Journée de la femme.

Une certaine image de la jeune femme "de souche" (si vous pouvez tenir jusqu'au bout...) :

Toutes ces fanfaronnades grotesques ne font que mettre en évidence le gouffre d'imbécilité de ces générations. Je crois qu'on ne peut les soigner qu'individuellement et en y mettant le paquet.

Non, pas la force.

J'entends bien; en disant "le paquet" je veux dire faire un gros effort d'imagination d'écoute et de fermeté.

Effort d'écoute ? Qu'entendez-vous par là ?

Moi je comprends : il m'est absolument impossible d'écouter ce vidéogramme, cela me demanderait un effort sur moi-même auquel je ne puis consentir. D'entendre répéter, sur un rythme sans la moindre complexité, ces fausses intonation qui pervertissent la langue (« mââââman ») me donne des boutons. Il faudrait une sorte de préservatif pour les oreilles, ce qui est impossible.

Je me demande comment l'on peut, si l'on écoute cette musique, apprécier une mélodie de Fauré, cela me semble impossible, et me fait penser, à ce que Barthes disait de la mort de la langue.

"Toutes ces fanfaronnades grotesques"

Nous sommes bien au-delà de la fanfaronnade grotesque, mon cher Francmoineau. La connotation raciale, raciste, saute aux yeux, et pour s'en persuader il suffit seulement d'inverser la "couleur" des figurants : remplacez les jeunes "Blacks" par de jeunes "Toubabs" (petits blancs), la jeune "de souche" par une jeune "cpf" (bonne "à percuter"), et lancez le clip... : je vous laisse imaginer la suite (judiciaire)...

Comme un médecin écoute son patient. On est quasiment dans le pathologique.
Comme je vous comprends, Bernard, ces gosses pervers savent que ça nous fait mal. Ils savent aussi que ce genre d'agression n'est pas puni par la loi, sauf dans des cas limites. Je serais pour discuter de ces limites et de les avancer.

"ces gosses pervers savent que ça nous fait mal"

Très juste !

Ce n'est pas moi qui ai parlé de fanfaronnade grotesque, cher Orsoni, mais Florentin; mais ce n'est pas grave, j'aurais pu également le dire.
Quant à "non, pas la force", cher Florentin, ce n'était que la réponse au "si vous pouvez tenir jusqu'au bout" de Pascal Orsoni; mais ce n'est pas bien grave non plus; là encore, j'aurais pu signifier ce que vous entendiez bien.

Ce qui me déplaît souverainement dans le rap, avant même l'anéantissement musical qu'il représente, c'est la roguerie qui en imprègne les moindres fibres. Même lorsqu'il se fait, très occasionnellement, vaguement enjoué ou un peu moins agressif que d'habitude, cela irradie de toutes parts.

Au fond, on pourrait traiter le rap comme une maladie respiratoire aux causes psychiques.

Bien chers amis,


Si ces videos vous font mal, et sont là pour faire mal, alors pourquoi les montrez-vous et les regardez-vous ?

Bien de l'avis de jmarc.

"... font mal, et sont là pour faire mal..."


"De ma douleur inhumaine,
Seule l'âme est satisfaite
Afin que le corps ne peine
Des blessures que vous faites."

Bien cher Pascal,


Vous connaissez le proberbe : tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse.


Prenez garde qu'à force de nous présenter, à jet continu, les méfaits de certains dans le dessin de faire croire qu'il s'agit d'une généralité parmi une population, vous ne finissiez par rendre cette population-là sympathique, dans sa généralité, à ceux qui ne sont pas identitaires, comme on dit.

Oh ! La cruche Orsoni est incassable

Bien cher Corto,


Cela, je n'en sais rien. Je puis cependant vous dire que ce style de messages que je vois être publiés depuis un certain temps déjà, écorne l'image que j'ai du parti de l'In-nocence, et me semble contraire à la notion même d'in-nocence.

