Communiqué n° 1468 : Sur la répression après la brève occupation de la mosquée de Poitiers

Communiqué n° 1468, mardi 23 octobre 2012
Sur la répression après la brève occupation de la mosquée de Poitiers

Le parti de l’In-nocence est écœuré par la rigueur et la brutalité de la répression judiciaire, policière & politique qui s’abat sur les courageux jeunes gens ayant occupé quelques heures durant, sans la moindre violence, le chantier de la grande mosquée en construction de Poitiers et à présent privés de leur liberté de mouvement, soumis à des contrôles judiciaires et poursuivis pour des délits aux très graves qualifications tandis que leur organisation est menacée de dissolution comme s’il s’agissait d'un groupe terroriste.

Le parti de l’In-nocence remarque que cette brutalité est encouragée ou requise par des organisations comme le Mrap ou Sos Racisme ou par des personnes comme Harlem Désir ou Jean-Marc Ayrault qui, étrangement, ont fait l’objet de poursuites ou de condamnations pour malversations. Il la juge d’autant plus choquante qu’elle forme un contraste saisissant avec l’extrême laxisme des autorités, des juges et du complexe médiatico-politique à l’égard des individus qui traînent la France et les Français dans la boue, leur promettent, en scandant leurs propos sur des rythmes barbares, les pires humiliations ou les plus explicites sévices ou commettent, ainsi qu’il arrive presque quotidiennement, les profanations les plus marquées à l'endroit des édifices chrétiens, objets d’autres parts d’occupations protestataires constantes sans que quiconque, parmi les autorisés de parole, songe à s’en indigner. Rarement l’on avait vu les partis politiques au pouvoir, ceux qui le briguent ou regrettent de l’avoir perdu, se comporter en procureur politique, exigeant des peines exemplaires contre des manifestants qui obtempérèrent sans regimber à l’intervention de la police, alors que cette dernière déplore trente-huit blessés par jour dans les quartiers dits sensibles du territoire où ont lieu au quotidien des événements d’une grande violence dont régulièrement la presse rapporte qu’ils « n’ont été suivi d’aucune interpellation ». Jamais le sournois principe “deux poids deux mesures” qui sous-tend l’antiracisme dogmatique ne s'est étalé avec pareil cynisme, et comme toujours c’est contre les patriotes, les ennemis du Grand Remplacement, les adversaires de la colonisation en cours, tous ceux qui n’en peuvent plus de voir, sur le territoire national, des peuples étrangers substitués au leur, d’autres civilisations, et qui ne la valent pas, submerger la civilisation française et européenne avec la bénédiction des autorités désignées. Jamais pouvoir et ses suppôts n’auront mis pareille impudence à récompenser, aux dépens de leur propre peuple et de leur propre culture, ceux dont les voix électorales les ont mis en place, ni à leur complaire servilement, en faisant tout pour multiplier leur nombre et leurs droits, y compris celui de peser sur les scrutins électoraux de toute leur masse augmentable par décret, puisqu'ils savent bien que dépend d’eux leur perpétuation indéfinie aux affaires.