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Insomnie, cauchemars, idée

Envoyé par Francis Marche 
15 novembre 2010, 16:07   Insomnie, cauchemars, idée
Sachant que l'intégration des populations s'installant en France est aussi impossible qu'est inéluctable la poursuite de ce flux migratoire, il devient patent que toutes les politiques, les législations qui se mettent en place après avoir été pensées aujourd'hui en France se trouveront, dans l'avenir, confrontées à des situations nées de la présence de populations dont les fils et filles auront grandi dans des pays où ces politiques, ces dispositifs d'accommodement divers de leur présence en France, sont inconnus, et que ce décalage ne laisse guère présager une quelconque adéquation entre l'élaboration du futur ordre politique et social du pays et la réalité des réponses que l'installation de cet ordre suscitera chez ces populations qui n'en connaissent rien et qui ne sont nullement consultées (se trouvant aujourd'hui ailleurs qu'en France) dans son élaboration actuelle.

Et inversement: ces politiques auront été élaborées en France dans l'ignorance à peu près totale des modes de vie, de pensée, des coutumes, des traditions politiques des pays où naissent et grandissent ces futurs Français. Cette double inadéquation ne paraît pouvoir être corrigée qu'en faisant en sorte que les futurs grands commis de l'Etat français soient soumis à l'obligation, laquelle revêtant un caractère d'urgence, de recevoir leurs formations professionnelle dans ces pays d'où seront originaires les futurs Français et non sur le territoire français appelé à les accueillir à l'aveuglette et dans la méconnaissance de leur bagage culturel et meursal. Si la société française et ses cadres et superstructures institutionnels (les instances préfectorales, les mairies des grandes agglomérations, la magistrature etc.) doivent s'accommoder aux migrants et à leurs exigences culturelles et meursales, et non l'inverse, il n'est que logique que les décideurs et modeleurs de ces cadres reçoivent au moins une grande partie de leur formation professionnelle de futurs commis de la nation dans ces pays et non en France. C'est ainsi, et l'on s'étonne qu'un Jacques Attali n'ait pas encore pondu un rapport pour le préconiser, que l'ENA et les principaux IEP devraient être déconcentrés, comme au dit, au Mali, en Côte d'Ivoire, en Turquie, en Ingouchie, en Chine, en Palestine et en Algérie en vue de frotter leurs étudiants aux réalités des pays d'où seront originaires leurs futurs administrés, tout en faisant connaître, par des campagnes de communication et de sensibilisation, à ces populations de futurs Français, les réalités de leur future patrie (laïcité, état de droit, etc.).

Un pays ouvrant ses frontières à l'immigration de masse indiscriminée et globale doit, comme on dit, se donner les moyens de réussir en allant au-devant des difficultés futures, et donc faire éclater ses propres cadres institutionnels à l'échelle planétaire: si la France appartient à tout le monde, et si le monde entier a le droit de la faire sienne, elle doit, pour accomplir ce beau programme, atomiser ses institutions sur l'ensemble de la planète.
15 novembre 2010, 16:34   Re : Insomnie, cauchemars, idée
Vous êtes parfois effrayant, cher Francis ; d'une lucidité effrayante.

"Et inversement: ces politiques auront été élaborées en France dans l'ignorance à peu près totale des modes de vie, de pensée, des coutumes, des traditions politiques des pays où naissent et grandissent ces futurs Français".

