Le site du parti de l'In-nocence

Richesse du site d'Aldo Sterone

Envoyé par Virgil Waldburg 
sur lequel je trouve ces deux articles très intéressants :
"Qui est le monstre ? La Taquiyya en question"
Beaucoup d’Occidentaux utilisent le terme « Taquiyya » pour designer un certain comportement des islamistes. Il s’agirait pour ces derniers de mentir afin de dissimuler leurs vrais plans. Même si j’ai subi pendant des années les cours d’éducation islamique obligatoires dans les écoles algériennes, il a fallu que je vienne en Europe pour apprendre ce mot. Il faut dire que ces cours avaient un coefficient très bas et que je n’étais pas un exemple d’assiduité.

Enfin, heureusement qu’il y a Wikipedia [FR, EN] en tant que source neutre pour nous apprendre que ce concept existe bel et bien mais dans l’Islam chiite et autres sectes minoritaires. En fait, les sunnites ayant toujours régné par l’épée et en position de force, ils n’avaient pas besoin de mentir pour dissimuler leur appartenance ou leurs projets religieux. Au contraire, ceux qui appartenaient à des sectes minoritaires devaient souvent mentir et dissimuler pour assurer leur survie.

La Taquiyya a été inventée par des Occidentaux qui sont incapables de voir la réalité en face. Ils accusent les autres de la leur cacher. Quand je regarde les discours islamistes mais aussi les faits sur le terrain, il n’y a aucune dissimulation et il n’y a aucun mensonge. Pour éviter tout malentendu, voici les objectifs affichés des islamistes :

- Transformer tous les pays du monde en califats islamiques. Ceci inclut la France et les autres pays Européens.

- La France est conquise quartier par quartier, ville par ville. Il y a déjà officiellement 751 « zones sensibles ». Le nombre réel doit être au moins le triple. Progressivement, ces zones vont commencer à se toucher pour englober des Régions entières interdites à toutes les administrations et fonctionnaires français. L’Arabie Saoudite, par le biais du Qatar, avance ouvertement ses pions dans ces zones.

- L’Arabie Saoudite, le Qatar et la mouvance islamiste internationale ont compris que la France est peuplée de castrats qui votent pour leur propre disparition et qui sont même prêts à la financer.

- Le Califat en France est une certitude mathématique. Les Français ne font pas d’enfants et votent pour des partis qui nient même l’existence du concept de Français de souche. Avec le fruit de leur travail, ils financent l’accroissement exponentiel de tous ceux qui veulent bien se donner la peine et venir les remplacer.

- Comme dans tous les pays du monde où l’islamisme a pris le pouvoir, le jour venu, les Français devront choisir entre trois options : se convertir, partir, le cercueil. Dans de très nombreux quartiers en France, ces options sont déjà les seules disponibles.

- L’Establishment Français est déjà totalement vendu aux Saoudiens et fera tout pour favoriser l’islamisation rapide de la France. L’Armée française a combattu main dans la main avec des islamistes Libyens jusqu’à les faire assoir au pouvoir.

- L’Establishment US est de plus longue date vendu aux Saoudiens fera tout pour l’avènement de régimes islamistes commandant avec la sharia partout dans le monde. Savez-vous qu’un des rôles officiels assigné par Obama à la NASA est de promouvoir l’Islam [source] ?

Les islamistes ne vous cachent rien du tout et le plan pour vous est tout tracé. Juste continuez à cracher sur vos racines et les partis qui les défendent et non seulement vous allez disparaitre dans les poubelles de l’Histoire, mais vous allez le mériter. A Pompéi, les habitants n’ont pas eu à voter si le volcan doit les ensevelir ou pas. Personne ne leur a demandé leur avis. D’autres peuples se sont réveillés un jour sous les bombardements ou avec un coup d’Etat et des miliciens pleins de crack qui tirent sur tout le monde. Ceux-là non plus n’avaient pas eu le choix.

Vous, vous l’avez ce choix mais pas pour longtemps. Si votre pays se transforme en califat sous protectorat saoudien, je n’aurais aucune sympathie pour vous.
A propos de la taquyya et de l'islamisation

Les émeutes raciales en France
Emeutes Raciales

A l’image de l’Angleterre l’année passée, la France connait des émeutes raciales d’une ampleur qui devient difficile à dissimuler pour la presse prise entre ses dogmes et sa volonté de plaire au pouvoir local. Aujourd’hui, le régime français ressemble à un apprenti chimiste dont le labo menace d’exploser. Régulièrement, des villes s’embrasent spontanément à la manière d’un liquide inflammable s’approchant dangereusement de son point d’auto-ignition.

A chaque incident, les autorités françaises encaissent, minimisent et puis versent plus d’argent pour acheter la paix. En fait, ce n’est pas de la paix qu’elles achètent, mais du temps. Et comme dans toutes les stratégies de survie, le temps coute de plus en plus cher quand on s’approche de l’inéluctable. Le jour ou vous ne pouvez plus faire face a l’inflation exponentielle, vous êtes mort.



