacun est donc de fait auteur, en ce sens-là. Et on ne prive pas de nous le faire remarquer, jour à après jour. Le pire étant qu'ils ont raison…
Vu sous un autre angle la pratique pornographique paraît comme un comportement infantile. L'autre est flou, lointain, indifférencié, etc. De là à "flirter" avec tous les archaïsmes, il n'y a qu'un pas.
Utilisateur anonyme
27 août 2008, 13:05   Re : Machin d'Où (ou Lano Nymat protège LeMessage)
Je ne suis pas certain de comprendre votre message, Cher Florentin. Comportement infantile, c'est-à-dire ? Et puis, surtout, "la pratique pornographique", voilà qui demanderait à être précisé.
Il y a beaucoup d'exemples sur le Net, beaucoup de vidéos accessibles très facilement. C'est toujours pareil et, surtout, on a la désagréable impression que, si les corps sont adultes les têtes ne le sont pas. C'est pourquoi je parle d'infantilisme. De plus, tous les grands cinéastes l'ont dit, on ne représente pas, on ne joue pas, on ne simule pas (par nature parce que c'est impossible, l'acte lui-même qui relève, comme l'a très bien dit Bunuel, d'une cérémonie privée que deux êtres se donnent.
Citation
Je ne suis pas d'accord avec vous, Roland : peu importe que les données (supports) numériques soient fragiles (et ils le sont effectivement), bien plus que les données (supports) analogiques, puisque la possibilité de leur reproduction ad infinitum est incluse de fait dans le principe du réseau.

Cher Boris,
Vous avez d'une certaine maniére raison et je donne un exemple illustrant la chose. Quand une célébre chanteuse croate se filme en train de faire l'amour et qu'un malin dérobe la cassette-vidéo (destinée à des fins privées) pour la mettre ensuite en ligne sur un site pornographique alors là bien sûr la reproduction ad infinitum s'avère vraie. Quoiqu'elle fasse cette dame ne pourra plus jamais arrêter le flux incéssant des copies numériques circulant sur la toile. On doit avouer que cette réplication à l'infini est vraiment inquiétante...

Par contre il ne faut jamais oublier que le réseau se reproduit grâce à des machines et que ces machines peuvent non seulement tomber en panne , subir des bugs mais aussi être détruites par la main de l'homme.

Voici ce qu' écrivait Eric Hoffer dans son journal "Before the Sabbath", entrée du 21 avril 1975:
Machines may make people superfluous, but they cannot make them harmless. Not matter how many and how ingenious the machines there will always be people around to mess things up.
Utilisateur anonyme
27 août 2008, 16:17   Re : Machin d'Où (ou Lano Nymat protège LeMessage)
Mais, justement, Roland, les machines peuvent tomber en panne, les disques durs être volés ou détruits par accident ou malveillance, mais, quoi qu'il en soit, ces événements n'arriveront jamais tous en même temps sur toute la planète. Dès lors, le cycle peut continuer…
Utilisateur anonyme
30 août 2008, 17:19   Sa-voir
Une image qui dit à peu près tout de la nouvelle pornographie.

[xxx, paraît-il]
30 août 2008, 19:27   Re : Sa-voir
Cher Boris, je vous conseille d'enlever cette image, non qu'elle me choque, mais afin que certains puissent continuer d'accéder à ce site à partir de leur lieu de travail ! Beaucoup de routeurs d'entreprise sont filtrés automatiquement par des listes noires passant par l'Amérique...
Utilisateur anonyme
30 août 2008, 20:00   Liste noire
Bernard, qu'est-ce que c'est que ce langage de jésuite numérique ? Je ne comprends rien à ce que vous me dites. Si vous me parlez des routiers américains, je comprends que je peux les choquer, mais les routeurs d'entreprise, qu'est-ce qu'ils viennent faire là, les routeurs ? Il me semble que nous n'avons que peu de routiers américains parmi les habitués du forum (peut-être Bruno Chaouat fait-il de la route ?), et si c'est la crudité de l'image qui vous choque, ce qu'après tout je peux comprendre, il me semble que nous avons eu par le passé sur ce même forum des images dont la crudité n'avaient rien à envier à celle-ci, qui me semble presque bon enfant. Mais il est vrai que les images en question montraient des sexes d'hommes… Faut-il en conclure que les femmes sont par nature plus choquantes, quand elles montrent leur sexe ?

Je plaisante un peu, mais je suis surpris de votre réaction, à moins que je ne la comprenne pas du tout, ce qui est possible.
Votre photo, Boris, c'est un peu la cour des miracles...
30 août 2008, 20:50   Re : Liste noire
Boris, ce n'est pas du jésuitisme numérique, je vous assure, et je connais un peu cette affaire. Beaucoup d'entreprises (la plupart des grandes entreprises et des administrations) utilisent un filtre dans leur routeur (c'est, si vous voulez, l'appareil qui distribue le réseau, et permet d'accéder aux adresses Internet). Bien entendu, ces institutions ne procèdent pas elles-mêmes au filtrage, elles ont recours à des listes toutes faites, et faites, bien souvent, aux USA, dont vous connaissez le puritanisme. La mise à jour des listes est automatique, un peu comme celle de votre antivirus. Une fois que l'adresse de votre site web y est repris, vous pouvez danser sur votre tête pour en sortir, il n'y a plus qu'à changer de nom de domaine...

