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Communiqué n° 1667 : Sur le tireur de “Libération”

Communiqué n° 1667, vendredi 22 novembre 2013
Sur le tireur de “Libération”

Le parti de l'In-nocence voit dans le geste du tireur de “Libération” la preuve éclatante que ce n'est pas la parole de ce que le complexe médiatico-politique nomme pour les besoins de sa cause “extrême-droite” qui est criminogène, mais, bien au contraire, le climat de chasse aux sorcières entretenu de façon hystérique depuis un mois par ce même complexe, climat dans lequel quiconque ouvre les yeux sur la réalité du Grand Remplacement, ou sur un de ses aspects, se voit accusé de fascisme. Un homme connu pour se situer à l'extrême gauche, et déjà impliqué dans une tuerie spectaculaire en 1994, mais qui ne faisait plus parler de lui depuis quinze ans, est repassé à l’action directe, croyant incarner un Résistant luttant contre le surgissement de la bête immonde, et prenant donc à la lettre les élément de langage ressassés par les bien-pensants.

Le parti de l'In-nocence constate que, depuis quelques mois, le complexe médiatique se fait régulièrement prendre pour ainsi dire la main dans le sac, en flagrant délit d'aveuglement volontaire et de mensonge, dévoilant ainsi, malgré lui, la stratégie qu'il met en œuvre depuis trente ans pour nier la réalité du changement de peuple et de ses conséquences funestes.
Cette affaire semble tellement trouble et le personnage si inconséquent et pour tout dire détraqué, que la seule chose d'"éclatante" en l'occurrence paraît bien être le bruit des coups de feu.
Cher ami, quand on a un peu l’expérience de ces choses-là (par simple lecture attentive de la presse écrite), il y a des indices qui ne trompent pas. Empressement général à étouffer l’affaire après l’avoir montée en épingle. Diagnostic foudroyant porté par le procureur avant tout examen psychiatrique : c’est un timbré, son manifeste est incohérent, il n’y a pas à chercher d’explication. Affirmation que le type est totalement isolé, qu’il n’y a pas à chercher de réseau.

Il ne manque même pas le « qu’est-ce qu’on me veut, j’ai payé ma dette » de la douce Florence Rey, indignée qu’on affiche encore son visage à la « une » pour une ancienne peccadille.

Je vous gage qu’il se découvrira que monsieur Dekhar n’est ni plus ni moins cinglé que monsieur Breivik, à qui il ressemble comme deux gouttes d’eau, que son manifeste est de la même eau, quoique de l’autre bord et beaucoup plus court, que monsieur Dekhar avait une base arrière (au Royaume-Uni) et une planque (à Paris), qu’un tas de personnes savait ce qu’il était en train de faire et n’est pas intervenu et que ces gens expliqueront le moment venu que certes ils ont fourni les armes, mais qu’ils pensaient que c’était pour faire du tir.
Je concède volontiers que je n'étais guère convaincu, à l'époque, de la saine normalité d'un Breivik, ni d'ailleurs du sens qu'il convenait d’attribuer à ses actes.
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