De tous les psychodrames politiques, le vert est de très loin le plus navrant. Pas un acteur de cette mascarade pathétique dont les idées n'aient fait leur chemin ou marqué un tant soit peu l'époque...
Il n'y a pas de querelles d'école, seulement des crêpages de chignon, des prétendants en train de bavasser ou de louvoyer entre les courants, en quête de la meilleure place.
Puis il y a la langue écologiste, laide comme tout. "Nous ne sommes pas là pour verdir le programme du PS", a ainsi déclaré aujourd'hui E. Joly. Verdir le PS...