Communiqué n° 1657 : Sur les régularisations et naturalisations

Communiqué n° 1657, mercredi 6 novembre 2013
Sur les régularisations et naturalisations

Le parti de l’In-nocence remarque que M. Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, qui avançait la théorie bizarre selon laquelle il fallait augmenter les naturalisations pour pouvoir se montrer ferme quant à l’immigration clandestine et réduire le nombre des régularisations, reconnaît à présent que ces dernières ont très sensiblement augmenté sous son administration, de même bien sûr que les naturalisations, de sorte que la substitution ethnique et culturelle progresse sur les deux tableaux et que le Grand Remplacement s’accélère encore.

Le parti de l’In-nocence dénonce dans les opérations de communication — car ce ne sont rien d‘autre — de M. Manuel Valls les mêmes exactement qui ont bénéficié un temps, trop longtemps, à M. Nicolas Sarkozy, les étiquettes de gauche ou de droite ne changeant, en l’occurrence, strictement rien à l’affaire. Dans l’un comme dans l’autre cas, il ne s’agit que d’occuper un créneau politique et de séduire une frange donnée de l’électorat en campant soit un personnage d’homme fort et rigoureux, barrage contre l’immigration de masse, soit celui d'un homme ouvert au "métissage" et à la "diversité". De ces deux postures, c'est bien évidemment la seconde qui finit toujours par s'incarner comme l'atteste la progression calamiteuse du changement de peuple et de civilisation : les belles protestations de fermeté s'évanouissant devant les naturalisations et autres régularisations de masse.

Le même ton doctement condescendant — "n'aie pas peur, on va t'expliquer, tout va bien se passer, tu n'y peux rien, relaxe-toi, respire..." que celui qui était employé à l'égard de Finkielkraut il y a peu par l'historien autoproclamé Pascal Blanchard. Insupportable.

Celui qui est sûr de sa victoire a bien le droit d'être condescendant quand même ! Vous ne voudriez pas qu'il soit beau joueur alors que, pour lui, il s'agit d'une revanche éclatante.