Le site du parti de l'In-nocence

Bravo "Libération"...

Envoyé par Pierre Jean Comolli 
17 juillet 2012, 12:26   Bravo "Libération"...
Le journal a publié, ce matin, sur son site web, le dialogue intégral entre Mohamed Merah et un policier de la DCRI. De quoi booster encore un plus les différentes pages de fans Facebook dédiées aux délires à pleins tubes de ce malade. En même temps, ce quotidien en a toujours pincé pour les terroristes...
L'édito de N. Demorand est par ailleurs un exemple saisissant de la formidable ambivalence idéologique qui caractérise ce 'canard'. En gros: le document publié confirme le manque de discernement des services de renseignement. Ces derniers ont fait preuve de légèreté à l'égard d'un individu au comportement extrêmement suspect. Merah aurait dû donc faire l'objet d'une surveillance beaucoup plus vigilante.
"Libération", qui s'insurge à la moindre pose de caméras de sécurité, accuse là de laxisme les renseignements...A peine contradictoire. Bien sûr, il s'agit par ces articles de pointer du doigt l’État français (en l’occurrence le dernier gouvernement Fillon et l'ex-Président Sarkozy), qui, quand il n'est pas liberticide, est comme dans cette affaire, incompétent, défaillant, gaffeur. Bref, soit l' État français est le plus froid des monstres froids, soit il est un loser. Pas facile à suivre tout ça.
17 juillet 2012, 12:46   Re : Bravo "Libération"...
La nausée et les mains sales...
Utilisateur anonyme
17 juillet 2012, 19:38   Re : Bravo "Libération"...
oui et la P... respectueuse aussi.
Utilisateur anonyme
17 juillet 2012, 19:58   Re : Bravo "Libération"...
Libération ? Les Mots...de tête.
Utilisateur anonyme
17 juillet 2012, 22:32   Re : Bravo "Libération"...
Bravo, Madame le Ministre ! (Le degré zéro, vraiment.)
17 juillet 2012, 23:10   Re : Bravo "Libération"...
Et à la fin, on ne meurt plus, on gagne la vie éternelle...
17 juillet 2012, 23:54   Re : Bravo "Libération"...
Non: on obtient sa fin de vie.

L'expression "avancer en âge" est un anglicisme, un calque de l'anglais plutôt, to advance in age. Cela a dû lui avoir été dicté dans quelque "atelier international sur la terminologie à employer dans les études sur les populations" sous l'égide du PNUD ou autre OIT. Cette "initiative" est bien digne d'une minable porte-voix de ses maîtres méta-institutionnels, décérébrée et inutile, comme en recrute à tour de bras ce nouveau gouvernement, et qui sera oubliée dès la veille du prochain remaniement ministériel.

Français, vous n'êtes pas gouvernés: vous êtes manipulés, mais le pire est que vous l'êtes par de pauvres cruches qui le sont autant que vous !
18 juillet 2012, 00:32   Re : Bravo "Libération"...
Ceux qui ont été dans les IUFM ont connu cet art de la périphrase qui noie le réel : le "référentiel bondissant" (ballon), "un échec pédagogique" (toute sanction), etc.
C'est la langue socialiste par excellence : elle vécut de belles années dans le bloc bolchévik et commença à vivre des années fastes à l'Ouest dès les années 1970 aux Etats-Unis, puis en Europe.
Le réel agace, blesse et tue : tel est le constat amer de toute une armée d'imbéciles atteints du syndrome de Peter-Pan !
18 juillet 2012, 00:42   Re : Bravo "Libération"...
Cette langue est fabriquée par des commissions internationales d'experts, des noyaux de gens, des nodes de réseaux, qui l'élaborent, la diffusent auprès des "gouvernants" (qui ne gouvernent rien, pas même la langue qu'ils manipulent) et des agents de "dissémination" influençant la parole publique et médiatique.