Plus d’Aides Sociales Encore…

Grace une impressionnante palette d’aides sociales, la France a attire une forte proportion d’immigration de bouche issue du d’Afrique et du Maghreb. Avec un monde où 1300 millions de personnes vivent dans la pauvreté absolue, rien qu’en offrant un logement social et 50 Euros par semaine à des non nationaux, on peut se retrouver avec des certains de millions de candidats venant de partout. Or, la France est un des rares pays dans le monde à cultiver cette étrange singularité qui consiste à importer des gens pauvres sur le plan économique et moral puis les payer pour faire des enfants. Une grande partie de ces personnes ne cherche pas à s’intégrer dans un autre pays et profiter d’une autre donne basée sur le travail, le respect mutuel, l’égalité et l’amour de l’autre. Tout comme l’eau courante ou l’électricité, ces valeurs ne sont pas arrivées partout dans le monde. Elles ne sont pas universelles.

La majorité des peuples ne sont pas prêts a renoncer à leurs traditions, leurs religions et leurs abus quand même il leur est démontré que ces pratiques mêmes sont responsables de leur état de misère depuis des générations. Un peuple qui croit soigner avec la sorcellerie, ne peut pas connaitre la médecine. Un peuple chez qui un frère a le droit et le devoir de battre sa sœur parce qu’elle rentre tard ne peut pas connaitre la paix.



Immigration de Bouche

Une grande portion des immigrants qui viennent en France, n’y viennent ni pour découvrira le terroir, ni les us et coutumes locales. Ils viennent pour bénéficier des aides sociales tout en renforçant leur adhésion à leur mode vie. Le fait de troquer une vie pénible et pleine de privations contre une vie de rentiers sociaux leur permet une sorte de repli sur les valeurs du pays d’origine. Ceci est possible parce que la France offre argent, logements, soins médicaux, passeports sans rien exiger en contrepartie. Pire encore, ceux qui se sont frottés aux circuits de l’immigration sortent avec une expérience étonnante: le système semble favoriser ouvertement les personnes qui ne s’intègrent pas, qui refusent les lois de la République et qui crachent sur la culture locale. La pire chose que peut faire un aspirant à l’immigration en France est de montrer la moindre forme de considération pour le pays d’accueil. Ainsi, il très courant de voir un médecin se faire refuser un visa pour une conférence et un multirécidiviste avec la nationalité Française. Ca défie toute logique. C’est l’exception française.



L’intégration Impossible

A la fraction de Maghrébins et autres Africains qui peuvent s’intégrer en France, fait face une armée de voyous qui ne laissent pas faire. Cette milice a besoin de créer des zones de non droit pour pouvoir faire du recel et trafic de drogue sans risques. Ce sont ces groupes qui ont vicieusement et avec beaucoup de racisme chassé les Français qui vivaient dans les cités. Certains de ces habitants chassés étaient eux-mêmes des Français issues de vagues migratoires précédentes depuis l’Europe du Sud. Leurs voitures ont été brûlées, leurs boites aux lettres défoncées, leur enfants agressés jusqu’a ce qu’ils partent. De ceux qui n’ont pu aller ailleurs, ils exigent le silence, la soumission totale et le regard baissé sous peine de mort. Ces voyous ont enrôlé jusqu’aux enfants des cités en les utilisant comme guetteurs, les faisant plonger dans la délinquance et leur retirant tout prospect d’une scolarité et d’une vie normales.

Contre les habitants des cités qui sont originaire de l’immigration, cette mafia a pratiqué une politique d’encerclement et d’isolation. Une fois qu’on se retrouve entre « Maghrébins », la loi du silence tombe comme chape de plomb. Entre ces habitants et la France il y a une barrière qui fait qu’après plusieurs générations, aucune intégration, aucun rapprochement ne sont possibles.



Des Trajectoires Divergentes

Pire encore, cette société issue d’une immigration récente et la société Française d’origine évoluent selon des trajectoires divergentes. Les Français reçoivent la bonne parole et les vérités toutes faites depuis des chaines de télévisions appartenant au régime ou bien à de grands groupes financiers. Ils apprennent à se détester et à avoir honte de leur passé. Ils apprennent que le fait même de revendiquer leur identité est un crime impardonnable.

En même temps, les habitants des cités ont leurs antennes paraboliques tournées vers des chaines financées par le Wahhabisme triomphant. Ils y voient des gloires qui n’ont jamais existé et une identité fabriquée sur mesure pour combler leur vide.

Aujourd’hui, un prédicateur Qatari mi-moukhabarat mi-CIA a plus de poids dans les cités que tous les élus Français réunis. Ce n’est pas par hasard que des gens originaires de l’immigration disent ne pas vouloir se plier aux lois de la République. Ils voient bien à quoi ça a servi aux Français de souche de respecter ces lois scélérates qui enferment la victime et libèrent les récidivistes prêts à tuer. A ces lois, ils préfèrent celles d’Allah, ou tout du moins présentées comme telles, par les medias arabes aux financements inavouables.