De mon côté, j'ai commis, j'en suis conscient, quelques embardées dans la gaudriole. Je ne voudrais pas finir par penser, lisant message haineux sur message haineux, que ce sont nos ennemis qui ont raison sur ce que nous sommes, et sur ce que nous aimons lire.

Merci, très cher Jean-Marc, j'attendais, je vous l'avoue, un remarque telle que la vôtre depuis longtemps.

Avant, avec vous cher jmarc, Alexis était la voix qui tonnait contre ce genre de dérives. Mais Alexis est parti.

Bien cher Corto,


Je ne tonne pas, je m’étonne !


On ne peut éviter que certains écrits ne paraissent. Une chose me navre : qu’ils soient associés, par le biais du site du parti dont il est le président, à Renaud Camus. Le long commerce que j’ai avec l’œuvre du Maître de Plieux m’a convaincu de l’extrême complexité, de l’extrême subtilité de sa vision de l’univers. Je ne parviens pas à m’expliquer qu’on puisse goûter « Travers » et tenir la « Chronique quotidienne des méfaits des noirs et des arabes » .

Qu’on critique les islamistes, je le comprends et je suis le premier à le faire. Qu’on s’insurge contre ceux qui sont pour l’immigrationnisme ( ?) intégral, je m’insurge aussi. Qu’on accable en revanche, de façon générale et absolue, des gens parce qu’ils ne sont pas comme nous, physiquement parlant, qu’on débusque pour s’en délecter les faits divers les concernant, cela me dépasse.

Il y a un moment où la nausée finit par venir, et pourtant, vous l’avez vu par mes messages grivois, je n’ai pas le nez fin.

"Il y a un moment où la nausée finit par venir ": très juste! Au point que l'on n'a plus envie d'écrire un quelconque message ou positif, ou sincère et que beaucoup préfèrent abandonner le terrain à la bassesse et au cynisme, attendant, j'en suis sûre, des temps meilleurs.

" identitaires, "

On voit bien, cher Jmarc, qu'à tout cela vous ne comprenez pas grand chose (sorry), et que, attrappant au vol n'importe quel mot qui traîne, vous ramassez bêtement celui-ci, parce que plus clinquant.

Question : quelle sorte de "petite reconnaissance" recherchez-vous, cher Jmarc ?

Je suis pleinement d'accord avec vous, cher jmarc.

Bien cher Pascal,


Je n'en recherche aucune.

Lorsqu'une voix s'élève dans le désert, l'on ne peut empêcher qu'un quelconque chacal glapisse.

"Qu’on accable en revanche, de façon générale et absolue, des gens parce qu’ils ne sont pas comme nous, physiquement parlant, qu’on débusque pour s’en délecter les faits divers les concernant, cela me dépasse. "

Ce qui me dépasse, moi, ce sont ces jérémiades totalement hors sujet ! De qui donc recherchez-vous les faveurs, cher jmarc ?

Bien cher Pascal,

Vous me posez directement une question, je vais donc répondre de façon directe.

Pour moi, les seules faveurs qui vaillent sont celles que peuvent me prodiguer certains jeunes gens, si possible sportifs et relativement velus (le style "minet blond et glabre" cher à Marc Augier, que vous connaissez je crois, est un peu jeune et pas assez "viril" pour moi). De façon plus précise, le type "Turc" ou "Méditerranéen affirmé" dans les vingt / vingt-cinq ans constitue mon centre d'intérêt.

A ma connaissance, ni Aline ni Cassandre ne correspondent à ce profil. Jérôme et Francis non plus.

Je ne sais rien de vous. Si, par aventure, vous étiez du style "Enfant du Pirée", que vous soyez dans la catégorie d'âge que j'évoque et que vous n'ayez pas succombé aux charmes vénéneux des tondeuses pubiennes, je serais prêt, bien cher Pascal, à me faire évangéliser par vous, et à aller à la chasse aux glands sous les arbres païens. Pour tout dire, je rechercherais vos faveurs.

