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Islamophobie : pendant les travaux, la propagande continue

Envoyé par Pierre-Marie Dangle 
Sur France Culture, en ce moment, à "La Grande table", véritable festival d'à-plat-ventrisme :

[www.franceculture.fr]
Après la circoncision psychique, l'émission suivante était consacrée à la lipo-péno-sculpture (autrement dit : l'acte chirurgical qui a pour but d'agrandir le pénis). Matière à psychanalyse.
Oui, c’est extraordinaire. Il y a un double codage, de l’islamisme vers le droit-de-l’homisme et du droit-de-l’homisme vers la sociologie. Donc on commence avec la position islamiste, qui est que l’islam est tout, qu’il est parfait et que les non-musulmans, à commencer par les chrétiens, sont coupables parce qu’ils refusent l’islam. On traduit en termes victimaires et cela donne que les chrétiens sont racistes (ils sont islamophobes). Et on retraduit le tout dans la phraséologie sociologique (« Notre perspective, c’est celle d’une sociologie des problèmes publics ») pour redire la même chose, mais de façon « dépassionnée » (sic), à la lumière des « sciences sociales ».

Et comme on est entre soi, c’est-à-dire entre militants du voile, et qu’on se monte le bourrichon, on finit par s’entre-expliquer que les féministes françaises anti-voile sont racistes et qu’elles ne le savent pas, mais qu’on va leur expliquer et qu’ainsi elles sauront.
Je suis toujours ébahi de constater qu'il y a des gens suffisamment courageux ou masochistes pour écouter ça.
C'est en effet très curieux...

On sait très bien ce qui est "écoutable"...
Il faut se blinder moralement. Mais ce n’est pas inintéressant. Cela passe sur une station du service public, financée par nos impôts. On entend trois universitaires, qui sont également financés par nos impôts pour, en théorie, produire des savoirs.

L’obsession du voile, dans ces milieux, est également intéressante. Cela finit par cristalliser tout. Quand on cherche de quoi est faite la fameuse « islamophobie », on comprend vaguement qu’une « sœur » a été priée d’ôter son voile, dans une école, une entreprise. Dans la branche militaire du mouvement, les terroristes se font sauter pour venger leurs sœurs françaises qui sont interdites de voile. On aperçoit le moment où se déclencheront des émeutes du voile. Je me suis souvent surpris à penser que ces gens finiront par perdre leur guerre parce qu’il deviendra évident aux yeux de tous qu'ils sont mabouls.
(autrement dit : l'acte chirurgical qui a pour but d'agrandir le pénis)

Auriez-vous l'adresse du podcast de l'émission ?
Citation
Marcel Meyer
Je suis toujours ébahi de constater qu'il y a des gens suffisamment courageux ou masochistes pour écouter ça.

