Communiqué n° 1827 : Sur la dite “affaire Ménard”

Communiqué n° 1827, mercredi 5 mai 2015
Sur la dite “affaire Ménard”

Le parti de l‘In-nocence et le NON (au Changement de Peuple et de Civilisation) apportent leur soutien sans réserve à M. le maire de Béziers, Robert Ménard, livré à la meute des journalistes auxiliaires de justice et de police, et sans doute bientôt aux officines de l’ultra-collaboration remplaciste, pour avoir osé déclarer faire ce que tout le monde fait dès que l’exige la moindre responsabilité sérieuse, qu‘elle soit économique, pratique ou politique : à savoir compter les citoyens selon leurs appartenances diverses, dès lors que ces appartenances impliquent des besoins spécifiques, des revendications spécifiques, un poids spécifique dans le gouvernement et la gestion des affaires de la cité.

Le parti de l’In-nocence observe que cette affaire est exemplaire tant elle montre que pour le complexe médiatico-politique remplaciste la seule question qui vaille est celle du droit qu’a tel ou tel à dire ceci ou cela, jamais, au grand jamais, celle de la vérité des propos dénoncés. Notre patrie et notre civilisation périssent sous la submersion ethnique et le changement de civilisation qu’elle implique, et le seul souci des divers pouvoirs remplacistes, c’est que cette vérité capitale et sinistre ne soit pas énoncée. Ils ont fait des lois pour l’empêcher. Le courage de Robert Ménard confirme ce que toute le monde sait bien, que ces lois et les conventions internationales qui les étayent devront être changées pour qu’il reste à la France et à l’Europe la moindre chance de sauver leur indépendance, leur identité et leur dignité.

Boulevard Voltaire a mis en ligne une pétition de soutien.

Ici n’entrez pas, hypocrites, bigots,
Vieux matagots, marmiteux, boursouflés,
Torcols, badauds, plus que n’étaient les Goths,
Ou les Ostrogoths, précurseurs des magots,
Porteurs de haires, cagots, cafards empantouflés.
Gueux emmitouflés, frappards écorniflés,
Bafoués, enflés, qui allumez les fureurs ;
Filez ailleurs vendre vos erreurs.
Rabelais, Gargantua.
 

Le chiffre avancé, 64%, ne succite aucun commentaire du genre:
-c'est vrai
-c'est faux
-c'est bien puisque l'immigration est une chance et que nous nous enrichissons de nos différences
-c'est affolant, on n'est plus chez nous

Non, on ne parle que de la méthode et de la diffusion. Moi, je suis sidéré par ce chiffre que personne ne conteste d'ailleurs.

Oui : au bal des faux-culs les bigots niaiseux le disputent aux tartufes cyniques.

Non, on ne parle que de la méthode et de la diffusion. Moi, je suis sidéré par ce chiffre que personne ne conteste d'ailleurs.

Same here. Je suis d'ailleurs tellement sidéré que si, à mon tour, je devais me montrer désobligeant avec M. Ménard ce serait pour le secouer en lui hurlant dans les oreilles, Mais c'est vrai? C'est VRAI?!

Le reste, la méthode, les cours de républicanisme (Renan, sa vie, son oeuvre), le bien-fondé d'une loi sur..., je n'en ai rien à cirer. Seule la vérité à laquelle renvoie ce chiffre obtenu comme il pouvait l'être, m'intéresse. Ce chiffre dit toute la vérité, rien que la vérité qu'on nous cache.

Montpellier, réunion de parents d'élèves.
Ces parents demandent l’organisation d’une table-ronde avec les autorités locales et avec les autorités de l’Etat afin d’aborder la question de la mixité sociale dans leur secteur scolaire.

Les images de la récente et très mal nommée marche blanche de Trappes (où les lotissements de maisons individuelles n'ont rien à envier à certains coins de Neuilly; même les résidents le reconnaissent) étaient similaires. (Je n'ai d'ailleurs toujours pas compris pourquoi les personnes interviewées étaient toutes floutées.)

J'adore le mot « quia », refus imbécile de se rendre à l'évidence.
 

L'oligarchie gouvernante de la France veut un peuple à l'image de ses moeurs politiques "africaines" -- corruption, prévarication et incompétence à tous les étages.