Les gouvernants, les responsables des politiques publiques en Europe comme dans le monde en développement ne sont que des perroquets, des fantoches. Les nations européennes sont gouvernées (actes, pensées, parole publique) par des fantoches aux mains de ventriloques méta-institutionnels. Je me souviens d'Edith Cresson propulsée à Bruxelles, et qui revenait à Paris avec en bouche une langue refaite: elle parlait l'européen, l'euro-english en français. C'est aussi le cas de cette pauvre femme portée aux affaires dans le gouvernement Eyraut.

En fait, disons-le: la haute fonction publique en France n'est perçue, vécue par ces gens point autrement que comme anti-chambre d'un pantouflage doré à Bruxelles ou à Strasbourg l'heure de la pré-retraite venue -- il n'est que logique, dès lors, qu'ils s'exercent avec application, tout le temps qu'ils sont aux affaires à Paris, à maîtriser cette novlangue de pacotille qu'on leur fabrique à dessein et dont ils feront leur miel dans leurs vieux jours.
Utilisateur anonyme
18 juillet 2012, 01:17   Re : Bravo "Libération"...
Citation
Francis Marche
Cette langue est fabriquée par des commissions internationales d'experts, des noyaux de gens, des nodes de réseaux, qui l'élaborent, la diffusent auprès des "gouvernants" (qui ne gouvernent rien, pas même la langue qu'ils manipulent) et des agents de "dissémination" influençant la parole publique et médiatique.

Les gouvernants, les responsables des politiques publiques en Europe comme dans le monde en développement ne sont que des perroquets, des fantoches. Les nations européennes sont gouvernées (actes, pensées, parole publique) par des fantoches aux mains de ventriloques méta-institutionnels. Je me souviens d'Edith Cresson propulsée à Bruxelles, et qui revenait à Paris avec en bouche une langue refaite: elle parlait l'européen, l'euro-english en français. C'est aussi le cas de cette pauvre femme portée aux affaires dans le gouvernement Eyraut.

En fait, disons-le: la haute fonction publique en France n'est perçue, vécue par ces gens point autrement que comme anti-chambre d'un pantouflage doré à Bruxelles ou à Strasbourg l'heure de la pré-retraite venue -- il n'est que logique, dès lors, qu'ils s'exercent avec application, tout le temps qu'ils sont aux affaires à Paris, à maîtriser cette novlangue de pacotille qu'on leur fabrique à dessein et dont ils feront leur miel dans leurs vieux jours.

Ce que vous décrivez est proprement fascinant.
18 juillet 2012, 01:40   Re : Bravo "Libération"...
Bravo Francis Marche ! Belle envolée !
Virgil : "le référentiel bondissant", c'est un morceau d'anthologie !
18 juillet 2012, 01:46   Re : Bravo "Libération"...
"Monter en amour", c'est ambigu, non ?
18 juillet 2012, 08:21   Re : Bravo "Libération"...
Quiconque daigne s'arrêter une seconde sur "avancer en âge" voit aussitôt qu'outre le calque de l'anglais, cette fausse expression, cette fausse langue toute fabriquée, défait, expulse, veut faire oublier la langue française humble, commune, claire et ancienne qui disait, par exemple prendre de l'âge.

Organiser l'oubli de soi, l'occultation des ressources immédiates de la communication entre les hommes qui n'étaient pas des communicants, prendre leur place, tel est le but recherché. Lu hier, dans un programme de festivités estivales de la bonne ville de Sanary-sur-mer dans le Var, l'annonce d'une soirée Tribute à Gilbert Bécaud. Voilà, hommage, déjà qui fuit, s'estompe, s'assombrit avec son concept dans les brumes de l'oubli où commencent déjà à reléguer ce mot les générations modernes. Gilber Bécaud, on lui fait un tribute ? Ah ouais cool!
18 juillet 2012, 11:12   Les précieuses ridicules
"Non: on obtient sa fin de vie."