""Il y a un moment où la nausée finit par venir ": très juste! Au point que l'on n'a plus envie d'écrire un quelconque message ou positif, ou sincère et que beaucoup préfèrent abandonner le terrain à la bassesse et au cynisme, attendant, j'en suis sûre, des temps meilleurs."

La niaiserie d'un tel engouement ne mériterait pas d'être signalée une fois de plus... mais bon, ces petits accès se renouvellent périodiquement, à la manière des épidémies de grippe. Mais je veux être aimable, et c'est affaiblir les reproches que de les accumuler.

Cher Jmarc vous semblez oublier le jeune et flamboyant Corto, toujours si pressé de vous applaudir...

Intéressant...

Avez-vous des lumières précises à ce sujet ?


Cela étant, et c'est le sujet de bien des livres, on est souvent aimé pour une raison qui, justement, ne vous convient pas. D'après vous, Corto se pâmerait devant mon intelligence, alors que j'aimerais (si la description que vous en donnez est exacte) qu'il succombât à ma beauté...

"engouement? obstruction, engorgement (dun conduit, d'un organe).
Engouement : admiration, emballement, toquade.
"En France, le premier jour est pur l'engouement, le second pour la critique" (Laharpe, "Petit Robert").
Engouement: arrêt des matières fécales dans l'intestin dans une anse intestinale herniée. (Petit Robert)

Bon, si je dois être la tête de Turc de tout le monde ici, je veux bien me pâmer et jeter aux orties les quelques années (pourtant bien conservées) qui ne me font pas correspondre à la PA de jmarc. Mais je ne trouverais pas injuste que Pascal paie un peu de sa personne, car, pour "la chasse aux glands sous les arbres païens", il serait irremplaçable.

"arrêt des matières fécales dans l'intestin dans une anse intestinale herniée"



" [...] l'homme se caractérise dans la nature par l'extraordinaire embarras que lui donne - comment appeler ça ? mon Dieu, de la façon la plus simple - l'évacuation de la merde."

Jacques Lacan, "Mon enseignement, sa nature et ses fins", ed. du Seuil, p. 83.

Bien cher Pascal,


Les hindous ont su faire preuve de sagesse en plaçant la vache au-dessus de l'homme : non content de ne pas, comme vous dites, s'embarrasser, elle arrive, et c'est merveille que de voir cela, à pisser et chier en marchant.

Cher Jmarc, je suis bien d'accord avec vous : ce ressassement des nocences dues aux " cpf " est éprouvant, démoralisant, et, surtout, décourageant. Il vaut mieux y renoncer, c'est ce que je fais. A condition, toutefois, d'être bien persuadée comme je le suis à l'écoute, en plus de ma propre expérience, des témoignages de première main et des confidences d'amis, de rencontres, de connaissances occasionnelles obligées de fréquenter de près les dits "cpf ", que ce qui est rapporté dans ce forum ou ce que l'on lit dans la presse n'est que la partie émergée des nocences qui nous sont désormais destinées. Que feriez-vous à ma place si vous aviez une délicate et jolie petite fille blonde aux yeux bleux bientôt en âge de rentrer au collège dans la région de Tarascon, sachant dans quel univers affreux elle va pénétrer et ce qu'elle y risquera et que n'ont jamais risqué, sauf exceptions rarissimes et contrairement à ce que les faiseurs d'opinion laissent croire, les générations précédentes de ses futurs camarades " beurs " ? Vous feriez comme moi, vous paniqueriez.

Bien d'accord avec Cassandre. Il est un peu facile de traiter la chose par le mépris (ou avec grandeur d'âme, ce qui revient au même), lorsqu'on n'y est pas confronté. Le "ressassement" reproché à Pascal Orsoni ne me paraît pas devoir lui être imputé. Il n'est que la réaction de quelqu'un qui réagit, à sa manière, à la confidentialité ordinaire dont ces multiples nuisances sont entourées, dans notre France médiatique contemporaine.