Aujourd’hui, il y a un tel communautarisme en France qu’une personne peut arriver d’Afrique et parler sa langue maternelle sans jamais avoir à parler en Français. Ceci est déjà grave pour ceux qui arrivent d’ailleurs, mais encore plus dramatique pour ceux qui naissent en France mais bercent toute leur vie dans un environnent qui ressemble a une mauvaise imitation du pays de leurs arrières grands-parents.



La Wahhabisaton

En 1970, l’Algérie était un pays à majorité musulmane depuis plus de 1000 ans déjà. Durant le Ramadan, dans les cafés se côtoyaient ceux qui mangeaient et ceux qui jeunaient par conviction. Aujourd’hui, les cafés sont fermés durant le Ramadan. Il y a 100% de jeuneurs dont une bonne partie qui mange en cachette dans la salle de bains. Une personne qui mange en public peut se faire insulter, lyncher ou arrêter par la police. En Arabie Saoudite, ils ont une police religieuse. C’est une bénédiction ! Au moins, on peut les identifier et attendre qu’ils aient le dos tourné pour reprendre sa vie normale. Dans la société maghrébine d’aujourd’hui, les choses sont pires encore. N’importe quelle personne a un droit de regard, de contrôle et d’intervention totale et absolu sur les autres. C’est une société pathologiquement liberticide qui tue dans l’œuf toute initiative de changement, de développement ou de dissidence. Les récalcitrants sont brisés.

Aujourd’hui, la vie des les cités en France est une projection déformée de la société du Maghreb. Elle porte en elle-même les graines de son échec. Elle est aujourd’hui manipulée par les mêmes esprits pervers et tordus qui poussent les sociétés arabes vers leur perte. Leur idéologie est nécrophile. Elle est basée sur le refus de la vie. Elle demande de sacrifier sa vie en échange d’un remboursement intégral après la mort.



Un Pays en Ruine

La France est en train de devenir un pays en ruine sur le plan spirituel, ouvert à tous les relativismes et prêt à se coucher devant le premier venu. Pour éviter la violence, tout le pays s’agenouille sans violence. En plus ça se sait.

Finalement, tous ceux qui au cours des millénaires ont amassé des armées pour venir vous trucider aux frontières du royaume n’avaient rien compris.

Les émeutes raciales en France
Toujours aussi excellent ce Aldo. Il dit des choses vraies simplement, avec humour et une sorte de détachement qui rend son expression très efficace.
La seule réserve de ma part, ce sont toutes ses coquilles et fautes d'orthographe - pas grand-chose, mais ça gêne un peu la lecture. Il devrait faire relire ses articles par des lecteurs qui découvrent ses textes : c'est ainsi qu'on aperçoit fautes et coquilles.
"L’Arabie Saoudite, le Qatar et la mouvance islamiste internationale ont compris que la France est peuplée de castrats qui votent pour leur propre disparition et qui sont même prêts à la financer."

"Pour éviter la violence, tout le pays s’agenouille sans violence. En plus ça se sait. Finalement, tous ceux qui au cours des millénaires ont amassé des armées pour venir vous trucider aux frontières du royaume n’avaient rien compris. " Aldo Sterone

La couardise est-elle inscrite, de manière indélébile, dans les gènes blancs ? Beaucoup se délectent de cette pensée. Pourtant, quand les armées se massaient aux frontières du royaume, les "castrats" s'entretuaient avec bravoure. Ce ne serait donc pas les gènes mais la disparition des frontières et des royaumes qui expliquerait leur prétendue couardise ou, plus précisément, pour le même motif, leur courage, pas plus que leurs gènes, ne serait en cause mais la seule politique qui les mène, le pluralisme à courte vue.

Les petits blancs sont téméraires quand ils affrontent en solitaire les océans, les montagnes ou les jungles mais, sans royaume ni frontière, ils interprètent le grand remplacement, le problème et sa résolution pour les uns ou l'aubaine et le parti à en tirer, pour les autres, dans les termes de la démocratie libérale qui exclut tout affrontement sans merci, se fait une vertu de les surmonter tous, attend toujours des négociations le progrès dans la paix.

Aussi, aveuglés par la prétention du pluralisme à répondre à tout, ne voient-ils pas le pluralisme des opinions (sur "le monde commun") le céder au relativisme des identités, toute forme de révélation (l'absolu, la terre, le sang) s'effacer derrière les opinions (de moins en moins inspirées par le bon sens ou le monde commun) et la somme des "sauts évolutionnaires" qui ont abouti au pluralisme en passe d'être balayée par des mondes qui ne les ont pas connus, pour paraphraser Philippe Nemo.

Le récit des chroniqueurs, tel Aldo Sterone, doit donc inspirer des théories politiques pour que soit sauvé ce qui peut l'être là où c'est encore possible.
Thèse remarquable, (plutôt bien) exposée par un commentateur du blog Stérone, sur le Grand Remplacement, qui présente au moins l'intérêt de l'originalité (à mes yeux). Le white flight que l'on observe en France en direction des zones rurales face au Grand Remplacement qui se noue dans les zones périurbaines semble corroborer cette thèse :



« Ville par ville », « quartier par quartier », certes, mais vous semblez ignorer le socle historique de toute l’histoire de France depuis le haut Moyen âge. Je me permets donc de vous proposer ce petit aperçu historique, lequel peut-être atténuera vos certitudes dépressives.