Je ne sais si c'est le cas pour Rogemi ou pour Corto, mais c'est virtuellement le cas pour beaucoup de monde. Avouez qu'on s'ennuierait sans eux !
Utilisateur anonyme
30 août 2008, 21:03   Re : Liste noire
Je n'ai toujours rien compris, Bernard, et je vous assure que je ne le fais pas exprès. Pourriez-vous parler en langage "au quotidien", s'il vous plaît ? Je me demande bien si les autres vous comprennent, ou si je suis le seul abruti de service.

Pourquoi CETTE photographie aurait-elle maille à partir avec vos routeurs, et pas celles qu'on a abritées ici dans un passé proche ?
Utilisateur anonyme
30 août 2008, 22:59   Alors là !
"(...) certains puissent continuer d'accéder à ce site à partir de leur lieu de travail !"

Comment ! Sur leur lieu de travail ! Accéder à des sites ! Qu'est-ce que c'est que cette histoire ! Moi, ça me retourne de lire des choses pareilles. Il faut que "certains puissent continuer d'accéder à ce site à partir de leur lieu de travail !" Mais comprenez-les, Boris, ces certains qui bossent pour payer les épiceries sociales de bonnes femmes qui ne sont même pas unijambistes !
31 août 2008, 08:09   Le pied !
à propos d'unijambisme, Orimont, vous avez vu le pied de la donzelle?

Quelle grâce, quelle adorable vénustré, je ne suis pas sûr que la Brigitte Bardot de Dieu créa la femme en eût un d'aussi agréablement courbé et fin, d'aussi délicatement gras comme un petit pain de lait qui s'incurve, avec le minuscule dernier orteil en bourgeon de marronnier... à croquer !

Et quand on pense qu'il y a ici des sévères et des froids qui voudraient nous en priver au nom de l'émotivité de routiers américains. Un monde !
31 août 2008, 09:04   Re : Le pied !
Oh, vous savez, moi, j'aurai toujours accès à l'innocence-point-d'orgue !
C'est que justement, Francis, c'est moi qui voulait que ceux qui utilisent les réseaux d'entreprises n'en soient point privés à l'avenir, et que vous ayez toujours accès à votre Gradiva piercée.

Boris, je n'ai pas lu tous les fils, mais je n'ai rien vu d'aussi vulgairement porno ici. Montrez-moi donc ce que vous voulez dire. Mais je vous assure que l'on est à la merci d'une dénonciation imbécile, et que l'accès au dite pourrait en pâtir. Je ne suis pas puritain, mais j'ai une petite expérience des réseaux. J'ai dit.
Utilisateur anonyme
31 août 2008, 10:16   Re : Le pied !
« je n'ai rien vu d'aussi vulgairement porno ici »

Eh bien ça y est, vous l'avez dit.
31 août 2008, 12:36   Re : Le pied !
Mais vous-même, vous nous l'avez vendu comme tel, non ?
Utilisateur anonyme
31 août 2008, 12:43   Re : Le pied !
Non, pas du tout, Bernard ! Ce qui m'intéressait n'était pas le jugement moral ou esthétique, pas du tout, mais ce que cette photographie disait de la nouvelle pornographie. Ces jeunes filles qui s'exhibent si facilement sont les mêmes que celles qui sucent leur pouce et s'entourent d'images enfantines et de peluches. C'est de cela que je voulais parler, entre autre.

C'est comme avec Picasso, vous comprenez, une fois qu'on a dit que l'un était génial et les autres vulgaires, qu'a-t-on dit ? Il faut savoir si l'on accepte de regarder cette pornographie là pour ce qu'elle nous dit, et ce quelque chose me paraît sacrément intéressant.

J'ajoute que je suis un peu vexé que vous ne voyiez que ça, venant de moi. C'est de votre regard, que vous avez parlé, pas du mien…
Cher Jérôme, vous ne pouvez pas savoir si je n'ai vu « que » cela de vous, ne vous sentez donc pas vexé. En revanche, j'ai peut-être, en effet, vu quelque chose que vous n'avez pas vu : le regard des chiens de garde, et surtout le fait qu'il peut nous nuire, ce que, à mon avis, vous minimisez. J'en sais quelque chose, car j'en ai eu à connaître, dans un domaine un peu différent, et bien plus vite que je n'aurais imaginé. Que le site (tout le site "in-nocence.org", pas seulement le forum) soit sur une liste noire ne sera pas une promotion pour les idées du PI.

