Life is a beach ! (avenir de l'humanité)

La Chine :

Ah, c'est sûr, ça change du Veitastrandsvatnet...

Vendre des bouées aux Chinois, voilà un marché pour nos entreprises. Faut prévenir le responsable français du Redressement productif sans plus tarder !!!

Le huitième type, en haut en partant de la gauche, juste à côté d'une bouée verte, a l'air sympa.

Avec les lunettes 3D c'est pire.

Riovallan, vous êtes en retard d'une guerre économique: il y a trente ans déjà, certains fabricants de déodorant s'excitaient comme vous aujourd'hui: 1 milliard de Chinois, c'est... 2 MILLIARDS D'AISSELLES ! (éployées au-dessus des bouées). Cela suffisait à certains industriels français pour tenter "l'aventure en Chine". La bêtise (pour rester poli) des Occidentaux est plus généreuse en production d'idées géniales que n'est puissante la fécondité démographique de ce peuple, et l'on ne sait toujours pas laquelle des deux il convient de déplorer le plus pour l'avenir de l'humanité.

Marche (ou crève), c'est monsieur Rivoallan !

PS : LOL, MDR, et les trucs du même genre...

S’entraîner (sur le dos) à considérer comme banales, sans le moindre mystère, enfantines à exécuter si elles se présentent, les consignes suivantes : « Glissez sur l’épi pastille », « Enroulez le passeur », « Appelez un organiste de vœux », puis, dans un effort inverse de méditation, s’exercer (sur le ventre) à considérer comme parfaitement gratuites, privées de toute espèce de signification connue, les consignes : « Appuyez sur la touche étoile », « Désactivez le lien », « Echangez avec un médiateur de rue ».

C’est le moment où jamais de caser le beau paradoxe des Chinois qui défilent, inventé par le célèbre Ripley, auteur de la rubrique Incroyable mais vrai (Believe It Or Not). Si tous les Chinois commençaient à défiler en rangs par quatre devant un observateur, par exemple Francis Marche, eh bien le défilé ne s’arrêterait jamais.

(L’explication est évidemment qu’il en naît tant, pendant que les autres défilent, que cela renouvelle la cohorte à l’infini.)

Mais pourquoi moi ? Vous êtes assommant à la fin !

Fallait pas mal orthographier mon nom, voilà tout.

Oh vous le vol-au-vent au riz, ça va hein !