1)
L’affrontement des campagnes contre les villes a toujours primé tous les autres, même les affrontements religieux, et surtout les affrontements de classe, n’en déplaise à la mécanique idéale de l’histoire rêvée jadis par Marx, devant la violence des guerres de rue qui ont ensanglanté nos villes durant la première moitié du dix neuvième siècle.
Marx n’a jamais beaucoup aimé les ruraux. Il ne voulait donc pas savoir que cette violence était précisément d’origine rurale, et que les prolétaires armés de 1830, 1831, 1834, 1839, 1848 (février et juin, dieu que la liste est longue !) n’étaient pas sortis du néant urbain, mais bien de l’atavisme de leurs ancêtres les croquants qui ont, des siècles durant, lutté pied à pied contre LA ville. Ce Paris qui symbolisait moins pour eux le lieu du Prince, que l’astre du pouvoir centralisateur et spoliateur des bourgeois et « des grands ».
L’ascension du pouvoir monarchique absolu en France, principalement sous Louis XIII et Louis XIV, se fit malgré les campagnes, qui connurent elles aussi de véritables guerres civiles, un phénomène peu connu voire occulté par les historiens eux-mêmes.
La dernière d’entre elles, la guerre dite « des camisards », dans les Cévennes au tout début du dix huitième siècle, d’essence apparemment religieuse mais où l’on retrouve toutes les constantes des « émotions » qui avaient jalonné le siècle précédent, vit la meilleure armée d’Europe se faire durement malmener par des bandes de guérilléros avant la lettre.
Mais cette problématique existait déjà trois siècles plus tôt.
Que fut la guerre de cent ans, sinon la longue histoire de l’arraisonnement du Paris intellectuel (la première force intellectuelle étant la cléricature religieuse) et cosmopolite (déjà vendue aux intérêts anglo-saxons, l’une de ces fameuses constantes dont je parlais) par le poids géographique et forcément politique des campagnes, que symbolisait bien « la bergère » Jeanne d’Arc ?

2)
Une fois la monarchie absolue installée, ce furent les campagnes qui décidèrent du sort de TOUTES les révolutions. A commencer par la première et la plus cataclysmique d’entre elles, celle de 1789. L’ouverture que représenta la prise de la Bastille fut en effet immédiatement refermée par le soulèvement général des campagnes de la deuxième moitié du mois de juillet 1789, plus connue sous le terme de « grande peur ».
C’est fondamentalement contre elle que les détenteurs de patrimoine lâchèrent précipitamment leurs privilèges durant la fameuse nuit du 4 août, par crainte de tout perdre au bout du compte.
Après ce mois fatidique, les campagnes ne jouèrent plus que le rôle d’une ancre énorme, destinée à fixer le navire urbain révolutionnaire, en attendant l’arrivée du timonier Bonaparte.
La preuve en est que, vainqueurs de toute l’Europe, les armées révolutionnaires organisées par les villes ne purent jamais venir complètement à bout en revanche de l’embrasement des campagnes de l’ouest.
Napoléon seul y parvint, tout en promulguant ce véritable code de la propriété paysanne que fut la première mouture du code civil national.


3)
L’aventure révolutionnaire de 1789 consacra de fait un équilibre ville versus campagne, qui perdurera jusque au lendemain de la seconde guerre mondiale.
Cet équilibre explique pourquoi l’histoire économique et politique de ce pays est tant marquée par sa ruralité. Toutes les révolutions menées par la ville y furent permises à condition qu’elles ne remettent pas fondamentalement en cause cet équilibre, y compris la révolution industrielle.
Quant aux révolutions politiques, leur point commun est d’avoir toutes été écrasées par l’entrée en lice des milices levées dans les campagnes. Ce fut le cas autant en juin 1848 que sous la Commune de 1871.
Même le poids et l’autonomie des maquis provinciaux dans la puissante organisation des communistes à la fin de la seconde guerre mondiale, explique le rôle finalement pacificateur du PC français à la libération (je rappelle que le seul maquis qui fut militairement capable d’affronter –et de battre- les divisions allemandes, fut celui du communiste Georges Guingouin dans le limousin – « le fou au fond des bois », comme l’appelaient les staliniens urbains de l’époque).