Avez-vous oublié entre-temps que "la culture n'existe pas" ? L'homme pris en compte par les politiques migratoires françaises et européennes n'est pas un être incarné et culturellement déterminé mais une conscience exsangue, un moi décentré et absent à lui-même, vidé, pour tout dire, de lui-même par le voile d'ignorance (la moulinette rawlsienne) et voué à un universalisme morbide et sans fond. L'immigration massive n'est de ce point de vue pas un problème puisque on postule au départ l'équivalence absolue de tous les modes de vie, de toutes les traditions, lesquelles ont préalablement été décrétées invisibles parce qu'immorales. La France s'interdit de voir ce qui saute aux yeux des non-croyants en l'immigration de masse : que les peuples ne sont pas solubles les uns dans les autres, à moins que précisément ils renoncent à toute définition substantielle (comme c'est le cas maintenant) pour courir se noyer sans états d'âme dans l'indistincte et originelle marée humaine appelée à nous submerger.
15 novembre 2010, 17:05   Re : Insomnie, cauchemars, idée
J'entendais ce matin à la radio qu'il était question d'inscrire la gastronomie française au patrimoine mondial de l'humanité. Pourquoi pas la France, tout simplement ?
Les gens qui crachent dans la soupe à longueur de journée ont du subir un lavage de cerveau plutôt acide.
Utilisateur anonyme
15 novembre 2010, 17:38   Re : Insomnie, cauchemars, idée
Il n'y a pas d'immigration (que je sache) au Japon… Pourquoi est-ce indispensable ici et non là-bas?
merci d'éclairer ma lanterne…
15 novembre 2010, 18:37   Re : Insomnie, cauchemars, idée
Pas d'immigration au Japon, certes, mais de l'expatriation. Les vieux japonais peuplent les cotes européennes où il fait bon vivre. La raison est simple : les japonais ont développés une xénophobie proportionnelle à l'exiguïté dramatique de leur pays. Ils n'ont déjà pas assez de place pour eux, ils s'entassent les uns sur les autres et rasent les collines pour agrandir leurs villes.
Il n'y a pas si longtemps que cela, plus de la moitié des japonais interrogés affirmaient qu'ils déménageraient si un gaijin (un étranger) s'installait sur le pallier en face du leur... Qui réussirait à faire passer tel sondage en France?
15 novembre 2010, 19:02   Re : Insomnie, cauchemars, idée
Établissements et royaumes barbares

Il faut se représenter les Barbares entrant dans la Gaule romaine non comme une armée qui veut faire triompher un idéal quelconque ou qui se soucie d’imposer ses lois, ses institutions et ses mœurs, mais comme des bandes d’aventuriers, gloutons, bruyants, malodorants, conduits durement par des chefs qui se paient eux-mêmes et qui paient leurs hommes au moyen du pillage. Loin de mépriser ou de détester le confort, les richesses et tous les agréments du monde dans lequel ils font irruption, ils n’aspirent qu’à y participer sans gêne ni retenue. Quand ils arrivent dans une villa, c’est surtout la cuisine qui, d’abord, les intéresse. Ensuite, ils exigent qu’on leur cèdent des terres, mais ne dépossèdent point entièrement le premier occupant. Leur supériorité vient de leur brutalité et de leurs pratiques guerrières vis-à-vis d’une population qui a perdu, pendant la longue paix romaine, toute habitude des armes. La guerre, pour eux, est le moyen de prendre les choses, non de les changer. leurs chefs se parent même avec ostentation de telle ou telle défroque romaine, comme un roi nègre revêt l’uniforme européen.
Ainsi les Barbares n’expulsent pas l’ancienne population. Tout au plus la molestent-ils pour s’emparer de ce qui leur plaît. Ils ne la traitent pas comme une population vaincue, encore moins comme une population inférieure, mais comme une population qui doit largement partager avec eux ce qu’elle possède. D’ailleurs, ils se mêlent peu à elle. Ils conserveront longtemps leurs lois et leurs mœurs, laissant les Gallo-Romains vivre à leurs guise. L’Empire, jadis, quand il se servait d’eux dans ses armées, les appelait des hôtes, ce qui signifie des soldats logés chez l’habitant. Ils continuent à se conduire en hôtes, mais en hôtes que l’on ne peut mettre à la porte et que, par conséquent, l’intérêt de l’habitant est de contenter en lui faisant sa part.


Lucien Romier, L’Ancienne France des origines à la Révolution, Librairie Hachette, 1948, pp. 45-46.
Il y a des Chinois et des Coréens qui s'installent dans l'archipel, me semble-t-il. Cela n'est pas sans poser quelques problèmes...
Utilisateur anonyme
15 novembre 2010, 19:51   Re : Insomnie, cauchemars, idée
Donc si je vous entends bien, c'est une question de place…
lorsque l'on nous explique à longueur de journée que "l'immigration est une chance pour la France" c'est qu'elle pourrait occuper nos espaces vacants?… (j'ai une idée pour nos espaces vacants qui vaut ce qu'elle vaut mais je l'exprime ici : laissons les espaces vacants vacants!)
(C'était la seconde partie de ma question : en quoi l'immigration est elle une chance pour la France?)
Utilisateur anonyme
15 novembre 2010, 21:12   Re : Insomnie, cauchemars, idée
Vous avez raison Cher Francis, il faut pousser la logique diversitaire jusqu'au bout.