Du reste, bien d'accord avec ce que vous dites de ces filles.
Utilisateur anonyme
31 août 2008, 14:06   Re : Machin d'Où (ou Lano Nymat protège LeMessage)
Mais je vous le demande à nouveau, Bernard : expliquez-moi, simplement si c'est possible, en quoi le fait de reproduire une image qui se trouve sur un site accessible à tous, sur le Net, et qui n'est vraiment pas un site du genre de ceux que surveillent la police, je vous assure, en quoi, donc, cela peut bien nuire aux idées du PI ???

Quant à ceux qui "surfent du bureau", j'ai un peu la même position que celle d'Orimont…
Mais je ne sais vraiment pas comment m'exprimer plus clairement ! Il suffit qu'un petit con signale, à un prestataire de ce genre de service, le site comme inconvenant, avec référence à cette page-ci, pour que tout le site se retrouve sur une ou plusieurs listes noires, se copiant entre elles, et que, de par le monde, des milliers de ce qu'on appelle des « réseaux d'entreprise », c'est à dire des systèmes d'accès à Internet, n'aient tout simplement plus accès à ce site. Voilà en quoi les idées du PI ne seront pas avantagées, si cela arrive — et cela arrive très facilement !

Quant à la position d'Orimont, elle me permet de préciser qu'il ne s'agit pas de faire payer par le patron le surf de ses employés (ô vertu !), mais d'une simple question d'accès, même à partir de chez soi, si l'on a l'avantage d'utiliser un réseau d'entreprise — et je connais pas mal de gens qui peuvent le faire à titre privé. Sans parler, par exemple, des heures de table, pendant lesquelles chacun peut, j'espère, faire ce qu'il veut !
Utilisateur anonyme
31 août 2008, 18:12   Le festin de Bernard
Il ne s'agit pas "de faire payer le surf par le patron", Bernard, ce n'est pas cela dont il est question. Quand vous êtes au travail (pour le compte de quelqu'un d'autre) vous n'avez pas à "surfer", c'est tout. Si j'étais patron et que mes employés surfaient, je serais hors de moi. Quoi, on va bientôt nous expliquer que les empêcher de surfer (rien que d'écrire ce mot, je m'énerve…) est un crime ???
"Utiliser un réseau d'entreprise de chez soi" ? Dites, vous parlez de quoi, là ? QUI est concerné par cette pratique, ou cette possibilité, ici ?

Quant à votre explication concernant les "listes noires", c'est peu de dire que vous ne m'avez pas convaincu, Bernard ! Étrange que cette image, cette seule image, vous fasse réagir, alors que depuis des mois, on peut, si on veut, trouver ici des écrits qui mènent bien plus loin que ce vous nommez l'inconvenance, en terme de possibles dénonciations. Vous le savez aussi bien que moi. Vous êtes en train de dire que je vais priver "des milliers" de gens de l'accès au site de l'In-nocence" ??? Dites, quel pouvoir est le mien, c'est terrible !

Je vais l'enlever, cette image qui vous dérange tant, mais je trouve votre procès un peu louche…
J'ai simplement fait une petite remarque concernant les conséquences possible d'une telle image affichée ici. Toute l'ampleur que vous voyez à cette discussion (« ... qui vous dérange tant ») vient de la difficulté à me faire comprendre sur ce point de détail, que je croyais pourtant facile à saisir (mais je suis parfois étonné que le fonctionnement des réseaux, des "routeurs" et des filtres de contenu soient si méconnus).

« Qui est concerné ici ? » Mais encore une fois, il ne s'agit pas du forum, il s'agit de tout le site du parti, qui doit être accessible de partout et pour tous (le domaine internet in-nocence.org). Pourquoi faudrait-il tout faire pour qu'il soit encore plus confidentiel ?

Pour répondre encore à ce point mineur : certaines personnes ont une ligne téléphonique (IP) fournie par leur entreprise (à qui, d'ailleurs, cela ne coûte presque rien). Ils ont donc accès à Internet via le réseau de leur entreprise. De toute manière, trouvez-vous scandaleux que l'on lise un journal sur Internet pendant l'heure de midi en mangeant son sandwich ?? Mais vous voyez, je crois, pourquoi des filtres de contenu sont systématiquement installés...

J'ai demandé quelle image, ici, par exemple, rivalisait avec la vulgarité de la vôtre, toute autre considération mise à part. Je n'ai pas eu de réponse. Un lien pourrait m'éclairer sur ma pruderie. Encore une fois, je n'ai pas suivi tous les fils sur ce sujet.
Utilisateur anonyme
31 août 2008, 19:42   Re : Machin d'Où (ou Lano Nymat protège LeMessage)
« Pourquoi faudrait-il tout faire pour qu'il soit encore plus confidentiel ? »

Restons-en là. Cette question à moi posée m'est difficile à digérer.
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