4)
Les années cinquante virent le début d’une nouvelle séquence, totalement inédite en regard de l’histoire de France passée. Apparemment en effet, l’équilibre séculaire qui présidait aux rapports entre les villes et la campagne fut irrésistiblement rompu au profit des premières.
Les leviers de cette gigantesque transformation furent principalement les mirages de l’état providence (mirages parce qu’ils portaient la promesse de l’éternité), et les contraintes « nécessaires » posées par la construction européenne, laquelle n’a jamais pu être autre chose qu’un rouage de la mondialisation marchande.
La première de ces nécessités fut de démanteler la puissance agricole française sur l’hôtel de la concurrence internationale pure et parfaite, sans en rire (j’ai peine à croire que j’ai connu le temps où l’on enseignait encore pourquoi la France était la deuxième puissance agricole mondiale, à la corde avec les USA, alors que nous ne sommes aujourd’hui même plus auto suffisants pour notre production céréalière !).
J’ai parlé d’apparence irrésistible, car qu’en est-il exactement ? Le mouvement a véritablement triomphé pendant la face des trente glorieuses, avant d’être frappé plus loin d’entropie à plus d’un titre.
Il est flagrant de constater aujourd’hui que l’élan n’a pu être poursuivi au-delà des années quatre vingt qu’au prix d’un endettement généralisé de TOUS les acteurs économiques, publics et privés (personne ne parle trop de l’endettement privé des entreprises, bien plus considérable que celui des états). Les villes et le mode de vie qu’elles génèrent ne pousse en fait que comme le reste, à crédit illimité.
« Vivre à l’heure de la mondialisation » était encore le graal des métropoles petites et grandes il y a seulement vingt ans, mais il s’avère que le paradis annoncé est porteur de bien des fruits amers.
J’ai plutôt l’impression qu’aujourd’hui les villes ne tentent de survivre à leur étouffement par insolvabilité qu’en cherchant de l’air sur ces campagnes proches qu’elles ont prétendu effacer de l’histoire promise.
Ce retour de bâton prend d’autant des allures de débâcle, qu’il nourrit toujours plus l’implacable et bien connue logique foncière, laquelle rejette les plus pauvres des villes vers leur périphérie.
La dualité très contemporaine entre la France qui s’en sort et celle qui ne s’en sort pas, est en train d’accoucher d’une très mauvaise surprise pour les obsédés de la modernité, puisque cette dualité tend à ressusciter une autre dualité, séculaire celle-là nous l’avons vu, entre les rats des villes et ceux des champs.
L’histoire pourrait fort bien bégayer dans cette nouvelle configuration, puisque, dans un contexte de mondialisation qui s’essouffle, crise de l’énergie et grande spéculation sur les matières premières oblige, la France pourrait fort bien trouver une solution de repli sur son espace intérieur, toujours susceptible d’être au moins en mesure de la nourrir.

5)
Je crois donc que l’avenir de l’immigration dans ce pays prend dans ce contexte une autre tournure -moins favorable- que celle que vous imaginez.
Oui, l’immigration organisée revêt souvent dans nos villes des allures de conquête idéologique et géopolitique (le « retour du religieux » est un euphémisme de philosophe), mais il s’accompagne d’un vaste mouvement de repli des français de souche plus ancienne (les fdspa pour éviter tout sectarisme historiquement absurde) sur leur espace vital, un peu à la manière dont les russes ont toujours cherché à noyer leurs envahisseurs dans leur espace à eux.
Ce mouvement est nécessaire, à cause des logiques foncières et fiscales dont j’ai parlées plus haut. Mais il est volontaire également puisqu’il marque le souci diffus de fuir le territoire occupé pour œuvrer et payer le moins possible en faveur du nouvel occupant.
La revanche de l’exclus est aussi de fuir une situation qui portera d’abord préjudice à ceux qui ont organisé son exclusion, toutes ces belles âmes bourgeoises et bohèmes, qui seront les premières victimes de ces zones d’abattage rituel idéales que deviennent nos villes et nos quartiers (et que vous avez bien raison d’identifier comme tel).
Les bourgeois urbains apeurés feront alors ce qu’ils ont toujours fait par le passé en situation de détresse politique, en appeler au reste du territoire pour sauver ce qu’il restera de leur peau et de leur vernis moral.
Lisez, ou relisez ( ?), les livres de Christophe Guilluy. Le géographe démontre sans détour que la conquête exogène par les ventres est un mythe, ou, ponctuellement, une réalité locale très partielle. Les campagnes de France se repeuplent et font preuve d’un dynamisme méconnu parce qu’ignoré par la doxa dominante, laquelle ne connaît que ses prédictions auto réalisatrices.
Les taux de fécondité des départements les plus pauvres de France, tous ruraux et où les rapports allogènes / endogènes n’ont que très peu évolué depuis vingt ans, y sont à peine inférieurs à ceux que connaissent les périphéries urbaines à dominante immigrée.
Il est probable que joue ici dors et déjà un réflexe de survie bien connu des populations pauvres qui se sentent menacées, considérer sa progéniture comme une richesse, ce qui n’a rien à voir avec le fait de la considérer comme une source de revenu (on n’en a pas fini avec les effets pervers et inattendus des politiques migratoires dans un cadre d’austérité généralisée).
Dans la perspective d’une guerre civile que je juge désormais inévitable (bah ! Laissons la venir, c’est un célibataire sans enfant qui vous parle), le mouvement de chassé croisé ne fera que s’accélérer au détriment de ceux qui seront assiégés par le camp adverse, une configuration historique également bien connue.
L’international, bien sûr, sera concerné, nous vivons une époque formidable…
En attendant, le coup d’envoi du vilain bordel (ou du bordel de vilains) pourra être donné à l’occasion des prochaines élections, dont je doute fort qu’elles nous amènent à franchir un palier sans passer par le cap des tempêtes.
Quel sera le futur « fou isolé », celui qui fera irruption dans un bureau de vote en faisant un carton sur les fachos potentiels ? Ou encore quels seront les points d’attaque et de crémation des bureaux de vote à vocation civique et humanitaire identique, en cas d’une vilaine surprise au premier tour ?
L’essentiel, n’est-ce pas, sera de suspendre un temps « tous nos motifs de division » et de partouzer tous ensemble (tous ensemble) dans le cadre d’une vaste unité civique nationale !
Les mauvais citoyens seront de toute façon châtiés…