Cher T. Claude ne cherchez plus midi à 14h : pour toutes les civilisations passées le mécanisme a été identique. Arrivé à ce degré de civilisation et de puissance, et donc de confort, où, étant certain de ne plus avoir d'ennemi, un peuple commence à jouir, les vertus militaires se dégradent, la virtus disparaît. On appelle ça le "présentisme" : jouir hâtivement de biens rapidement acquis. Dès lors que le caractère d'un peuple s'est affaissé, et que sa mort annoncée lui est présentée comme un "chance", l'affaire est dans l'sac : des peuplades plus viriles, ayant une religion et de puissants besoins, n'en finissent plus de l'envahir, s'installent définitivement chez lui, puis le remplacent.
Utilisateur anonyme
15 novembre 2010, 21:27   Re : Insomnie, cauchemars, idée
meursal? Anagramme cachée?

J'adore quand on parle des Ingouches c'est super exotique ;-)
La contre-colonisation est une colonisation. Les leçons doivent en être tirées, comme le vin, tant qu'il en est temps: le corps des futurs administrateurs de l'Etat, comme jadis les pères jésuites mais à l'envers, doivent d'abord partir, qui en Chine, qui en Patagonie ou en pays Dogon, par tirage au sort, et, en ces lieux de leur affectation, s'aviser de l'humanité qui y fermente et qui, à terme, à très court terme, doit régner (démocratie oblige) dans l'espace national métropolitain.

Jadis, l'on formait les cadres de la colonisation en métropole pour qu'ils aillent se disperser et mourir dans l'outre-mer; désormais, ce sera le contraire, et ce dispositif contraire n'est autre que conforme au mouvement contraire à la colonisation qu'est la contre-colonisation, conforme à ce nouveau paradigme, à ce verlan de la colonisation: les cadres de la contre-colonisation, héros de cette épopée future que nous concoctent nos gouvernants actuels depuis trois bonnes décennies, partiront se former à Tombouctou pour revenir mourir à Paris, ou dans le 9-3, dans les rites vaudous, le viandox tropical, le rap, la polygamie primitive, les fièvres inconnues.
Ainsi certains étourneaux de l'hémisphère nord ont, parait-il, inversé leur migration.
Utilisateur anonyme
15 novembre 2010, 22:39   Re : Insomnie, cauchemars, idée à tire d'aile
pour revenir mourir à Paris, ou dans le 9-3, dans les rites vaudous, le viandox tropical, le rap, la polygamie primitive, les fièvres inconnues.

Oh ouiiiiii !!!!! Si seulement c'était vrai...
Francis,

Faisant parti de ces cadres de l'outremer revenus en métropole, je retrouve avec plaisir dans votre texte le viandox, qui m'était sorti de l'esprit, et je pense soudain au bouillon Maggi, une valeur sûre de la France coloniale (qui existe encore sous certains aspects).

Notre amie Cassandre sait-elle que la ville de Cayenne possède une importante colonie Corse (en fait de troisième génération, des descendants des fonctionnaires de l'administration pénitentiaire) et que, rituellement, le déjeuner du vendredi au Café des palmistes, qui existait au temps d'Albert Londres, a comme plat du jour le... couscous, justement ramené par les Corses de leurs périples nord-africains ?
Utilisateur anonyme
16 novembre 2010, 08:20   Re : Insomnie, cauchemars, idée
Monsieur K
J'ai bien peur que vous n'ayez raison. J'ai effectivement depuis longtemps conscience que la France est a mettre au musée des anciennes civilisations à jamais disparues avec le Aztèques, Byzance, les romains et le Indiens d'Amérique (etc…)… et que nous, les "indiens" de France allons avoir à apprendre à nous intégrer. Toutes les choses de ce monde sont vouées à disparition, on le sait. Les jeux sont effectivement fait et la "messe " (si je puis dire) est dites. Mais quand même, avant que la bête ne meurent complètement, il faut lui accorder le droit de protester (au moins un peu), le dernier "râle"… Ce qui me dérange en fait le plus est que nous avons nous même organiser cette mort lente… Je crois que s'il n'y a pas d'immigration de masse au Japon (pour reprendre mes premières interrogations) c'est parce qu'il n'ont pas voulu. C'est un choix politique et non une incapacité à les accueillir.
16 novembre 2010, 08:35   Re : Insomnie, cauchemars, idée
« Les jeux sont fait, la messe est dites, avant que la bête ne meurent complètement, nous avons nous même organiser... »

