Ramdam à Marseille

Un restaurateur agressé parce qu'il ne faisait pas le ramadan (Le Figaro)

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Pas de réaction, tant ce genre de fait divers semble devenu banal. Un silence consterné face à une telle accumulation.

Citation
Davoudi
Pas de réaction, tant ce genre de fait divers semble devenu banal. Un silence consterné face à une telle accumulation.

Il y a en effet des raisons de ployer. Je viens à l'instant d'assister à l'agression - très choquante - d'un couple de touristes allemands, un Maghrébin ayant tenté d'arracher le collier de la dame avant de prendre la poudre d'escampette en direction d'un parking souterrain, là où vivent les rats.

Je ne suis pas Superman , mais si ca m'arrive un jour , il n'ira pas loin :
commencez à vous entrainer ! : 5 km , 10 , 20 ....

J'ai été un peu court en dépit d'un démarrage dont un badaud a salué la fulgurance. Je regrette toujours de n'avoir pas pu l'attraper.

Sinon, à Aix cette fois, le monde (à l'envers) comme il va:

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Des policiers hospitalisés ? Voilà de la matière pour les nègres du président.

Je trouve votre là où vivent les rats un peu (comment dire) "limite", "Pierre-Jean C".

Je trouve votre là où vivent les rats un peu (comment dire) "limite", "Pierre-Jean C ».

Ça peut se discuter. Autrefois, on écrivait « les malandrins » ou « les petits voleurs à la tire », et c’était en soi infamant. Aujourd’hui derrière « les voleurs », il y a une montagne d’explications sociologiques exculpatoires. Les vraies victimes, ce sont précisément les petits voleurs à la tire, car c’est la société qui en a fait des voleurs, les vraies coupables, les dames qui se promènent avec leurs bijoux. Bref, on doit rajouter à la main, comme une épice, la mention infamante. Après, on peut discuter sur le choix des termes ; c’est une question éminemment littéraire.

(Message supprimé à la demande de son auteur)

Oh, il n'y a rien de particulièrement littéraire là-dedans : parler de rats juste après avoir parlé d'un Maghrébin, comme si ce dernier allait rejoindre ses semblables, c'est assez maladroit, pour ne pas dire pis.

(Bon, j'arrête de faire la police.)

(Ah pardon, j'ai été doublé, une fois de plus, par Didier Bourjon.)

Vous avez bien raison de pointer mes vilains défauts et les conséquences qu'ils peuvent entraîner quant à mon expression. Je vais tâcher, ici aussi, de me calmer un peu.

Je laisse en tout cas à M. Billy la paternité de l'analogie qu'il établit de lui-même entre "Maghrébin" et "rat", même si elle était peut-être contenue, en creux, dans mon rapprochement. Un rapprochement dépourvu, assurément, d'ambition littéraire!

Oh, il n'y a rien de particulièrement littéraire là-dedans : parler de rats juste après avoir parlé d'un Maghrébin, comme si ce dernier allait rejoindre ses semblables, c'est assez maladroit, pour ne pas dire pis.

Pardon ! il a parlé de rats après avoir parlé de parking. Qu’il y ait des rats dans les souterrains, qui peut le nier ?

Bily ne prend qu'un l, je crois.

Je suis certain que ce genre de rapprochement fait beaucoup pour l'image du PI.

Dites «lumpen»: vous ferez plaisir à nos lecteurs clandestins, et leur rappellerez fort à propos que les idéologies qui mettent en avant partage, solidarité, et bien public, se doivent par construction d'être plus impitoyables encore avec ceux qui truandent.