Pour l'instant, cher Francis, pour l'instant. Mais si la nôtre, de vie, est assez longue, je parie que nous verrons que ce terme même, "fin de vie", sera jugé trop dur et que, d'euphémismes en euphémismes, on en viendra tout bonnement à nier la mort, ce que l'on ne saurait entreprendre sans évoquer sa perpétuation ailleurs. A partir de là...

Sur le fond, et sans prétendre défendre le jargon de ces "commissaires", il faut bien reconnaître que la volonté de ne pas nommer les choses clairement (ou l'impossibilité) est à la source même de la poésie, du langage. Le "référentiel bondissant" ne dépareillerait pas dans le dictionnaire des Précieuses qui, on s'en souvient, appelaient un fauteuil "Les commodités de la conversation." Et c'est bien à une crise de préciosité que nous assistons avec ces "avancées en âge" et autre "montées en amour", d'autant que les femmes, comme du temps de Madame de Rambouillet, sont au coeur de cette entreprise de délicatesse.
je parie que nous verrons que ce terme même, "fin de vie", sera jugé trop dur et que, d'euphémismes en euphémismes, on en viendra tout bonnement à nier la mort, ce que l'on ne saurait entreprendre sans évoquer sa perpétuation ailleurs. A partir de là...

Il existe une nouvelle de Philip K. Dick élaborée autour de cette hypothèse: What the Dead Men Say. On y désigne la mort comme "demi-vie". La "demi-vie" se négocie par tronçons de durée: on peut ainsi acheter des crédits de demi-vie, un an ou deux, au maximum, dont la jouissance peut être distribuée (un peu comme les congés RTT) en petite prises sur des périodes pouvant être très longues. Par exemple, avec cent mille euros, vous achetez un an de demi-vie à prendre au rythme de trois semaines tous les cinq ans, mais notez bien que si vous étalez trop cette durée (sur un siècle par exemple), vos héritiers devront payer un cumul de "frais de garde" très importants... !

Hors ces tronçons de demi-vie, rien, point de salut, au sens strict ! La mort n'existe pas, elle n'est pas nommée, elle n'est pas même le néant de la mort. Il n'y a que vie et demi-vie, laquelle est négociable et assortie de droits de garde.

Un personnage de la nouvelle (une femme) dans une conversation mondaine s'interroge à haute-voix, "dire qu'il y a seulement un siècle, on n'avait pas encore inventée la demi-vie ! mais comment faisait-on pour vivre sans elle !". Elle ne dit point "mais comment faisait-on pour mourir sans elle".

Cette remarque sur les femmes et la préciosité est très pertinente. Elle montre en un sens que les femmes aiment habiller, décorer, parer, poétiser et euphémiser tout, jusqu'au néant. Fondamentalement, la mort les rebute.
Utilisateur anonyme
18 juillet 2012, 12:12   Re : Les précieuses ridicules
Sur Twitter (où j'ai publié quelques tweets avec le compte de l'In-nocence), les références à 1984 se multiplient, à propos de ces créations langagières et de la volonté de les impsoer, de changer la langue à tout prix, sous couvert de déclarations molles : Il serait bon que l'on dise ça plutôt que ça...
18 juillet 2012, 12:33   Re : Bravo "Libération"...
il faut bien reconnaître que la volonté de ne pas nommer les choses clairement (ou l'impossibilité) est à la source même de la poésie, du langage

«L'image, ce contre réel qui tend à rendre le réel plus intense encore. Images : froissement du lexique ou bris de syntaxe.
Calme, précision, clarté... et une méfiance envers la langue qui demeura l'insaisie : à jamais. »

A hauteur d'oubli Yves Peyré, Ed Galilée, 1999.
18 juillet 2012, 16:05   Re : Bravo "Libération"...
Je ne crois pas du tout qu'il s'agisse d'une crise de préciosité. Appeler un fauteuil "les commodités de la conversation" participe d'une recherche de raffinement poétique — ridicule, certes, mais il y avait bien volonté de raffinement.

Ici on cherche simplement à masquer, à ne pas nommer, à faire en sorte que la réalité, la vérité, n'insultent pas la morale, l'idéologie. Il n'y a rien de précieux, de raffiné (même de mauvais goût) à appeler un voyou un "jeune" ou les bas-fonds "quartiers sensibles", "quartiers populaires" "quartiers tout court". Or n'est-ce pas la même chose que d'appeler un vieillard un "avancé en âge" ?
18 juillet 2012, 17:00   Re : Bravo "Libération"...
Un vieux bordeaux sur un jeune faisan avancé mais pas trop...
18 juillet 2012, 17:48   Re : Bravo "Libération"...
"Il n'y a rien de précieux, de raffiné (même de mauvais goût) à appeler un voyou un "jeune" ou les bas-fonds "quartiers sensibles", "quartiers populaires" "quartiers tout court". "

C'est au contraire une langue de bureaucrates, totalement dénuée de poésie qui est à la vraie langue ce qu'un Français de coeur est à un Français de papier.

"Or n'est-ce pas la même chose que d'appeler un vieillard un "avancé en âge" ? "

Non ce n'est pas la même chose : "vieillard" est un mot riche de littérature et d'histoire. Avancé en âge ...
Imagine -t-on Corenille écrire :

"Ton impudence,
Téméraire avancé en âge, aura sa récompense. "

ou :

"Parlons bas ; écoute.
Sais-tu que cet avancé en âge fut la même vertu,
La vaillance et l'honneur de son temps ? le sais-tu ?"

Ou victor hugo écrire : il y a de la flamme dans l'oeil des jeunes gens mais dans l'oeil des avancés en âge il y a de la lumière" ?

Le vieillard dand l'ancienne langue était un sage respecté pour son expérience et pour être sur le point d'entrer dans le mystère sacré de la mort. L'avancé en âge d'aujourd'hui n'a même plus, de son vivant, d'existence aux yeux de ses contemporains. Il est déjà mort , mais d'une mort sociale, sans grandeur ni mystère, tout juste bon à figurer dans les statistiques..
18 juillet 2012, 18:03   Re : Bravo "Libération"...
Cher Marcel,

Il ne s'agit certes pas que d'une crise de préciosité, loin de là, mais permettez-moi de maintenir que cette tournure d'esprit me semble reconduite dans certaines trouvailles langagières contemporaines, en particulier dans le cas (mot entre tous bannis des salons) de cette ministresse, qui trouve un peu rude la vieillesse, comme l'association de l'amour à une chute, avouez que Madame de Scudéry eût applaudi à de telles inquiétudes.

C'est bien au nom d'une morale que les Précieuses traquaient dans le langage toutes les rudesses, leur grande affaire, qu'elles prétendaient y entendre, puis vouloir faire disparaître de l'usage. Elles firent d'ailleurs beaucoup, par-delà leurs ridicules, pour embellir la langue (quitte à ce que, sous leur influence, la veine drolatique française eusse à connaître son Purgatoire (préciosité ?))

(Et dites-moi, au passage, si je n'ai pas trop mal manoeuvré ces hallebardes de subjonctifs passés...)

Tenez, paille sous l'ardent des polémiques ! Régalons-nous de ces quelques illustrations précieuses, extraites du délicieux dictionnaire de Somaize :


Couches. - Etre en couches : sentir les contre-coups de l'amour permis.
Chien. - Votre chien fait son ordure : votre chien s'ouvre furieusement
Dîner. - Nous allons dîner : nous allons prendre les nécessités méridionales
Forêt. - Une forêt : un agrément rustique.
Marier. - Se marier : donner dans l'amour permis.
Pleuvoir. - Il pleut : le troisième élément tombe
Rire. - Cela me fait rire : cela excite en moi le naturel de l'homme.
Tout à fait : furieusement.
Vieillir. - Mademoiselle une telle commence à vieillir : la neige du visage de mademoiselle une telle commence à se fondre.

Les femmes : les sujets de la belle conversation ou l'agrément des sociétés, la politesse du langage et les divinités visibles.
L'on ne peut nier justement que ces femmes n'aient pas toutes ces qualités, puisqu'il est certain que sans elles les conversations sont sans agrément, les sociétés sans plaisir, que c'est chez elles que l'on apprend la délicatesse du langage et, en un mot, qu'elles sont les divinités de la terre, puisque les hommes les adorent.

Les véritables Précieuses étant pour l'ordinaire vieilles, ne veulent point de conjonction; c'est pourquoi elles ont retranché l'etc. de leur alphabet.
18 juillet 2012, 19:01   Re : Bravo "Libération"...
Profitons-en avant que la métaphore ne soit à l'index.
18 juillet 2012, 21:40   Re : Bravo "Libération"...
Chère Cassandre, ce que je voulais écrire c'est que l'euphémisation du mot "vieillard" en "avancé en âge" était de même nature que celle qui consiste à appeler "jeunes" les voyous : dans les deux cas il s'agit de masquer la réalité en ne la nommant point.
18 juillet 2012, 21:46   Re : Bravo "Libération"...
Cher Orimont, je veux bien vous concéder une parenté entre les inquiétudes morales de la ministresse au sujet de l'amour assimilé à une chute mais je n'arrive pas à voir quoi que ce soit de précieux dans le fait d'appeler un aveugle un mal- ou non-voyant.
18 juillet 2012, 22:05   Re : Bravo "Libération"...
Cher Marcel, j'avais bien compris votre commentaire. C'est mon message qui, en donnant l'impression que j'étais en désaccord avec le vôtre, était mal fichu.
18 juillet 2012, 22:59   Re : Bravo "Libération"...
"(...) l'euphémisation du mot "vieillard" en "avancé en âge" était de même nature que celle qui consiste à appeler "jeunes" les voyous : dans les deux cas il s'agit de masquer la réalité en ne la nommant point."

Pas tout à fait de votre avis, cher Marcel. Dans le premier cas, "avancé en âge" est une euphémisation de "vieillard", comme "l'instrument de la propreté" des Précieuses l'est du balai (olé !). On essaie d'attendrir une réalité que l'on perçoit comme trop dure, si on venait à la désigner par des mots précis. "Avancé en âge", tout dérisoire qu'il soit, ne trompe pas plus sur la marchandise que cet "instrument de la propreté." Dans les deux cas, la réalité est nommée, en mieux, espère-t-on, elle est "relookée", comme un cadavre après le passage du tanathopracteur n'en reste pas moins un cadavre, mais devient acceptable.

"Jeunes" pour "voyous banlieusards", au contraire, n'euphémise pas, il égare, sème la confusion, crée un trouble, empêche de réfléchir à la réalité, car il n'y a aucun lien logique entre la jeunesse et la délinquance. Un euphémisme eût été, pour désigner ces personnes, mettons, "turbulents périphériques".
21 juillet 2012, 02:03   Re : Bravo "Libération"...
...Quitte à ce que la veine drolatique française eût à connaître...
21 juillet 2012, 11:12   Re : Bravo "Libération"...
"...Quitte à ce que la veine drolatique française eût à connaître..."

Merci pour votre réponse. D'autres confirment ? C'est ce que j'avais d'abord écrit, avant la survenue d'un doute, qui, finalement, l'a emporté et m'a fait opter pour "eusse", sans raison précise.
21 juillet 2012, 18:07   Re : Bravo "Libération"...
Orimont, vous vouliez qu'on vous corrigeât, je vous corrigeai avec d'autant plus de zèle que c'est toujours un plaisir de vous lire. Quand un de ces doutes qu'alors vous connûtes m'étreint, je tape "conjugueur" sur ma barre Google et il disparaît comme par magie.
Quand un de ces doutes qu'alors vous connûtes m'étreint


C'est quasi-biblique...
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter