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Millet en anglais ?

Envoyé par Bruno Chaouat 
07 septembre 2008, 22:45   Millet en anglais ?
Un in-nocent pourrait-il me dire comment savoir si Richard Millet a jamais été traduit en anglais ? Et en une autre langue ? Merci d'avance.
07 septembre 2008, 23:20   Re : Millet en anglais ?
07 septembre 2008, 23:35   Re : Millet en anglais ?
Merci infiniment, Monsieur Meyer. Je ne sais pas comment je m'y suis pris pour le manquer sur le site d'amazon.
08 septembre 2008, 07:32   Re : Millet en anglais ?
Puis-je me permettre cher bruno une suggestion ?

Pour savoir si un auteur a été traduit en anglais ou non je crois que la meilleure source est encore la Biblothéque du Congrès.
08 septembre 2008, 11:16   Re : Millet en anglais ?
Rogemi écrivait:
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> Puis-je me permettre cher bruno une suggestion ?
>
> Pour savoir si un auteur a été traduit en anglais
> ou non je crois que la meilleure source est encore
> la Biblothéque du Congrès.

The link, Rogemi, the link please. Merci ô Rogemi !
08 septembre 2008, 11:25   Re : Millet en anglais ?
Cher Francis,
La bibliothéque du congrès a le plus grand fond de livres au monde.
Le lien est i c i
08 septembre 2008, 11:53   Re : Millet en anglais ?
Apparemment le seul livre traduit en anglais est

La Gloire des Pythre
08 septembre 2008, 12:58   Re : Millet en anglais ?
Merci encore cher Rogemi. J'ai cherché dans le catalogue "Benjamin Constant", j'ai trouvé Jean Constantin et Eddie Constantine. C'est pas possible, je dois être mal réveillé...
Utilisateur anonyme
08 septembre 2008, 13:10   Re : Millet en anglais ?
Vous savez, si l'on cherche à Millet, on trouve d'abord La Vie sexuelle, traduite en 45 langues…
08 septembre 2008, 13:12   Re : Millet en anglais ?
Boris Joyce écrivait:
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> Vous savez, si l'on cherche à Millet, on trouve
> d'abord La Vie sexuelle, traduite en 45 langues…

Je vais le commander en kirghize, ce qui devrait être un bon moyen de m'initier à cette langue, avec l'original étalé en regard sur la table du petit déjeuner.

45 langues, tout de même, rien qu'avec les droits de traduction, elle a pu se payer le château d'Hérivaux, la Catherine-qu'à-un-sexe.
Utilisateur anonyme
08 septembre 2008, 13:43   Re : Millet en anglais ?
Rogemi écrivait:
-------------------------------------------------------

> La bibliothéque du congrès a le plus grand fond de
> livres au monde.


fonds
08 septembre 2008, 13:57   Re : Millet en anglais ?
Je m'en doutais mais j'ai eu la flemme d'aller vérifier ...
08 septembre 2008, 14:03   Re : Millet en anglais ?
Cher Francis
Il faut d'abord aller au sous-menu Basic Search
cliquez à auteur et taper Constant, Benjamin

Les résultats vont vous laisser coi.
Utilisateur anonyme
08 septembre 2008, 14:05   Le château d'Hérivaux
Vous croyez que si je mets à la vie sexuelle de Boris Joyce, je pourrais, moi aussi ? La vie est belle !
08 septembre 2008, 18:51   Re : Le château d'Hérivaux
On devrait faire ça à quatre mains, Boris, rien qu'avec les droits d'adaptation cinématographiques, on pourrait se payer Chambord, ou au moins Cheverny. On serait bien à Chambord tous les deux Boris, dans les chasses, les brumes, les givres matinaux sous les cieux gorge-de-pigeon, loin de Fuveau, de ses paysages d'un Cézanne en carton-pâte et de ses faveurs élusives.
Utilisateur anonyme
08 septembre 2008, 19:02   Re : Millet en anglais ?
Je ne dis pas non.
08 septembre 2008, 19:13   Re : Millet en anglais ?
La meute de Cheverny, quel spectacle!
08 septembre 2008, 19:45   Millet sans carton-pâte
Comme vous dites. Et le gibier que l'on dépèce fumant dans les grandes cuisines aux murs de pierre noicies de suif où l'on pourrait faire penétrer un char à boeuf sous les voûtes basses et l'odeur du foin coupé mêlée à celle des omelettes aux truffes et les caves insondables bondées de Pommard et les petites que nous ferions monter de la Côte, Boris et moi, pour leur faire entendre le brâme des cerfs dans les chênaies et les frênaies glacées à la tombée du jour histoire de se les mettre au diapason avant de les pousser ivres mortes à huit heures du soir sonnantes vers les pageots aux édredons épais et légers comme des culs et en redescendre à minuit par les longs escabeaux de bois qui conduisent à l'office pour le saucissonnage post-coïtal au Pouilly-Fuissé et aux cornichons maison.

Et le lever à cinq heures pour le graissage des armes, les essais d'appeaux et l'arribage de la meute, qui dévorerait ses maîtres de faim et de joie qu'on la sorte sans qu'il soit possible en elle de démêler ces deux forces, la faim et joie, autrement qu'en lui faisant engloutir des morceaux de viande crue.
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