Démonstration parfaite de la nullité des services censés protéger la population du terrorisme, services qui sont à l’évidence paralysés par le politiquement correct. Après tout, s’intéresser à des terroristes potentiels, c’est s’intéresser à des gens qui font le voyage d’Égypte (vous savez, ce beau pays qui vient justement de faire sa révolution démocratique en installant un islamisme modéré), pour y apprendre le Coran (vous savez, ce beau livre qui ne prêche que la paix et l’amour).
Et naturellement les médias en ont rajouté une couche. On a répété à satiété qu’il s’agissait d’un loup solitaire, d’un cas exceptionnel, de quelqu’un qui s’était radicalisé tout seul. Cela a été très utile pour accuser la France et culpabiliser les Français. Hein, qu’est-ce que vous lui avez fait, au pauvre Merah, pour qu’il perde la boule, ainsi.
Il faut à présent mettre la caste journalistique face à son infamie.