Thomas Claude accepterait-il de se relire avant de cliquer sur "envoyer" ?
Utilisateur anonyme
16 novembre 2010, 08:56   Re : Insomnie, cauchemars, idée
Pardonnez moi Marcel Meyer, je n'ai pas fait d'études… merci de le faire remarquer. je me tait donc et je clique sur envoyer
16 novembre 2010, 10:07   Re : Insomnie, cauchemars, idée
Ne prenez pas la mouche, Monsieur, il n'y a pas de honte à cela mais on peut s'améliorer. Loin de moi le désir de vous faire taire. Vous pourriez peut-être, avant de les poster ici par copier-coller, écrire vos textes sur Word : le correcteur d'orthographe et de grammaire voit la plupart de ces fautes et vous invite à les corriger.
16 novembre 2010, 10:08   Re : Insomnie, cauchemars, idée
C'est un choix politique et non une incapacité à les accueillir.

Je me vois dans l'obligation de protester. Vous pouvez bien sur dire que les japonais ne veulent pas d'immigration (c'est la vérité), parler de leur ouverture tardive sur le monde, mais vous ne pouvez pas nier une réalité aussi flagrante que le manque de place au japon.

Regardez donc les chiffres des importations et des exportations. Regardez donc les densités de population. Et enfin, je vous invite à découvrir les hôtels "boite" où chaque usager possède un tiroir de morgue pour la nuit, les capsules hôtel :



les clubs de golf tokyoïte, au sommets des toits :



Et enfin une petite vue de l'utilité des "gants blancs" japonais, qui contrairement à chez nous, ne sont pas là pour s'assurer que les gens laissent les autres descendre, mais plutôt à optimiser l'entassement dans le wagon.
[www.worldofstock.com]
Et ça, c'est sans immigration.
Il est possible de se faire des idées fausses aussi, avec ce type de clichés (au sens propre) sur le Japon.