Si nous échappons à l’apocalypse (qui sait ?), il sera de toute façon obligé (je sais combien cela est tentant) d’éviter toute occasion de provoquer un affrontement.
Dans l’immédiat, l’essentiel est d’assurer un volume de voix suffisant au plus mauvais canard du lot électoral (à la plus mauvaise cane devrais-je dire).
Le temps des marches forcées en troupeau (tous ensemble tous ensemble) ne sont pas non plus de notre bord, tant elles montrent leur inefficacité absolue. La dernière cartouche de mai 68, vieux jeunes et jeunes vieux confondus, aura peut-être été tirée par Mélenchon il y a quelques semaines, place de la raie-publique, dans le trou parisien.
A nous de le lui démontrer en tout cas.
Je crois aussi que ce vieux peuple rural que constitue l’Irlande, en ressuscitant le bon vieux boycott de l’impôt, nous ouvre une voix prometteuse, plus difficile à mater en tout cas qu’avec des balles en caoutchouc et des lasers aveuglants…
C'est effectivement remarquable.
Utilisateur anonyme
20 août 2012, 21:25   Re : Richesse du site d'Aldo Sterone
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Cher Francis, votre analyse est remarquable et on ne peut plus convaincante. Toutefois cette volonté de mettre de la Diversité partout , sous le prétexte, entre autres, de mixité sociale avec amende multipliée par cinq pour les municipalités qui voudront s'y dérober, ne risque-t-elle pas de rendre cette "reconquista" par la campagne illusoire ? J'ai des amis qui se sont installés dans un petit village aux environs de Toulouse pour échapper et surtout faire échapper leurs enfants à l'envahisseur. Tout allait pour le mieux : nature paisible, prospère, domestiquée à point à perte de vue, et vieux clocher en sentinelle à l'horizon . Pas l'ombre d'un Arabe ni d'un Africain à cent lieues à la ronde, et puis patatras : un jour, à proximité de leur hameau, ils ont vu s'édifier le "logement social" ! Ont suivi deux, puis trois, puis quatre familles de "Divers", avec en moyenne cinq enfants par famille, dont une quinzaine de garçons. Adieu veaux, vaches, cochons, couvées et la tranquillité ! Et je crois que beaucoup de nos compatriotes connaissent la même mésaventure.
Chère Cassandre, le texte que j'ai mis en ligne ici n'est pas de moi. Vos objections paraissent évidemment valides. Cependant, c'est le volet "historique" de la thèse qui est intrigant, même s'il est contestable. Il met le doigt sur ce qui est peut-être une spécificité française qui pourrait ne trouver son pendant dans aucun pays d'Europe si ce ne sont la Russie et possiblement l'Espagne. La Résistance, dans ses aspects militaires, pendant la seconde guerre mondiale, eut pour théâtre essentiel le monde et l'espace ruraux, l'Occupant d'alors, sur le sol français, à l'instar d'un Mohammed Merah, se voulait par contraste essentiellement animal urbain, moderniste, jeuniste, etc.. Et il continue d'être remarquable que l'idéologie de Vichy, qui se voulait elle aussi résistante "au malheur qui frappe le pays", prônait une renaissance par la ruralité et "la terre", vieux réflexe gaulois, apparemment.
Autre considération, pertinente à cette thèse: les néo-colons ayant pour activités principales, pour "coeur de métier" comme disent les dirigeants d'entreprise

a) la fréquentation des bureaux d'aide sociale; et
b) le biznis de la revente de substances illicites,

il s'ensuit que leur base en même temps que l'objectif de leur expansion ne peut être que l'environnement et le territoire urbains. La conquête de l'espace urbain leur est économiquement naturelle. Les néo-colons, semblables en cela à tous les truands ordinaires sur toute la surface de la planète, dé-tes-tent la campagne!

Par contrecoup c'est le monde rural qui doit être opposé à leur expansion et servir de base stratégique à cette opposition. Logique, simple jusqu'à l'écoeurement, et pourtant vrai. Les vérités refoulées ne le sont souvent que parce qu'elle sont perçues comme trop simples et trop évidentes.