Certes, cher Marcel Meyer (je m'étonne moi-même parfois de mon masochisme — heureusement, il n'est que sporadique), mais au même titre qu'il y a des gens suffisamment courageux ou masochistes pour lire les éditoriaux du Monde...
Les journaleux du Monde feraient mieux de lire Snyder (Terres de sang) qui montre que l'extermination de six millions de juifs n'a pas eu pour cause première ou efficiente les opinions antisémites exprimées ça et là, mais la volonté de l'Allemagne et de l'URSS de "purifier" les terres qu'ils avaient conquises, dont le Yiddishland, de toutes les populations indigènes, dont les Juifs, et de les remplacer par de nouvelles populations, jugées plus dociles, composées de paysans allemands ou russes ou de paysans assimilables à l'un et à l'autre empires. Comme ces journaleux font primer l'idéologie sur la connaissance et préfèrent rester aveugles plutôt que d'ouvrir un oeil, ils en sont réduits à énoncer des bribes du catéchisme des puissants.
Certes, cher Dangle, mais la lecture est plus rapide et beaucoup plus facilement sélective.
Voilà pour vous Jean-Marc, mais je suis sûr que vous vous sous-estimez :
Podcast
Il faut absolument démolir cette idée dangereuse et mortifère que le simple antisémitisme d'opinion serait à l'origine de la shoah. Ce n'est pour rien que ceux qui veulent interdire toute protestation contre leur idéologie immigrationniste se servent de cet argument. En effet, ce n'est pas l'antisémitisme en lui-même qui a été responsable de la shoha mais l'antisémitisme totalitaire , c'est-à-dire répandu par la monstrueuse propagande d'un régime qui inspirait la terreur et n'autorisait aucun autre son de cloche. De même, aujourd'hui, ce n'est pas" l'antisouchisme" en lui-même qui est responsable de la disparition de la civilisation française et du peuple de France, mais "l'antisouchisme" totalitaire répandu par une monstrueuse propagande qui n'autorise aucun autre son de cloche et un régime qui inspire depuis quelques années une semi-terreur. C'est la liberté de parole qui garantit l'innocuité des opinions, quelles qu'elles soient, puisqu'on peut les combattre et les contredire et non l'omerta. Quoi de plus répandu en France, par exemple, depuis des lustres, que l'aversion pour les bourgeois dans certaines franges écoutées du peuple lesquelles ne se sont amais gênées pour la proclamer. Or, cette aversion proclamée n'a jamais débouché sur la moindre tentative d'extermination, pour la simple raison que, contrairement à ce qui s'est passé en Union soviétique, elle n'a jamais été totalitaire et que l'opinion contraire pouvait aussi s'exprimer.
Je partage entièrement la position de Cassandre.
En effet, toutes ces différences de sensibilité politique, d'opinions, d'approches, de proximité plus ou moins grande avec telle ou telle religion, sont parfaitement gérables dans le cadre d'une véritable démocratie laïque et en constituent d'ailleurs toute la sève.
A la condition expresse que le radicalisme totalitaire de tel ou tel ne vienne pas éradiquer toute contestation ou expression du camp d'en face.
J'ajoute qu'étant attaché à la civilisation judéo-chrétienne de mon pays et de mon continent, à ses paysages, ses clochers et à leur tintement, à une certaine douceur de vivre, laquelle s'amenuise tragiquement à grande célérité au contact d'Autres, aux fêtes de Noël et à ses chants qu'ils soient religieux ou traditionnels, à l'Histoire de mon pays et de ses rois qui l'ont fait, à la place qu'y tiennent la galanterie et la courtoisie, à la qualité de ses poètes, musiciens, scientifiques, politiques, je me sens, je dois humblement l'avouer, assez islamophobe. Comme je pourrais dire également que je me sens naziphobe. Il me semble qu'on a le droit de le revendiquer.
Pardon pour ce tableau si naïf.
Dans le genre, voici un entretien avec les sociologues français Abdellali Hajjat et Marwan Mohammed : « L'islamophobie va au-delà d'un simple racisme ».

Nous avons formé des wagons d'auto-sociologues qui portent la sociologie à une sorte d'acmé inénarrable.

Sous l'article on voit ceci :

L'islamophobie marque la rentrée des essais
La question de l'islamophobie suscite en cette rentrée un intérêt éditorial inédit. Outre l'ouvrage des sociologues Abdellali Hajjat et Marwan Mohammed, plusieurs livres traitant de près ou de loin de ce sujet viennent d'être publiés : Nos mal-aimés. Ces musulmans dont la France ne veut pas, de Claude Askolovitch (Grasset) ; Dictionnaire de l'islamophobie, de Kamel Meziti (Bayard Editions) ; Ce populisme qui vient, de Raphaël Liogier (Textuel). Dans une tout autre optique, l'ouvrage d'Elisabeth Schemla, Islam, l'épreuve française (Plon), paru en avril.
Utilisateur anonyme
27 septembre 2013, 22:52   Re : Islamophobie : pendant les travaux, la propagande continue
Charmant...
L'assimilation se fait en grande partie par mimétisme. Et on imite surtout ce qui dans le pays d'adoption semble à première vue le plus prestigieux : aujourd'hui, uniquement la caste médiatico-politique au pouvoir puisque le peuple historique compte à ses yeux pour moins que rien, ce que les nouveaux venus avec leurs antennes de néophytes sentent très bien. Et comme tous les néophytes, ils font du zèle, et veulent se montrer plus royalistes que le roi c'est-à-dire, en l'occurrence, encore plus anti français "de souche", encore plus méprisants de la France historique que leur modèle. En ce sens ils sont, paradoxalement, parfaitement assimilés.
Alors, Askolovitch a-t-il bien tenu son rôle ?
Utilisateur anonyme
28 septembre 2013, 10:48   Re : Islamophobie : pendant les travaux, la propagande continue
Exaspérant, comme d'hab' (pas le temps de développer maintenant).
Cloclo a été sublime : mélange de gouaille ("tu vois Alain, dans mon bouquin"), de vulgarité saupoudrées de gnangnanterie sur les mamans et les gamines voilées qui peuvent plus bosser ou aller à l'école alors qu'elles en chient (dixit le poète) pour s'intégrer. Toute son enquête repose sur des cas individuels très complexes avec par exemple des salafistes féministes ou des rappeurs musulmans, comme Médine (quel talent !), qui ont des problèmes de conscience parce qu'ils ne veulent pas choquer leur maman ou leurs épouses (c'est peu dire qu'ils n'ont pas ce scrupule avec les Français au carré comme les appelle joliment Tribalat dans son dernier livre qui vient de sortir et que je recommande chaudement). Donc Cloclo est curieusement nominaliste sauf contre les Franchouillards xénophobes et racistes (là il n'essaie pas de comprendre) : que des cas individuels, aucune généralisation à propos de la RATP ne peut être faite sans que celui qui s'y livre ne sombre dans l'islamophobie. Ce n'est pas faux : une amie qui travaille dans un hôtel de luxe parisien m'a expliqué qu'il n'était pas rare que les émirs qui viennent d'Arabie séoudite se saoulassent au whisky et regardassent des fils porno tout en violant leur bonne philippine. Tout cela est donc très compliqué. Mais la véritable découverte de Cloco est que le responsable des petites radicalisations qui peuvent exister ça et là est Renaud Camus et ses thèses. Si Marwan, le chef du CCIF, s'est radicalisé c'est la faute à Renaud. Si les chebab somaliens ont attaqué le supermarché c'est la faute à Renaud. Je plaisante mais le discours islamolâtre est prêt : toutes les exactions présentes et futures de l'islam dans notre pays sont et seront imputables in fine aux islamophobes. Le musulman est ontologiquement innocent.
J'ai trouvé Elisabeth Schemla excellente.
C'est drôle ça me rappelle quelque chose ... Vous savez ce pays où la population juive a fini par être exterminée au seul motif jamais prouvé qu'elle détestait tout ce qui n'était pas elle, les peuples d'origine européenne en général et les Allemands en particulier ... Ses exterminateurs l' accusaient en somme d'aryanophobie et expliquaient qu'elle ne faisait, au fond, que récolter ce qu'elle avait semé.