L'habitat japonais, que l'on retrouve ailleurs en Asie orientale, en Chine notamment, appelle de fortes concentrations. Les collines, les hauteurs ne sont quasiment pas habitées dans cette partie du monde (si ce n'est par ceux qui, justement, entendent se retirer du monde -- monastères, ermitages, etc.). Comme chacun sait, la riziculture est praticable plus facilement dans les bas-fonds; qui plus est, elle exige une main-d'oeuvre abondante, ce qui explique les très fortes densités de population en plaine et les déserts en montagne (l'élevage de bovins et le pâturage en moyenne altitude n'ayant jamais été dans la tradition agraire non plus qu'alimentaire de ces populations -- pas de "montagnes à vaches" en Orient qui, en Occident ont amené un habitat épars et une colonisation de la moyenne montagne). Le territoire de l'archipel nippon est occupé à 85% par des montagnes hautes et moyennes -- Claudel arrivant au Japon s'était plu à décrire ce paysage comme constitué d'une forêt de paravents et il se trouve donc qu'il se compose, paradoxalement, en majorité de zones inhabitées, verdoyantes et largement sauvages. Il n'y a donc pas de "problème d'espace objectif" ou de contrainte d'espace au Japon autres que celles que cette civilisation s'est choisies.
16 novembre 2010, 10:26   Re : Insomnie, cauchemars, idée
La réalité japonaise est un peu plus compliquée que cela. La population y est très concentrée et les deux tiers du pays sont quasiment vides. Les Japonais prétendent que c'est parce que ces régions montagneuses sont inhabitables mais c'est faux — en partie en tout cas. Je me suis longuement promené dans des espaces vides d'hommes, à Kyūshū mais aussi pas très loin de Tokyo, dont l'équivalent en Europe aurait été normalement aménagé et peuplé. Quant aux petites plaines côtières sur lesquelles vit l'essentiel de la population, l'urbanisation y est certes presque continu mais la densité urbaine reste relativement faible, nettement inférieure à celle de Paris par exemple, même si elle a beaucoup augmenté : les villes japonaises sont encore surtout constituées, en matière d'habitat, de maisons individuelles et de tout petits immeubles. En revanche, la densité d'occupation de cet habitat est beaucoup plus importante que chez nous.
16 novembre 2010, 10:35   La "culture qui n'existe pas"
... et qui "n'est pas un problème" -- puisque les problèmes ne sauraient être que "sociaux" n'est-ce pas. Je ne sais trop si votre commentaire se veut ironique cher S. Bily. J'espère que cette "culture qui n'existe pas" à laquelle vous faites référence est bien, par exemple, celle-ci. Si tel est le cas, nous nous sommes compris.
Nos messages se sont croisés cher Marcel, d'où leur redondance apparente.
16 novembre 2010, 10:43   Re : Insomnie, cauchemars, idée
Je faisais référence, cher Francis Marche, et de manière ironique, à la phrase que vous aviez relevée d'un africaniste qui répondait à Luc Lagrange : "Mais la culture, cela n'existe pas !"
16 novembre 2010, 13:03   Re : Insomnie, cauchemars, idée
Je n'éprouve d'empathie qu'envers mes semblables, suis-je seule dans ce cas ? La question est de savoir qui est mon semblable. A priori pour ces dames, un employé ne peut être son semblable. J'ai déjà vu leurs "domestiques" dormir sur une chaise ou à même le sol, à l'entrée de la chambre d'hôpital de la ville où je réside. Personnellement, les deux postures me choquent : celle de se croire supérieur ou celle de considérer l'autre comme tel.

Notre culture européenne s'est me semble-t'il aussi bâtie en opposition à la culture mahométane, or on nous demande de renier notre axiologie pour les accueillir, pendant que le personnel enseignant se charge de celle de nos enfants. L'outil principal étant la Loi Gayssot, qu'il faudrait supprimer au plus vite tellement son application subjective s'apparente à l'inquisition. L'imposition perpétuelle mais larvée via la vue et l'ouie, d'un semblable contre-nature m'exaspère, d'énormes moyens techniques et financiers sont mis à la disposition de ce projet, dont je ne vois aucun intérêt à long terme pour eux. Comment leur faire comprendre qu'ils se font du mal, et que ceci n'est pas dans leur intérêt ? Soyons un peu plus novateur, l'humain comme esclave ce ne sont que des problèmes, tournons nous plutôt vers la technique.
Utilisateur anonyme
16 novembre 2010, 13:34   Re : Insomnie, cauchemars, idée
Suppression de la Loi Gayssot et de la HALDE ! Souhaitons que ce soit la priorité du PI le jour il prendra arrachera le pouvoir...
Utilisateur anonyme
16 novembre 2010, 18:43   Re : Insomnie, cauchemars, idée
(Message supprimé à la demande de son auteur)
On notera que la densité de la population du Japon est inférieure à celle de la Belgique ou à celle des Pays-Bas.
17 novembre 2010, 11:47   Re : Insomnie, cauchemars, idée
Le problème du refus de l'immigration au Japon n'est pas dû au manque de place : il s'agit d'une société très fermée et nationaliste. Les japonais préfèrent, pour face au vieillissement de la population, développer la robotique plutôt que d'avoir recours à l'immigration. Lorsqu'ils ont vraiment eu besoin de main d'oeuvre, ils ont parfois fait revenir des Brésiliens d'origine japonaise (le Brésil contient la plus grande communauté japonaise hors du Japon), et même ceux-ci étaient victimes de discriminations et ont parfois dû retourner au Brésil.

Petites vidéos qui résume l'opinion des japonais vis-à-vis de l'immigration :





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