Colons à l'ancienne = investissement de l'espace rural (Algérie coloniale; Amériques coloniales):

Néo-colons = investissement de l'espace urbain par la violence et la nocence et investissement des institutions par l'idéologie dite "anti-raciste", soit la promotion sociale et politique collective en fonction de l'appartenance raciale, ethnique, ce système de promotion collective de la néo-diversité étant uniformément et officiellement désigné comme "discrimination positive" dans les appareils de gouvernement et avec l'aide de leurs auxiliaires que sont les assoces, ces dernières assurant une triple mission : battage idéologique, terreur judiciaire et détournements de fonds publics.

[message modifié]
Utilisateur anonyme
21 août 2012, 08:40   Re : Richesse du site d'Aldo Sterone
(Message supprimé à la demande de son auteur)
21 août 2012, 09:21   Soumission ?
Oui mais, cher Bourjon, selon une étude récente de l’Institut de l’avenir du travail IZA de Bonn, l'implantation d'immigrés rend les gens plus heureux. Certes, il est reconnu dans cette étude que leur niveau scolaire est très bas et que leur taux de criminalité est plus important ; mais songez : les immigrés sont aimés parce qu'ils permettent à la population qui n'en peut plus de manger toujours la même chose depuis des siècles de varier le menu, et aussi de trouver plus facilement des bonnes d'enfants. Ce n'est pas négligeable, et à mon avis tous vos amis de la périphérie de Nantes doivent se frotter les mains à l'idée de voir bientôt fleurir autour d'eux tous ces réservoirs à kébabs et à nourrices.

[www.lalibre.be]
Utilisateur anonyme
21 août 2012, 09:25   Re : Richesse du site d'Aldo Sterone
(Message supprimé à la demande de son auteur)
21 août 2012, 09:36   Très fort
"Selon l’étude, les immigrés sont aussi heureux, surtout si d’autres immigrés vivent déjà dans leur voisinage."

C'est un peu comme les faux-travailleurs accoucheurs d'études et de rapports, ils sont aussi heureux, surtout si d'autres faux-travailleurs étudient dans leur voisinage.
Dans un coin reculé de la ville, attablés dans une sombre salle de café, deux hommes discutent. Il s'agit d'une affaire que le premier homme propose au second. Une bouteille, une bouteille peu commune, est à vendre. Grâce à son acquisition, celui qui la possède pourra être exaucé d'un vœu. A cela il y a une sorte de charte. La bouteille devra être revendue à un prix moindre au prochain client. Il est entendu que le dernier acquéreur, le plus désespéré, ne pouvant plus baisser le prix, se retrouvera avec la bouteille pour toujours... et à jamais. Son âme sera alors acquise au diable.
La bouteille s'écoule de main en main, comme un sablier, jusqu'à corrompre définitivement l'âme du dernier acheteur. Chacun d'eux augmente le risque, jusqu'au dernier qui accepte de vendre son âme au diable pour un simple vœu.
21 août 2012, 11:10   Re : Très fort
Les jours où je sens se réveiller mon côté "madame soleil", je vois la France se médiévaliser progressivement mais à l'envers : les populations actives et productrices de richesses -- essentiellemetn "de souche" -- désertant les villes abandonnées à l'envahisseur, pour s'installer dans les zones rurales, la capitale elle-même n'étant plus que le siège d'un gouvernement fantoche et fantômes ainsi que le territoire de quelques milliers d'irréductibles collaborateurs. Ceux qui ne trouveront pas de quoi vivre parmi ces exilés loueront leurs services aux riches actifs, entre autres celui de les défendre contre les razzias éclairs que ne manqueront pas d'organiser régulièrement les envahisserus urbains en direction de ces lieux de repli. En échange de quoi les riches en question assureront aux plus démunis la nourriture et l'armement : motos, quatre-quatre, révolvers, fusils à pompes, mitrailleuses, etc. De nombreux domaines seront sécurisés -- cette façon moderne de se fortifier"-- afin de donner éventuellement refuge aux populations sans défense averties peut-être à nouveau, comme jadis, par le tocsin des églises. Le métier des armes reprendra du prestige. Les jeunes en feront l'apprentissage et les plus audacieux finiront par devenir de sortes de " chevaliers " "errants motorisés offrant temporairement leurs services à qui les leur réclamera, ou choisissant de s'attacher pour la vie à quelques "suzerains" assurés de leur fidèlité qui eux-mêmes les auront distingués comme hommes lige et leur donneront pour finir leurs filles à marier et une partie de leurs biens. Les voyages en ville, réduits au maximum, ne se feront qu'en cas d'extrême urgence, en voiture blindée et sous protection de "vassaux" armés, comme les dilligences d'antan traversant à leurs risques et périls le pays indien.
Utilisateur anonyme
21 août 2012, 11:31   Re : Très fort
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Chère Cassandre,
Allez au Brésil, c'est déjà comme vous le décrivez - notamment dans le ghettos pour riches que sont Leblon (à Rio) par exemple, à côté de favellas. Les grands propriétaires terriens sont assez en sécurité et se défendent très violemment contre les incursions de "sans-terre" - parfois infiltrés par d'autres groupes aux doléances moins sociales.
Après l'Islam, voilà la géographie convoquée afin de trouver la frontière qui manque pour reconnaître les partis en conflit, les enjeux du conflit, les territoires du conflit, bref pour créer les conditions d'une guerre ou, Dieu m'entende, de la résolution du conflit contre la France, enfin reconnu, par d'autres voies que la guerre.
Pourtant, l'Islam et la ville vaincront sans combattre faute d'adversaire à réduire, de territoire à conquérir, de civilisation à abattre car on ne combat pas la démocratie libérale, qui croit pouvoir tout absorber, on s'y répand et l'étouffe peu à peu.