La focale de son objectivité me semble tout de même un peu étroite et je partage pleinement l'avis de jmarc et de Cassandre. Je précise tout de même que la fille de l'un de mes amis, qui présente les mêmes caractéristiques que la petite fille de Cassandre suit une scolarité tranquille et heureuse à Thonon-les-Bains. J'imagine que c'est encore la règle et non l'exception.

« je partage pleinement l'avis de jmarc et de Cassandre »

" Grandeur d'âme ", oui. Pour ce qui est de celle-ci, comme tant d'autres dans ce pays, je crois avoir beaucoup donné. On ne m'y reprendra plus.

Citation

Cher Jmarc, je suis bien d'accord avec vous

Citation

« je partage pleinement l'avis de jmarc et de Cassandre »

Bin quoi?
Dites donc, le Boris, faudrait voir à pas nous prendre pour des crétins des Alpes, nous autres de la hiaute !

Mais, Cher Corto, si je vous prends pour un crétin des Alpes, je le suis aussi.

Oui, cher Boris. Néanmoins, force est d'admettre que les orientations et autres préférences sexuelles des Corto et Jmarc, ça, c'est vraiment passionnant ! Ca vous "bouste" un forum, comme on dit...

Parce que vous trouvez bien intéressante la longue cohorte des faits divers que vous rapportez ici, en invoquant plus ou moins explicitement l'évidente présomption de culpabilité de n'importe quel immigré qui aurait eu le malheur de se trouver à 200 kilomètres à la ronde des lieux du crime ou, tout simplement, sur le territoire français ??

(Il est beaucoup moins bon qu'Alexis... vraiment.)

Je babolais, Boris ! Et bientôt, je basotterai. On va pas se sagatter pour autant, entre gars du pays. Arvi pas !

Oui, je suis bien d'accord avec vous sur ce point. C'était mon Maître. Alexis revenez !

"Peu de choses sont plus fastidieuses que les sexualités particulières, pour ceux qui ne les partagent pas."

Aguets (30 avril 1988)

sagatter, de sagattes - sarments, verges ?

Bien chère Cassandre,

Je suis d'accord avec vous, comme je pense vous le saviez déjà.

Qu'il y ait une criminalité spécifique à l'immigration, ou plutôt à certains immigrés, nous le savons. Qu'on le redise plusieurs fois par jour, et qu'on ne dise que cela, c'est lassant.

Oui, c'est lassant, je vous l'accorde volontiers. Ceci dit, il y a pire pour moi que le Désastre , c'est de s'y habituer au point de ne plus s'en rendre compte comme y sont déjà habituées, je le crains, les nouvelles générations. C'est pour moi aussi horrible que de voir un être cher ne plus souffrir de sa maladie à partir du moment où il a perdu le souvenir de lui-même et de ce qu'il a été.

« Il y a pire pour moi que le Désastre , c'est de s'y habituer au point de ne plus s'en rendre compte comme y sont déjà habituées, je le crains, les nouvelles générations ».

Cassandre, votre réflexion tombe à point nommé, je trouve. Il me semble que précisément nous entrons dans une deuxième phase du Désastre. Comme les poilus ont disparu, ceux qui se souviennent qu'il n'en a pas toujours été ainsi sont soit en train de disparaître, soit n'osent plus trop la ramener, qu'on les traite de "vieux cons" (expérience toute fraîche) ou qu'on les trouve "lassant" et "ressassant".

Les réactionnaires ont mangé leur pain blanc ; ce fut de courte durée. Le temps que la gauche et les progressistes tous terrains apprennent à manier la nouvelle dialectique, et à retourner les armes de ceux-là. Et les procès d'intention fleurissent…

Nous nous sommes retrouvés ici, il me semble, parce que certaines choses n'étaient jamais dites, ne pouvaient pas être dites. Regardez comme le paysage se transforme sous nos yeux : même en ce lieu, ceux qui persistent à ne pas s'habituer à la nouvelle donne font figure d'anciens combattants aigris et obtus dont le grommellement tourne à vide.

