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Premier prix de la coquille...

Envoyé par Thomas Rhotomago 
Utilisateur anonyme
02 juin 2012, 22:01   Re : Premier prix de la coquille...
Dans les entretiens de Plieux VII, le Maître lui-même cite Tintin, pour des questions de parole bafouée par des marbriers inconséquents ; alors, que voulez-vous, m'sieur Bolacre !
Utilisateur anonyme
02 juin 2012, 22:21   Re : Premier prix de la coquille...
Pour photographier le Cardello nous nous sommes tout de même glissés dans le parc, nous déchirant à des plantes épineuses et n'en menant pas trop large, crainte d'une intervention galopante, sur le gazon, des fameux danois du docteur Müller, dans L’Île Noire.

Renaud Camus, Septembre absolu. Journal 2011, éditions Fayard, page 571.
C'est un homme qui connaît ses classiques, voilà tout.
Utilisateur anonyme
02 juin 2012, 23:23   Re : Premier prix de la coquille...
Une autre espèce de coquille :



Capturer une soucoupe volante, c'est très fort : on comprend qu'il puisse avoir le sourire.
Utilisateur anonyme
02 juin 2012, 23:53   Re : Premier prix de la coquille...
C'est de la musaque agréable, ça, non ?
Utilisateur anonyme
03 juin 2012, 04:33   Re : Premier prix de la coquille...
Citation
Jean-Michel Leroy
C'est de la musaque agréable, ça, non ?

L'instrument, peut-être, permet des choses sur une gamme réduite. En revanche, faut-il nécessairement être déguisé en punk à chien altermondialiste (avec piercing stretching plug et cheveux sales) pour en jouer?
Utilisateur anonyme
03 juin 2012, 08:42   Re : Premier prix de la coquille...
J'ai croisé ce jeune homme à Paris, rue Montorgueil, il y a de ça quelques semaines. Outre la douceur de sa musaque, m'avait plu alors sa grande bienveillance envers une toute jeune enfant se tenant proche de lui, admirative devant l'étrange instrument.
C'est l'oeuvre de bande dessinée la plus chère au monde

Mais qu’est-ce que ces gens appellent une œuvre de bande dessinée ? Un dessin de couverture, c’est une œuvre de bande dessinée, à présent ? J’appellerais une œuvre de bande dessinée — en admettant que la fantaisie me vienne d’utiliser une formulation aussi grotesque — un corpus, mettons les Peanuts de Charles Schulz. Ou à la rigueur un album considéré individuellement, mettons La Famille Fenouillard de Christophe.

Est-ce qu’on essaie de singer les parlures du marché de l’art ? Mais personne ne dit : « une œuvre de Picasso ». On dit : un dessin, une gravure, une toile.

Ces gens sont des imbéciles.

Je signale à l’assemblée qu’une page originale de bande dessinée (une planche dans l’argot du métier) se vend quelques milliers d’euros pour les grandes vedettes, quelques centaines pour les dessinateurs ordinaires (par exemple les gens qui font ou qui faisaient le beau journal de Spirou), quelques dizaines pour les sans-grade qui remplissaient les illustrés à bon marché.
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