La géographie et l'Islam sont prises dans la matière collective où tout s'entremêle : les villes et l'Islam pénètrent les campagnes et les peuples. Faut-il tirer les bobos en goguette dans les vignobles du Chablis ? Devais-je m'interdire d'aider Mireille qui me remercie gentiment parce que mariée à Mohamed tout aussi aimable, d'ailleurs ? Or, la démocratie libérale plonge les têtes dans cette matière, sans parti et sans frontière, et les empêche d'en ressortir, car la cécité politique est la condition de l'autonomie et de la complexité dont elle attend tous les bienfaits.

Pour que le sens que l'Islam et la géographie donnent à la destruction en cours cristallise dans les crânes hébétés par la démocratie libérale, il faudrait aussi établir les conditions politiques de la réception de ce sens. On ne peut, comme le fait Philippe Nemo, traiter la démocratie libérale comme une civilisation à défendre contre d'autres qui la menaceraient. Pour acquérir cette conscience d'elle-même, elle a besoin, à ses côtés, de régimes fondés, ceux-là, sur la conscience et la contemplation. Encore une fois, tirons les leçons de ce que nous apprend de la démocratie libérale l'un de ses papes : "la matière collective que le conflit brasse et articule pourrait à la limite se renouveler entièrement [...] sans que cette solution de continuité identitaire et morale n'affecte aucunement son fonctionnement régulier. Marcel Gauchet"
Comment sous un tel éclairage, et sans en promettre un autre (un Etat, un roi, une monnaie, des "leader", des cités, des patrons, des peuples et un peuple, des pays et un pays), penser que l'Islam et les campagnes puissent révéler le sens de ce qui advient ou espérer que le PI soit entendu ? New York a sa réponse : verts, les éclairages.
Citation
De nombreux domaines seront sécurisés – cette façon moderne de se fortifier"– afin de donner éventuellement refuge aux populations sans défense averties peut-être à nouveau, comme jadis, par le tocsin des églises.

Merci Cassandre mais ce que vous nous promettez pour le futur constitue déjà le présent en Afrique du sud, au Brésil comme le souligne Virgil, aux USA dans des zones de protection armée qui sont non seulement clôturées mais protégées par des "gardes armés" qui patrouillent nuit et jour, au Mexique et dans la plupart des pays d'Amérique du sud.
En France on en trouve déjà sur la Côte d'Azur où par exemple le Domaine de Terre Blanche dont le propriétaire est un magnat allemand est entièrement clôturé comme une prison cad double grillage, caméra tous les 100 m, chiens et patrouilles circulant nuit et jour pour protéger les clients du "resort".
Utilisateur anonyme
26 août 2012, 21:10   Re : Richesse du site d'Aldo Sterone
(Message supprimé à la demande de son auteur)
26 août 2012, 21:47   ()
"New York a sa réponse : verts, les éclairages."

D'un point de vue esthétique et accessoire, les images de cet immeuble mythique, monté en épingle dans un halo inaccoutumé, ont quelque parenté avec certaines couvertures de comics américains qui racontent les aventures des Super-héros. Un instant verdie, New-York justifie son surnom de Ghottam city.
27 août 2012, 05:09   Re : ()
En plus, cette éminence verte figure une sorte d'immense clito occidental marqué pour la prochaine frappe. On aurait presque envie de fredonner : "Hit me, hit me with your islamic stick..."
Utilisateur anonyme
01 septembre 2012, 11:45   Re : ()
01 septembre 2012, 22:20   Re : ()
Ils auraient dû aller au bout de leur idée et publier un avis de recherche avec la photo d'un visage complètement voilé.
Utilisateur anonyme
02 septembre 2012, 00:23   Re : ()
Publier un visage seulement “enfoulardé”, c'est être encore plus intransigeant et considérer que l'endoctrinement et le fanatismes islamistes commencent dès le port d'un foulard. En un sens, commencer à vermissen Fatima dès le port du foulard, c'est être moins indulgent avec l'islam que si on attend la burqa. Car, en fin de compte, tout le monde est à peu près d'accord sur la question de la burqa ou du niqab (sur la question de son port, pas nécessairement sur celle de la législation à son sujet (c'est d'ailleurs là que les contradictions commencent) : les gauchistes, les “progressistes”, les conservateurs la critiquent, trouvent ça horrible etc. Ce sont peut-être les “libéraux” qui sont les moins hostiles, considérant que chacun est libre de choisir. Cependant, le foulard gêne beaucoup moins de monde alors qu'il est un signe assez ostentatoire de volonté de sécession culturelle.
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