Qu'une Caroline Fourest tienne ce genre de raisonnement au sujet des chrétiens d'orient massacrés, est déjà odieux, mais que des juifs fassent de même passe l'entendement.
Merci de ce compte-rendu, mon cher Le Floch. Et Finkielkraut et Schemla ont-ils bien mouché le bonhomme ?
Je dirais, cher Marcel, qu'Askolovitch n'a besoin de personne pour le moucher : il est tellement bête qu'il se mouche très bien tout seul. Son inculture est proprement abyssale. Il évoque par exemple un salafiste (très sympa d'ailleurs et soucieux de s'intégrer en France) qui le reçoit chez lui, tout en lui cachant sa femme, ce qui semble l'étonner, alors que c'est une pratique absolument banale des musulmans de base dans le monde arabe.
Citation
Michel Le Floch
J'ai trouvé Elisabeth Schemla excellente.

Oui effectivement.

Mais ce que je trouve peut être le plus inquiétant, chez nos compatriotes (ou étrangers) musulmans se trouvant en France, qu'ils se réclament ou non d'ailleurs de telle ou telle radicalité religieuse, c'est leur total manque d'intérêt pour tout ce qui n'a pas trait à leur modèle civilisationnel, c'est leur commune bouderie de tout ce qu'a pu réaliser notre pays tout au long de sa longue histoire.
Alors certes ils ne plastiquent pas (tout au-moins pas pour l'instant) nos monuments emblématiques ou nos églises mais ils les ignorent. Chaque fois que je visite une église romane, un château de la Renaissance, le Mont Saint Michel, ou autres lieux historiques de France, je suis toujours frappé par le peu d'"africains" que j'y croise, et donc par voie de conséquence, par le peu de musulmans (car si tous les "africains" de France ne sont pas musulmans, une grande partie des musulmans de France sont "africains" d'origine).
On y voit par contre maints asiatiques, lesquels apparaissent comme plus curieux de l'Autre que peuvent l'être nos "africains".
Idem quand je me rends à un opéra ou un concert de musique classique occidentale, ou aussi dans un musée, le public présent étant presque uniformément de type caucasien (je crois que c'est comme ça qu'il faut dire à présent).
Ce manque d'intérêt pour l'Autre ne semble pas trop inquiéter la cohorte de nos bien-pensants et autres cathos de Gauche! Eux qui ont pourtant tant le souci d'aller vers l'Autre, de nous y inviter en permanence, d'essayer de le comprendre, de connaître son fond culturel afin de mieux le respecter et l'aimer comme il se doit. Amen!
Mais peut être que, pour eux, rien de ce qui a été édifié en France ne mériterait un tel détour et une telle attention. Nous serions à jamais marqués d'infâmie et d'opprobre.

Bref ce peu d'empahie pour notre Histoire couplé à une endogamie endémique (Nos soeurs ne sont pas pour vous!) ne plaident pas en faveur d'une assimilation réussie.
Si on y ajoute l'interdiction de l'apostasie, l'esprit conquérant de tout temps prôné par leur religion, le peu de considération qu'ils portent envers l'Autre non musulman lequel a toujours, en terre musulmanne, était traité en sous-citoyen, en dhimmi, le nombre impressionnant d'attentats sanglants perpétrés dans le Monde, dont les auteurs se réclament de cette foi, alors il apparaît comme évident qu'ils sont là non pas pour s'assimiler à quoi que ce soit qui nous appartienne en propre mais pour s'imposer à Nous. Pour nous vaincre! D'une façon ou d'une autre.

Quand je me rends à l'étranger, quand je franchis une frontière, j'aime passionnément me sentir dépaysé, étranger à ce lieu, découvrant tel un enfant éberlué tant de belles choses qui m'étaient inconnues : paysages, plats à déguster, coutumes, habitat, lieux de culte, monuments, type d'homme et de femme.
Mais quand, après ce beau voyage enchanteur et dépaysant, je rentre dans mon pays j'aime aussi passionnément m'y retrouver chez moi! Y compris par les gens que je côtoie (comme pourrait le dire Richard Millet).
Elisabeth Schemla a été excellente en effet ; Alain Finkielkraut semblait bizarrement vouloir copiner avec Cloclo.
Je n'ai pour ma part pas été tellement convaincu par la prestation de Mme Schemla, (ni par celle d'Alain Finkielkraut du reste). Il faut dire, à leur décharge, que se trouver face à un tel énergumène a quelque chose de paralysant : chaque phrase qu"il prononce, avec des sanglots de mauvais acteur, chaque argument (appelons-ça comme ça) qu'il présente, chaque idée (appelons-ça comme ça) qu'il défend soulèvent immédiatement une telle masse d'objections possibles que la réponse, quelle qu'elle soit, qu'on pourra leur apporter, n'en pourra être que partielle, appauvrie : il faut bien choisir un ou deux aspects des énormités proférées pour essayer de parer au plus pressé... Un peu comme ces pauvres professeurs qui perdent une énergie et un temps fous, obligés qu'ils sont, d'abord, de faire régner le calme dans la classe, puis de se fourvoyer dans des arguties à n'en plus finir au sujet de tout et de rien, sauf de la matière qu'ils ont à enseigner. D'autant que le bonhomme, qui est sot mais qui est habile, connaît parfaitement toutes les ficelles hypocoristiques destinées à empêcher l'interlocuteur de développer son discours. Cet écœurant mélange de gouaille, de vulgarité et de gnangnan que décrit très bien Michel Le Floch lui sert de bulldozer pour passer en force et obliger ses contradicteurs à se placer sur la défensive ou sur la digression. Il est difficile de contrer l'énorme bêtise, la bêtise au front de taureau.
Hypocoristique (caressant) n’est pas le premier qualificatif qui me vient à l’esprit à propos du discours de M. Askolovitch, qui alterne le « c’est faux » terroriste (lui seul détient la vérité) et l’appel larmoyant aux bons sentiments, quand il ne fait pas un petit détour par l’attaque ad hominem, Renaud Camus ayant droit une fois de plus à l’accusation d’antisémitisme, formulée de façon particulièrement haineuse et malveillante (il aurait exclu qu’un juif puisse être français).

Mme Schemla, un peu interdite d’abord (naturellement, que voulez-vous répondre à cela ?) a dit à la fin une chose très juste, qui est que la position de M. Askolovitch est forcément liée à une problématique personnelle, à un vécu personnel, qu’on devine très lourd. Et de fait, en voyant sur la Toile les images télévisées de ce monsieur sans sourcils, au visage pointu, qui vomit son amour des salafistes, l’air traqué, on s’abîme en conjectures.

