Le site du parti de l'In-nocence

France II, le “journal télévisé”, l’enthousiasme et le Grand Remplacement

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Ce soir, le “journal télévisé” de France II a consacré un reportage à la scolarisation des petits enfants en classe de maternelle dès l’âge de deux ans. Une proposition du programme du candidat Hollande prévoyait de la généraliser à tous les enfants. Je passe sur la chose en elle-même, cette nouvelle variation sur le thème dévastateur du socialisme scolaire.

Juste avant le reportage, David Pujadas nous précise que cette scolarisation peut avoir un grand intérêt pour les enfants d’immigrés, chez qui on ne parle pas toujours (très bien) le français.

Le reportage nous présente donc un petit garçon et sa maman, évidemment voilée. Plus tard, on apprend qu’ils habitent un quartier populaire de Nantes. Le petit garçon s’appelle Mohammed. Mais la “voix off”, quand elle parle de lui, prononce [ Morrr’hamed ] (avec le son de gorge autour du “h”).

Nouvelle étape dans le rapport médiatique au Grand Remplacement, un renversement de plus. Et une sotte bobo-journaliste qui se sent obligée de prononcer ce prénom pas français avec un accent pas français, pour que l’exotisme soit complet.
Vous avez dû être comblé par cet ensemble de faits.
La journaliste (d'origine arabe, comme c'est de plus en plus souvent le cas) qui commentait les images a en effet veillé à prononcer le prénom de l'enfant de la façon la plus emphatique qui soit, en veillant à caser ledit prénom autant de fois qu'il était possible de le faire (une dizaine). C'est simple, j'avais l'impression de regarder la télévision du Maroc ou de l'Algérie !

Pour le reste, évidemment, on ne dit rien du coût de cette énième prise en charge par l'Etat de l'immigration. Et France 2 de nous expliquer, de façon assez claire, pour une fois, que c'est en raison de leur nocence future (aussi proche qu'inéluctable) qu'on a décidé de prendre en charge ces enfants dès 2 ans. Plus on les laissera dans leur famille, leur milieu, leur civilisation d'origine, plus ils seront violents et irrattrapables. On maquille cela en éventuelles difficultés scolaires à venir, mais tout le monde a compris qu'il s'agissait avant tout d'éducation. Et qui paiera ce prix, qui est celui de la conquête par la nocence ? Le bon gros contribuable français, identitairement castré, déculturé au dernier degré, qui regarde cela tous les soirs à la télévision sans broncher.

Il ne viendrait toutefois pas à l'idée de qui que ce soit de laisser entendre que ce genre de luxe pèse gravement sur nos comptes ; ni de se demander pourquoi et comment, dans ce pays, la nocence est devenue à ce point créatrice de privilèges et de droits.

Pauvre pays. Pauvre civilisation. Pauvre nation vaincue.
M. Davoudi, j'espère que vous vous sentez mieux après avoir dit cela, et de cette façon. Si tel est le cas, je puis comprendre que vous écriviez ce genre de message.
Vous n'avez pas idée (enfin si, peut-être...), Cher Jean-Marc, de l'accablement dans lequel me jette ce type de reportage.
Hé bien, ne les regardez pas.

Ces gens sont en France et y resteront, il n'y a pas d'autre solution que de les aider à s'intégrer. Arrêter l'immigration, c'est une chose, c'est sans doute difficile mais c'est possible. Renvoyer les personnes qui sont déjà ici c'est impossible. Il faut que vous en preniez votre parti, employez votre talent, qui est réel, à trouver des solutions permettant leur bonne intégration, cela vous fera plus de bien que de vous lamenter et de vous ronger.
Ni moi ni personne ne peut leur donner le désir de s'intégrer (d'autant plus qu'ils n'ont aucune raison de le faire, étant donné leur nombre, étant donné tout ce qui est déjà là, déjà installé). Pour faire des Français, il faut du désir et de l'héritage : l'un comme l'autre font cruellement défaut.
Eh bien, pour commencer à les intégrer, on ne prononce pas leurs noms (qu’ils auraient dû, de toute façon, franciser) avec un accent étranger. On les prononce avec un bon accent français bien d’chez nous.
Enfin, Davoudi, soyez raisonnable, que diable, et écoutez un peu les conseils avisés de Jean-Marc du Masnau, qui revient spécialement de son exil volontaire pour vous dispenser sa lénifiante parole !...
Si M. Dangle a une autre solution à proposer, qu'il veuille bien m'en faire part, pour m'éclairer.

Voyez-vous, je déplore que l'hiver soit trop froid et que l'été soit trop chaud, mais je me résigne, je fais pour le mieux et mets un pull l'hiver et m'habille de coton l'été.

Ceci dit (sic), libre à vous d'offrir à la bise votre vaste poitrail que j'imagine savanesque et d'aller l'été vêtu de bure, c'est votre problème après tout, mais cela ne fera ni monter ni baisser la température extérieure.

Plus sérieusement, souvenez-vous du Manuel d'Epictète et des choses qui ne dépendent pas de nous. Pour les personnes qui sont là, cela ne dépend plus de nous, faites donc contre mauvaise fortune bon coeur, car vous n'y pouvez rien, sauf à vous miner.
Dire que c'est vous qui me parliez, il y a quelque temps, du Boulevard des Allongés...
Oh, mais M. Dangle n'a pas de solution miracle en magasin. Seulement, M. Dangle s'amuse de constater que M. du Masnau regarde la situation actuelle de la France quant à la population immigrée qu'elle accueille sur son sol tout comme il regarde les giboulées qui tombent du ciel ; et qu'il attend peut-être, comme Epictère qu'il cite d'ailleurs de travers, qu'on lui casse la jambe pour émettre une remarque polie. Grand bien lui fasse.
Comme il vous plaira, mais ici ils sont et d'ici ils ne répartiront pas. Contentez-vous défaire en sorte qu'il n'arrive pas plus de migrants, c'est déjà un vaste travail, ne vous dispersez pas.
Les Français du peuple historique partent bien, eux... qu'est-ce qui empêcherait, dans l'absolu, que les néo-Français n'en fassent pas autant dans le futur ?
Comme il vous plaira, mais ici ils sont et d'ici ils ne répartiront pas. Contentez-vous défaire en sorte qu'il n'arrive pas plus de migrants, c'est déjà un vaste travail, ne vous dispersez pas.

Pour Francis, ils partiront à même dose, ni plus, ni moins. Ceux qui sont nés en France ne partiront pas plus que leurs concitoyens "de souche".

C'est fait, c'est fait. Il faut maintenant regarder comment faire avec.

M. Millet nous fait, comme dans la publicité, un coup de calcaire quand il est Gare du Nord, perdant la vision et le sens. Laissez-le à ses rancœurs et à son commerce. Voyons les choses de plus haut et après avoir bien pleuré et bien maudit passons aux choses sérieuses et étudions comment en sortir, il n'y a que deux actions : fermer nos frontières ; intégrer ceux qui sont là.
C'est vrai, quoi : expliquons à Millet qu'il ne voit pas ce qu'il voit.
Rien de plus facile, invitez-le à venir à l'endroit en question et comptez avec lui, puisqu'il compte. Asséner une ânerie avec la plus grande assurance ne la transforme pas en vérité.
Vous vous rappelez, Davoudi, de ce projet de trek in-nocent à travers la banlieue parisienne ? Monsieur du Masnau ferait un très bon cobaye.

Du Masnau, il ne s'agit pas d'âneries, comme vous dites ; que Millet ait pu se retrouver le seul Blanc dans une gare parisienne, rien n'est plus certain. Rester chaudement calfeutré dans votre province ne vous sert de rien ; si rien n'existe que vous ne l'ayez vu de vos propres yeux, je vous invite à visiter le nord de Paris et la banlieue proche et lointaine. Remuez-vous, bon sang ! Vous ne serez vraiment pas déçu du voyage, je vous l'assure. Vous êtes excusable, après tout : tant qu'on n'a pas vu cela, on n'y croit pas.
Voyons les choses de plus haut et après avoir bien pleuré et bien maudit passons aux choses sérieuses et étudions comment en sortir [...].

Eh bien il semble que vous ayez sauté une étape : avez-vous vraiment pleuré (il faut pour cela se mettre en contexte), avant d'étudier une voie de sortie ?
il n'y a pas d'autre solution que de les aider à s'intégrer

Non mais... ça va pas?!
Que voulez-vous, c'est de notre faute (comme toujours) : nous n'en avons pas fait assez. On pourrait faire plus de pédagogisme à l'école, par exemple... « Courage camarade, nous sommes au milieu du gué ! »

A Bily : oui, le trek in-nocent en banlieue, je m'en souviens. Il n'est même pas nécessaire d'aller très loin ; l'Afrique (pas la plus savoureuse), de nos jours, on y est vite.
il n'y a pas d'autre solution que de les aider à s'intégrer

Non mais... ça va pas?!




Je maintiens ce que je dis. Il y a un bon combat, celui contre l'immigration débridée.

S'attaquer aux immigrés déjà en France (et, d'après ce que je lis, aux Français qui ne ressemblent pas à la "population historique" ou qui ont un accent arabe) est un combat des plus douteux, un combat odieux pour bien des Français.

Pour ce qui est de M. Millet, maintenant. On nous parle de réel, par opposition aux fantasmes des sociologues. Il se trouve que M. Millet est écrivain. Il se trouve que pour un écrivain les mots font sens. Il se trouve que M. Millet peut être pris au mot.

Il est constant que M. Millet a déclaré, en substance, avoir été le seul blanc présent dans une des plus grandes gares de la RATP, et ce à six heures du soir alors qu'il y a des milliers de voyageurs.

Je vous dis donc, et démentez-moi si vous avez la preuve contraire, que : ou M. Millet a des hallucinations ("seul blanc") ; ou M. Millet verse dans l'exagération.
Citation
Jean-Marc du Masnau
il n'y a pas d'autre solution que de les aider à s'intégrer

Non mais... ça va pas?!




Je maintiens ce que je dis. Il y a un bon combat, celui contre l'immigration débridée.

S'attaquer aux immigrés déjà en France (et, d'après ce que je lis, aux Français qui ne ressemblent pas à la "population historique" ou qui ont un accent arabe) est un combat des plus douteux, un combat odieux pour bien des Français.

Pour ce qui est de M. Millet, maintenant. On nous parle de réel, par opposition aux fantasmes des sociologues. Il se trouve que M. Millet est écrivain. Il se trouve que pour un écrivain les mots font sens. Il se trouve que M. Millet peut être pris au mot.

Il est constant que M. Millet a déclaré, en substance, avoir été le seul blanc présent dans une des plus grandes gares de la RATP, et ce à six heures du soir alors qu'il y a des milliers de voyageurs.

Je vous dis donc, et démentez-moi si vous avez la preuve contraire, que : ou M. Millet a des hallucinations ("seul blanc") ; ou M. Millet verse dans l'exagération.

Au-delà du cas Millet - sa vie, son oeuvre, ses exagérations et ses vérités -, c'est le fait que vous croyiez encore à la politique de la main tendue qui me fait hurler. Les mains tendues aux immigrés de toutes origines, vous en conviendrez, n'ont pas manqué au cours des dernières décennies. Et pour quel résultat? Et aujourd'hui, à qui tendriez-vous la main? A personne, puisque que plus personne ne formule cette demande d'intégration, qui est demande d'amour ou, à tout le moins, de considération réciproque. Si nombre d'étrangers en rupture de ban dans leur pays d'origine se trouvent aujourd'hui en France, c'est aussi pour pourrir la vie des Français (voilà une nouveauté sur laquelle on ne se penche pas dans les essais de sciences sociales et humaines !). Pas pour y travailler ou devenir un citoyen éclairé par cette culture sans pareille. Ils nous la font payer cette installation, et c'est cela qui est gravissime et met l'Europe dans une situation de péril qu'elle refuse de voir par peur de devoir l'affronter. On peut blâmer le "système", la génétique des populations, l'histoire et la géographie. Pour ma part, je vois dans cette coexistence impossible la conséquence d'une malveillance épouvantable.
Vous déformez tout, Du Masnau. Millet n'a pas dit que dans la gare entière (Châtelet, c'est bien ça ?), il n'y avait aucun Blanc autre que lui. Il a déclaré n'avoir vu autour de lui, à un certain moment, aucun Blanc ou individu d'origine européenne, ce qui est très courant. Si vous voulez, je vous indique le numéro des quais où une telle chose s'observe quotidiennement, à toute heure du jour et de la nuit.
(Bily a même la preuve en photos.)
Oui, mais, cher Davoudi, une photographie n'est jamais qu'un certain point de vue, forcément sélectif : vous avez photographié ces gens-ci, soit, ce sont des Africains, mais qui me dit que dans votre dos ne se tenait pas une famille berrichonne, ou un groupe de Bretons ?
C'est vrai : qui nous dit qu'il s'agit de Sénégalais ? Ils sont peut-être être ivoiriens, après tout...
Il me semble que Millet a parlé de l’intérieur d'une rame où il était le seul blanc. Eh bien figurez-vous, M. du Masnau, que cela m'est arrivé aussi, et plus d'une fois.
Marcel, vous êtes un homme honnête et un honnête homme.

Ecoutez ceci, à la 52ème seconde à peu près.





N'est-ce point une exagération ?
A ce point de l'argumentation de M. du Masnau, peut-être pourrait-on lui adresser une observation souvent faite par M. Camus : il y a plus de vérité que d'erreur dans les propos de Richard Millet (et d'autres). C'est pour nous bien suffisant.
Le fait qu'il y ait éventuellement des exagérations, inexactitudes, approximations ici où là n'infirme en rien des constatations d'ensemble que M. du Masnau, tout inapte aux synthèses et aux idées générales qu'il soit, devrait pouvoir vérifier aussi bien que nous, s'il le voulait.
Damned, ma mémoire m'a trompé ! Cela dit je partage l'avis de Thierry Noirot bien sûr.
Si j'ai bien compris Jean-Marc du Masnau, sont point de vue consiste à dire :
- il faudrait arrêter l'immigration massive ;
- il faudrait relancer une politique d'intégration efficace.

C'est, ce me semble, une position proche de celle de N. Dupont-Aignan.

L'idée de "remigration" n'est envisageable qu'en cas d'événements majeurs, plus ou moins apocalyptiques, qu'il est difficile de souhaiter d'une part, et dont les conséquences sont incertaines... A moins de croire en une sorte de prise de conscience générale, de haute intensité, touchant les élites ou du moins "qui peut", et elle ne semble pas s'annoncer.

Compte tenu de supra, y a-t-il une autre voie "pragmatique" que celle suggérée par Jean-Marc ?
Il y a la position, tout aussi pragmatique, qui est plus ou moins celle du PI. Pour commencer, prendre au mot ceux qui se disent pas français parmi les Français, rétablir la "double peine" (en tout cas le volet expulsion), revoir la question du droit du sol, élargir notablement les cas de crimes entraînant la perte de la nationalité, abolir les imbécillités multiculturelles du type de l'enseignement des langues d'origine à l'école, encourager fortement les retours, rétablir l'obligation de choisir un prénom parmi les saints du calendrier. En un mot comme en cent : l'assimilation (assimilation, pas intégration, assimilation !) ou la valise.
Une question, à propos des saints du calendrier. Supposons que Monsieur X, descendant d'une famille harkie, veuille nommer son fils Mohammed. Que faites-vous ?
Pour ce qui est du droit de la nationalité, on est Français parce que né en France d'un parent y étant lui-même né. Entendez-vous changer cette définition ?
Citation
Marcel Meyer
Il y a la position, tout aussi pragmatique, qui est plus ou moins celle du PI. Pour commencer, prendre au mot ceux qui se disent pas français parmi les Français, rétablir la "double peine" (en tout cas le volet expulsion), revoir la question du droit du sol, élargir notablement les cas de crimes entraînant la perte de la nationalité, abolir les imbécillités multiculturelles du type de l'enseignement des langues d'origine à l'école, encourager fortement les retours, rétablir l'obligation de choisir un prénom parmi les saints du calendrier. En un mot comme en cent : l'assimilation (assimilation, pas intégration, assimilation !) ou la valise.

Oui
Merci à vous, Marcel Meyer, pour ces éclaircissements.
Citation
Jean-Marc du Masnau

Pour ce qui est du droit de la nationalité, on est Français parce que né en France d'un parent y étant lui-même né. Entendez-vous changer cette définition ?

Oui mon capitaine !

Ce débat existait il n'y a pas si longtemps - c'est étrange chez les amis du Désastre d'édicter des vérités immuables tout en se basant sur des faits fantasmés (la France terre d'accueil depuis son origine), de mener la politique du fait accompli (on ne peut rien changer ni aller contre le sens de l'Histoire (heureusement que les résistants dont ils se réclament puisque nous sommes les fascistes n'ont pas considéré comme sens de l'Histoire l'invasion allemande)), de décider pour les autres ce qui est bien et surtout ce qui se discute (il y a des thèmes qui ne se débattent pas (les bienfaits de l'immigration, la peine de mort, l'avortement, le progrès...)... Mon cher du Masnau, ne vous en déplaise Millet voit ce qu'il est et se refuse comme vous à un déni de réalité. Quant à votre calendrier, si ces gens veulent appeler leur fils Mohammed qu'ils le fassent mais ce n'est pas au calendrier de s'adapter à leur exigence... vous êtes trop facilement défaitiste pour ne pas être complice.
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter