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Savoie : un collégien de 13 ans se pend

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Utilisateur anonyme
13 février 2013, 11:39   Savoie : un collégien de 13 ans se pend
Parmi toutes les nouvelles, bonnes ou mauvaises, qui nous tombent dessus chaque jour, il y en a qui passent presque inaperçues, juste un filet sur les sites internet d'information.

Celle-ci me prend au tripes.

Un enfant de 13 ans se pend, parce qu'il est en souffrance à l'école, ce lieu qui est doit être celui de la camaraderie, de l'apprentissage, de la découverte...

Je ne suis pas naïf, je sais à quel point les enfants peuvent être durs entre eux mais que nos enfants (ce n'est pas le premier) en arrivent à se suicider, c'est tout simplement horrible.

Est-ce propre à notre société ? Le suicide se banalise-t-il (enfants, policiers, enseignants, etc.) ?

Ce genre de nouvelle me bouleverse à chaque fois, parce qu'il s'agit d'un suicide et parce qu'il s'agit d'un enfant (qui se pend, chez lui !).

Message modifié : il semble que les collèges deviennent des coupe-gorge ( [www.lefigaro.fr] )

Le Nouvel Obs :

Un collégien de 13 ans, "en souffrance de par ses camarades de classe", s'est suicidé vendredi par pendaison à son domicile de Bourg-Saint-Maurice (Savoie), a-t-on appris mardi 12 février de source judiciaire confirmant une information de TV8 Mont-Blanc.

Ses parents l'ont retrouvé pendu à l'aide d'une corde dans sa chambre, vendredi en fin d'après-midi et les pompiers n'ont pu le réanimer, a-t-on ajouté.

On ignore pour l'instant la nature des difficultés relationnelles de cet adolescent, élève en classe de 4ème au collège Saint-Exupéry de Bourg-Saint-Maurice, avec ses camarades. Selon "le Parisien", il était l'objet de moqueries de la part de ses camarades.

Une enquête a été ouverte par les gendarmes d'Albertville pour déterminer les raisons de ce drame et notamment s'il pouvait être "prévisible".
Utilisateur anonyme
13 février 2013, 15:55   Re : Savoie : un collégien de 13 ans se pend
Comme il est terrible que la mort soit souillée par une si vilaine langue, que les mots ne rendent plus compte de rien. Ce pauvre garçon était « en souffrance ». Voilà. On n’a rien dit. Ce qu’on dit passe totalement à côté des événements. Ce bruit médiatique autour de son décès n’est rien. C’est comme s’il était mort dans le plus total silence, alors que, certainement, sa souffrance méritait d’être dite.
Absolument d’accord avec Leroy. Son sort horrible ne suffisait, il fallait encore que ce malheureux soit traité par le sabir du complexe comme un colis postal non réclamé...
13 février 2013, 18:04   Langue de ministre
Un ministre, cet après-midi, parlant des consommateurs : "les consommateurs, il faut qu'ils fassent confiance dans ce qu'ils mangent". Il est vrai que ce ministre (M. Hamon) est prof : ceci explique cela sans doute.
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