Mais M. Askolovitch est d’abord un salaud. Il sait parfaitement que ses petits chéris sont des extrémistes, massacreurs de chrétiens. M. Askolovitch est d’abord et avant tout une ordure. Une petite ordure.
Cher Chatterton, permettez-moi de maintenir le terme : et que faites-vous donc des "Alain" par-ci, "Elisabeth" par-là, des "mamans voilées qui peuvent pas bosser", des "ça fait longtemps qu'on se connaît" etc. ? Certes, à côté de cette panoplie geignardo-doucereuse, le bonhomme utilise aussi à profusion tous les moyens que vous évoquez. La petite sortie puante sur Renaud Camus en était d'ailleurs une parfaite illustration, dans le genre. Les quelques hoquets de protestation de Finkielkraut sont vite passés à la trappe, parce que trois secondes plus tard, on était déjà sur une autre incartade. C'est le harcèlement de la petite frappe, à la façon des mouches.
(Maintenant, le fait que ce monsieur n'ait pas de sourcils (?) ne me gêne pas plus que ça, en ce qui me concerne.)
C'est le harcèlement de la petite frappe, à la façon des mouches.

Oui, c’est exactement cela. La petite frappe.
J'ai trouvé Mme Schemla très bien, et ce monsieur plutôt ridicule. Il semble effectivement évident qu'il a un problème personnel important. Finkielkraut a su fort bien conduire le débat, c'est son rôle.
28 septembre 2013, 23:02   Poils
Vive les gens aux sourcils touffus !
(Je vais de ce pas écouter l'émission...)
Je trouve les attaques ad hominem contre M. Askolovitch un peu vives...

Il ne faudrait tout de même pas que ce forum verse dans la conophobie...
M. Askolovitch se livrant lui-même de façon systématique à des attaques ad hominem, et le cas échéant contre des personnes qui ne peuvent pas se défendre parce qu’elles ne sont pas en face de lui, on ne voit pas tellement pourquoi on le ménagerait.

Par ailleurs M. Askolovitch a pondu un bouquin que personne n’a lu, que personne ne lira, et dont la seule fonction est de le faire tourner en boucle sur les médias, pour saturer l’espace du débat, faire diversion et victimiser les criminels.
Que Finkielkraut ne soit pas vraiment monté au créneau, c'est compréhensible dans une émission qu'il anime. Mais qu'il n'ait pas trouvé meilleur contradicteur que Schemla, c'est grand dommage. J'imagine qu'il est très difficile de faire face à une argumentation aussi filandreuse, mais il doit bien se trouver quelque part un individu qui en soit capable. J'ajoute qu'un coup d'oeil au texte de la chanson de la Fouine (je n'ai pas eu le courage de vraiment lire), me semble montrer qu'Askolovitch a raison : pas d'apologie, mais une pseudo "réflexion").

Bref, le grand débat sur la grande question n'a pas eu lieu.
Mais qu'il n'ait pas trouvé meilleur contradicteur que Schemla, c'est grand dommage. J'imagine qu'il est très difficile de faire face à une argumentation aussi filandreuse, mais il doit bien se trouver quelque part un individu qui en soit capable

(Ne le répétez pas, cher Reybaud, mais je me prends parfois à rêver qu'un Francis Marche, passant par là, et s'emparant du micro...)
Henri,

Je m'aperçois que mon second degré "ne passe pas". J'avais écrit que s'attaquer à ce monsieur de façon ad hominem pouvait conduire à se voir taxé de conophobie. Ce n'est pas très gentil pour ce monsieur, je crois !

Pour les autres intervenants : je ne partage pas du tout votre avis sur Mme Schemla, c'est aussi l'opinion de MM. Lequeux, Le Floch et Teyssier qui l'ont trouvée excellente, ce qui montre au moins une chose : le jugement des prestations d'un invité est très subjectif.
Utilisateur anonyme
29 septembre 2013, 17:24   Re : Islamophobie : pendant les travaux, la propagande continue
Asko, comme il faut l'appeler, me paraît de plus en plus comme un journaliste de seconde zone qui se cherche un nouveau lectorat comme le PS cherchait (car il a trouvé) un nouvel électorat.

Asko, pas complètement idiot, a mis son nez dehors et n'a pas tardé à découvrir que, tout comme le PS, sa seule chance, sa dernière chance, était de fricoter avec les remplacistes et les remplaçants.

Il se protège pour le grand jour. Lors de la victoire finale, il ne veut pas être tondu, donc il collabore, activement.

Cet homme est un collaborateur du Grand remplacement qui veut montrer patte blanche en attaquant, notamment, Renaud Camus.

Cerise sur le gâteau : le faire avec cette voix, cette morgue... Comme dirait un sénateur UMP, j'avais un peu l'instinct meurtrier à la fin de l'émission (messieurs du Mrap, c'est une image, je ne toucherai jamais un cheveu de ce cher Asko. Enfin, je crois.)
Christophe,


Je vois un sourcil menaçant se lever du côté du MRAP...
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