Perdre le souvenir de soi-même pourrait convenir comme définition de toutes les maladies.

Bien sûr, il y a des choses à dire, mais on n'est pas obligé de les dire toutes les cinq minutes et de ne dire que ça !

On peut par ailleurs essayer, comme le dit Aline, de faire des propositions concrètes et ne pas passer notre temps à nous lamenter sur le Paradis Perdu.

Bon Dieu, mais c'est bien sûr, comment n'y avais-je pas songé plus tôt, c'était pourtant simple !

Bien cher Boris,

Il y a quelques années, lors de la création du Parti, la rubrique programme fut créée, et bien des contributions furent formulées.

Les nocences ne portent pas que sur les sujets qu'on voit traités sans arrêt ces derniers temps.

Je prends deux exemples non polémiques et qui ne supposent aucune participation d'aucun immigré : la prolifération des "stabulations" et la transformation des murs anciens en ouvrages cyclopéens. Il y aurait des choses à dire et à proposer, cela serait constructif et je pense qu'il y a bien des idées. Pour rester dans le même registre, on pourrait parler de la densification de l'habitat (de nouvelles tours à Paris, ou bien continuer la politique de la tache d'huile ?), ou de ce qu'on propose pour les fameuses cités.

"Supposé que l'immense transformation que nous vivons et qui nous meut se développe encore, achève d'altérer ce qui subsiste des coutumes, articule tout autrement les besoins et les moyens de la vie, bientôt l'ère toute nouvelle enfantera des hommes qui ne tiendront plus au passé par aucune habitude de l'esprit. L'histoire leur offrira des récits étranges, presque incompréhensibles. (...) Ce n'était pas assez que de périr; il faut devenir inintelligibles, presque ridicules, et que l'on ait été Racine ou Bossuet, prendre place auprès des bizarres figures bariolées, tatouées, exposées aux sourires et quelque peu effrayantes, qui s'alignent dans les galeries et se raccordent insensiblement aux représentants naturalisés de la série animale..."

Paul Valéry, Regards sur le monde actuel

"On peut par ailleurs essayer, comme le dit Aline, de faire des propositions concrètes et ne pas passer notre temps à nous lamenter sur le Paradis Perdu."


Bah voilà ce qui s'appelle "Aller aux choses !", comme disent les phénoménologues... On peut par ailleurs essayer, comme le dit Corto, de faire des propositions... etc., etc.

Bien cher Pascal,

Vous trouverez en haut de ce forum quelques propositions. Si vous le souhaitez, vous pouvez réagir : vous verrez, elles sont pratiques et appellent de votre part une réponse par oui ou par non.

Ecoutez, Boris, la moutarde commence à monter …
Et avant que vous ne vous avanciez plus loin dans les railleries à mon endroit:
Premièrement, je ne VOUS ai VOUS accusé de rien que je sache ! J’ai eu une petite colère, qui n’était pas bien méchante puisque l’expression de « barque à la dérive », je venais de la trouver toute faite sur un autre fil (je ne sais plus qui l’a utilisée). Je l’ai reprise uniquement pour exprimer mon irritation de voir sur un forum de cette qualité, les vieilles et éternelles réflexions poujadistes sur l’art du XXe siècle (« que du bluff, plus rien qui vaille quelque chose etc. ») ((ça vaut la peine, vraiment, de venir sur ce forum pour y lire des sottises que je n’entends PLUS JAMAIS autour de moi car le temps est précieux et il importe de choisir ses relations. Je suppose que personne ne me contredira ici car j’aime imaginer que c’est ce que fait chacun d’entre vous).
Deuxièmement, il est insupportable de voir traiter avec mépris les intervenants qui tentent de ne pas tout voir de manière pessimiste ou de trouver un peu de beauté à ce monde. En tous cas, votre mépris à mon égard devient sans limite et par ailleurs, je vous défie de trouver sur ce forum une seule attaque venant de moi contre votre personne. Si vous la trouvez, ayez l’obligeance de la recopier. Je n’ai rien dit jusqu’à présent mais vos expressions « institutrice acariâtre » et, (en d’autres lieux) « lectrice camusolâtre », « veuve du Soir » ne me paraissent pas très in-nocentes (et c’est une litote). Cette dernière a été particulièrement dure à avaler : chacun ici ne tient-il pas à sa patrie ? Est-ce si risible? Seriez-vous heureux que l’on se moquât de vous voir pleurer une France dont un pourcentage - même minimum - de la population utiliserait comme slogan « Que la France crève » ? Ne voyez-vous pas qu’en tant que voisins, les Belges de ce forum se désolent avec vous de ce que vous appelez Désastre ?
Et enfin, Jean-Marc est un homme extrêmement aimable et extrêmement courtois et j’ai beaucoup d’amitié pour lui, mais je crois qu’il a interprété une de mes phrases : je n’ai jamais écrit « faire des propositions concrètes et ne pas passer notre temps à nous lamenter sur le Paradis Perdu » (mais probablement pouvait être compris dans ce sens).
Je ne suis pas une intervenante suffisamment régulière pour me permettre de donner quelque ton que ce soit à ce forum.

Aline, je n'ai qu'un mot à dire, en guise de réponse à votre message : vous êtes folle et vous faites une fixation à mon sujet. Je n'irai pas plus loin, pour ne pas vous mettre en peine.

Je suis folle, chacun ici peut s'en convaincre.
Mais il se peut, c'est fort possible, que j'aie pris pour moi cette épithète à une autre adressée sur un des très rares blogs que je lis quelquefois. Je ne peux écarter cette éventualité. Cela ne me coûte pas beaucoup de retirer ce dernier reproche.

plutôt (sur nos monts) : s'agiter, se secouer.

Boris, vous êtes un sacré malotru et un goujat. Comment osez vous traiter Aline de la sorte ?

"Je suis folle, chacun ici peut s'en convaincre."


Vous demeurez égale à vous-même, très chère Aline, et c'est le plus bel éloge que l'on puisse vous décerner.

Je suis consterné d'être à l'origine de ce que j'espère n'être qu'un malentendu.

J'ai hâtivement résumé la pensée d'Aline, que j'avais comprise ainsi.

Jmarc, vous n'êtes pas à l'origine de ce qui n'est pas un malentendu, ne vous inquiétez pas.

Cher JMarc, ne vous tracassez surtout pas, vous n’êtes responsable de rien (vous êtes au contraire une des rares personnes ici soucieuses de ménager les susceptibilités de chacun) ; je propose que nous en restions tous là car vouloir à tous prix répondre ou convaincre ne fera qu’augmenter les risques de malentendu, de disputes stériles. En tous cas, moi j’en reste là. Ce lieu n’est pas vraiment un endroit où règne la bonne foi, bien que nous soyons tous convaincus d’en être bien pourvus. J’ai vu des étripages sur le forum d’à côté et n’ai pas envie de voir celui-ci devenir un champ de bataille. Je ne suis pas française, je ne suis pas membre du parti, je préfère donc laisser la parole à ceux qui prennent en charge régulièrement la voix de celui-ci.

Chère Aline, je trouve sage en effet de laisser la parole, même si la tentation d'intervenir est parfois grande. C'est la seule attitude véritablement in-nocente dans ce cas-là, comme votre dernier message le montre.

Bien cher Henri,

Permettez-moi de vous adresser un reproche : j'écris trop, et on ne vous lit pas assez.

Pourriez-vous, en tant qu'homme de bonne volonté, de temps en temps, lancer quelques sujets qui participeraient à la "remise sur les rails" de ce forum ?