La culture politique de ces populations d'importation est très tolérante envers ces moeurs sur leur continent d'origine d'où le choix remplaciste de cette oligarchie. Tout le débat racialiste et même ethnique masque ce fait politique : le rapprochement historique entre un mode de gouvernance despotique et corrompu et le corps social le mieux à même de le tolérer. L'africanisation du peuple français est indispensable à la pérennisation des moeurs politiques africanisées à tous les échelons institutionnels de ce pays.

La proportion des dirigeants politiques qui alternent au pouvoir, qu'ils soient maires, secrétaires d'Etat, ministres, députés ou qu'ils l'aient été, ayant des condamnations inscrites à leur casier judiciaire pour détournements de fonds publics, emplois fictifs, abus de biens sociaux, etc. ou qui généralement ont une conception clientéliste et népotiste de l'exercice du pouvoir est alarmante (plus de 20%). Il faut à ce personnel politique voyou un peuple de culture tolérante envers leur penchant. Le débat racialiste et communautariste et les prises de position ethnicistes des uns et des autres, qui font rage dans l'espace public et internétique en France, ne font que retarder la prise de conscience de la configuration politique et civilisationnelle qui se noue ainsi au bénéfice de cette oligarchie : l'installation en France d'un peuple-client, tolérant de par son origine envers les moeurs politiques voyoucratiques de cette oligarchie et redevable envers elle de par l'accueil généreux qu'elle lui réserve.

L'oligarchie gouvernante de la France veut un peuple à l'image de ses moeurs politiques "africaines" – corruption, prévarication et incompétence à tous les étages.

Je dirais plutôt l'oligarchie gouvernante Parisienne.
(sauf si Maxime Gremetz en fait partie)

Une pensée particulière pour Mme Michèle Alliot-Marie, ses 36 ministères successifs, son papa, 94 ans à l'époque, sa maman, 92 ans à l'époque, grands investisseurs en Tunisie pré-islamique; et elle en bonne boutiquière, pourvoyeuse auprès de Ben Ali du savoir-faire de nos forces de sécurité reconnu dans le monde entier.

Alors, se pose-ici la notion de 'voisinage':
Un affairiste ou une affairiste parisien investit de préférence dans son voisinage. C'est comme ça. Au XIXe siècle, les affairistes parisiens investissaient sur les bords de Marne, car, à cheval, il ne leur fallait que deux heures pour retrouver leur argent. Un siècle plus tard, l'affairiste parisien s'est mis à investir dans toute la France, en automobile. La Province devient le voisinage accessible de Paris. Et maintenant qu'il y a l'avion, de quoi peut bien se composer le voisinage de Paris, si ce n'est de la Tunisie et du Maroc.
Gross Problem, propre au XXIe siècle: le voisinage de Paris déborde la frontière française.
Alors comment faire pour investir en Tunisie sans rencontrer de résistance ?
La réponse est simple, supprimer les frontières. A commencer par celle de la couleur de peau.

à propos d'avion et d'affairisme non parisien, un magazine télévisé sur France 2 intitulé "Envoyé spécial" exposait avant-hier soir cet autre scandale des potentats de régions en France métropolitaine : la France possède le record d'Europe du nombre d'aéroports régionaux qui dans leur écrasante majorité sont d'exploitation déficitaire. Les collectivités territoriales de ces régions subventionnent donc ces infrastructures et payent, oui, payent directement certaines compagnies (comme RyanAir) pour les utiliser. L'argent public arrose ainsi le secteur privé lequel arrose en retour les oligarchies régnantes en région ou s'organisent des petits arrangements clientélistes. La confusion des intérêts publics et privés est totale, et s'opère aux frais du contribuable.

Ce type de fonctionnement, dans une France communautarisée où les intérêts particularistes des communautés ethno-religieuses occupe le devant de la scène et requiert la priorité, a de beaux jours devant lui. Aucune classe ethno-religieuse de citoyen français ne s'intéressera à ces anomalies car pareil intérêt transcenderait ses intérêts particularistes pour toucher le bien public direct et générique, celui de la communauté nationale.

C'est ainsi que des populations venues d'Afrique, et de plus en plus d'Afrique sud-saharienne, qui n'ont rien de méchant ou de nocent en tant que telles, contribuent indirectement, par leur culture politique, à affranchir l'oligarchie au pouvoir de toute vigilance citoyenne propre à la tradition politique démocratique occidentale.

Le débat racialiste qui recouvre et masque cette évolution est un écran de fumée, consciencieusement entretenu par la même oligarchie, ses suppôts mais aussi ceux qui la contestent en mettant en avant des arguments anti-antiraciste ou "remigratoires".