Le Grand Remplacement, c'est maintenant!

Et il commence à la maternelle.

J'ai la triste impression d'avoir déjà lu des dizaines d'articles similaires, sans que la presse, ni nos dirigeants, ne s'en émeuvent outre-mesure; alors que pour une malheureuse soupe au cochon...

Je ne vois qu'une solution pour apaiser (le mot préféré de Jean-Loui Bianco) la situation : interdire le porc.
A cet égard, l'expérience rennaise est intéressante : [www.rennes.lemensuel.com]

C'est le lien que j'ai placé dans un autre "fil", mais qui, apparemment, ne s'ouvre pas.

"Dans cet établissement public, qui accueille une majorité d'élèves musulmans, (...)" : il faut d'urgence envoyer S.O.S. statistiques.

En France, en effet, ces "polémiques" sont plus que fréquentes. Elles ont au moins le mérite d'exister. Qu'en est-il dans les autres pays européens ? Le "pragmatisme" ("la viande non-halal nous restait sur les bras ?") ne l'a-t-il pas emporté ?

Une nouvelle fois, le football est un bon exemple de l'influence des descendants de migrants musulmans. En cette matière, le pourtoussisme (le halal pour tous) n'en est qu'à ses balbutiements...

[www.agoravox.fr]

[www.lejdd.fr]

Oui mon cher Rothomago, vous devriez créer l'association Statisticiens sans frontières et inviter M. du Masnau à la présider. Je prédis un grand succès, en matière de collecte de subventions et d'articles louangeurs davantage sans doute qu'en nombre d'adhérents.

Jusqu'à ces derniers temps, à Béziers, les jeunes "Arabes" , avaient, dans la journée, en dehors de leurs quartiers, un comportement à peu près conforme à la normale : ils circulaient dans le centre ville pour leurs affaires sans faire "bande" ni trop chercher à nuire. Depuis un an, outre le nombre croissant de femmes enchifonnées et en savates tout droit venues du bled, commence à s'installer le phénomène si caractéristique des pays musulmans : des bandes de "jeunes" mâles comme soudés aux murs "tiennent" bruyammnent certains points de passage entre une rue et une autre. On sent qu'il ne leur faudra pas longtemps pour qu'ils commencent à importuner les passants et surtout les passantes.

On sent qu'il ne leur faudra pas longtemps pour qu'ils commencent à importuner les passants et surtout les passantes.

Pour le plus grand plaisir de certaines, malheureusement...

Citation
Uri Bar-Eccer
Et il commence à la maternelle.

J'ai la triste impression d'avoir déjà lu des dizaines d'articles similaires, sans que la presse, ni nos dirigeants, ne s'en émeuvent outre-mesure; alors que pour une malheureuse soupe au cochon...

Et alors, vous proposez quoi ?

Et il commence à la maternelle ?

Non, il commence à la maternité !

"Un élu de Nîmes s'offusque que Carrefour ait sorti un catalogue «spécial ramadan». Une pratique pourtant courante à l'approche de cette fête religieuse synonyme de dépenses alimentaires en hausse."

Dit autrement : "Une pratique pourtant courante à l'approche de ce jeûne, synonyme de dépenses alimentaires en hausse."...

Une enquête conjointe de l’Institut national d’études démographiques (Ined) et de l’Institut national de la statistique et études économiques (Insee), réalisée en 2008 et publiée dans la revue "Population et Sociétés" de juillet-août 2013, nous apprend que la population immigrée est devenue majoritairement féminine en France.

N'est-ce pas la fin du mythe d'une immigration qui serait principalement celle du travail ? Loin de moi l'idée que les femmes ne travaillent pas ou qu'elles ne puissent pas émigrées pour en trouver mais que penser du préambule de ce rapport d'enquête : "la féminisation des immigrés n’est pas due seulement au regroupement familial. Les femmes migrent de plus en plus de façon autonome afin de travailler ou de faire des études." ?

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[www.vie-publique.fr] :

Les femmes représentaient 47% de la population immigrée en 1911, 44% entre 1954 et 1975. Elles sont devenues majoritaires dans les années 2000, atteignant 51% en 2008. Elles représentent 65% des immigrés venus des pays de l’Union européenne (hors Espagne, Italie et Portugal) et 57% des immigrés d’Afrique centrale ou du Golfe de Guinée, elles restent minoritaires parmi les immigrés turcs (46%), marocains et tunisiens (48%). La modification de la politique migratoire et la reconnaissance légale du droit au regroupement familial à partir de 1974 ne suffisent pas à expliquer la féminisation de la population immigrée depuis le milieu des années 1970. En effet, les femmes qui arrivent en France sont de plus en plus souvent des célibataires ou des "pionnières" qui devancent leurs conjoints. Elles représentaient 16% des immigrés arrivés sans leur conjoint avant 1974, elles en représentent 42% depuis 1998. Leur part dans la population célibataire est passée de 23% à 47% sur la même période. Elles sont également plus nombreuses à migrer en France pour faire leurs études : après 1998, un étudiant étranger sur deux est une femme, contre un sur quatre dans la période 1975-1983. Inversement, les motifs d’accès au séjour chez les hommes évoluent : les hommes forment le tiers des personnes venues en France au titre du regroupement familial et leur nombre progresse parmi les conjoints de français.

L’enquête montre ainsi un net rapprochement entre les comportements migratoires des deux sexes.