Pierre Bergé s’exprime sur les célébrations officielles

Dans “On refait le monde”, sur RTL, hier 26 septembre.

C'est le plus gravement atteint, celui-là.

Dans le genre, il y a aussi Pierre Marcelle. Heureusement, il n'écrit qu'une fois par semaine.

Je crois qu'Askolovitch les enfonce haut la main.

Je crois qu'Askolovitch les enfonce haut la main.


Des promesses, toujours des promesses...

Répondent en coeur les deux Pierre...


(Message qui va avoir du mal à échapper à Anastasie !).

Pierre Bergé parle comme le couturier anglais antisémite, Galliano. Même haine, même zozotage, qui rend ses diatribes ridicules. Mais Bergé n’est pas antisémite, il est anti-catholique (il ne pleurerait pas si une bombe sautait dans la manif pour tous, il veut supprimer toutes les fêtes chrétiennes, etc.).

Monsieur Bergé est un des actionnaires majeurs du Monde, et il ne manque jamais une occasion de menacer les journalistes de son groupe dès lors qu'ils pensent mal.

Très beau lapsus à 0 :19.

Pierre Bergé veut supprimer toutes les fêtes chrétiennes. C'est une position peut-être un peu excessive. Heureusement, la voix de sa sagesse arrive s'exprime par Dounia Bouzar, récemment nommée par le Premier ministre au célèbre Observatoire de la laïcité de l'excellent Bianco, laquelle propose que l'on n'en supprime que deux pour les remplacer par Kippour et le Ramadan. Madame Bouzar est décidément bien bonne.

Le Ramadan ? tout un mois de congés ? cela mérite réflexion...

Il n’y a en effet pas plus exquis que madame Bouzar, la grande « anthropologue du fait religieux » (ainsi désignée par elle-même et par une presse complaisante). On va donc, sous prétexte d’égalité, interdire aux chrétiens de célébrer leurs solennités et les contraindre à célébrer l’aïd. Fouillera-t-on un jour les poubelles des Français de souche pour vérifier qu’ils font bien le ramdam ?

Dans la revue Challenges, qui dévoile le projet de neutralisation des fêtes chrétiennes, madame Bouzar tient des propos lénitifs, avant de proposer son remède universel : on peut céder aux revendications musulmanes, à condition de les déguiser. Par exemple, on peut, dans les cantines, avertir les pieux musulmans que tel mets contient du porc, à condition de noyer cette mention au milieu d’autres, à visées médicales, par exemple la présence de gluten, pour ceux qui y sont allergiques. Il suffit donc que les mesures aient superficiellement l’apparence de la neutralité pour qu’on puisse instaurer sans arrière-pensée l’ordre islamique. Des paranoïaques phobiques et quérulents éviteront par ce moyen de se souiller au contact des chrétiens, et ce nouvel apartheid nous sera imposé comme il se doit au nom du vivre-ensemble.

Et lâche avec ça ! Valeurs actuelles nous apprend que, l’article de Challenges ayant suscité de vives réactions (et un sondage en ligne qui donne... 91% d’opposants à la déchristianisation des fêtes chrétiennes), madame Bouzar se répandait le lendemain en jérémiades sur RTL :

« Invitée le lendemain matin au micro d’Yves Calvi, Dounia Bouzar ne dément pas l’information, mais accuse le journaliste d’avoir présenté une « réflexion » comme une « proposition ». Elle lui reproche surtout d’avoir titré son papier « La France doit remplacer deux fêtes chrétiennes par Yom Kippour et l’Aïd », ce qui a pour effet de « diviser les Français » et de « faire le jeu des discours extrémistes » dans une France devenue très réactive sur toutes les questions qui ont très [sic] à son identité. »

[www.valeursactuelles.com]été/faut-il-supprimer-fêtes-chrétiennes-sans-dire-trop-fort20130927.html

Mais au fait, pourquoi ne pas travailler mettons un dimanche sur deux ?

On aurait alors deux weed-ends construits autour du vendredi et du samedi...

Le seul problème est que les juifs auraient le samedi dans tous les cas...

Donc le mieux serait qu'un week-end soit fixé au samedi et au dimanche (pour les juifs et les chrétiens), le suivant au jeudi et au vendredi (pour les athées et les musulmans), puis on recommence...

Peut-être qu'avec Bouzar & Associés, la France aura "parachevé" sa propre déchristianisation avant celle conduite de longue date et violemment en Orient. Ce jour-là, Renaud Camus aura bien mérité son Nobel (dans quelle catégorie? je ne sais) — celui que ne recevra jamais S. Huntington.

Ha, Huntington... Chorée l'absent, en quelque sorte...

J'en tremble.