Communiqué n° 1093 : Sur les pratiques financières de la Halde

Communiqué n° 1093, vendredi 3 septembre 2010
Sur les pratiques financières de la Halde

Le parti de l'In-nocence admire la belle cohérence structurelle qui fait que la Halde et son ancien président M. Louis Schweitzer, donneurs de leçons par excellence mais sinistres emblèmes de la collaboration des autorités officielles avec la contre-colonisation de notre pays et le Grand Remplacement de notre peuple, se voient dénoncés aujourd'hui pour des pratiques financières, des dépenses de fonctionnement faramineuses et des subventions à des groupes de pression, à des syndicats d'enrichissement personnel et à des sociétés de chantage déguisés en associations "culturelles" et autres mouvements "antiracistes", tous agissements parfaitement en accord avec l'atmosphère de pourriture morale qui aura présidé jusqu'au bout à la liquidation suicidaire de la patrie. Il semble qu'il existe un rapport de proportions rigoureux entre le rapt de la morale, par certains, pour s'en draper et pour mieux fustiger leurs adversaires, et les comportements personnels les plus contraires à l'honnêteté, au désintéressement et au civisme : plus ils dénoncent, plus ils détournent.

Un "rapport de proportion" me paraît mieux qu'un "rapport de proportions". De même, le "rapt de la morale" semble indiquer qu'il y a une sorte de personnification de celle-ci, mais il se trouve qu'on s'en drape ensuite (se draper dans la morale est une nouveauté).

S'emburquer dans la morale...

Il semblerait que l'arroseur soit sur le point de prendre la douche.

Il est minuit, docteur Schweitzer...

plus ils dénoncent, plus ils détournent.



Me souviens de Tapie : plus sa crapulerie éclatait au grand jour, plus il attaquait Le Pen !

Certains déclarations, comme certains beaux visages féminins, ont tout à gagner à une légère coquetterie dans l'oeil, une mouche à la pommette, bien cher Jean-Marc. Laissez ce communiqué être ce qu'il doit être, et articuler ainsi parfaitement la vérité brouillée.

Francis,

Il n'en demeure pas moins qu'un "rapport de proportion" n'a pas le même sens qu'un "rapport de proportions". Cela étant dit, vous me savez ami de l'innovation, et, contrairement au Maître (de Santiago), au seuil de l'ère nouvelle, je ne refuse pas d'entrer.

J'accueille donc avec bienveillance le "rapport de proportions".