Communiqué n° 1870 : Sur la manifestation du 24 septembre contre la déferlante migratoire

Communiqué n° 1870, lundi 21 septembre 2015
Sur la manifestation du 24 septembre contre la déferlante migratoire

Le NON (au Changement de Peuple & de Civilisation) et le parti de l’In-nocence appellent instamment leurs membres et sympathisants, et toutes les personnes qui sont sensibles aux thèmes qu’ils soulèvent, à participer au rassemblement qui doit se tenir le jeudi 24 septembre 2015 à 19 heures 30 près de l’ambassade d’Allemagne, 24 rue Marbeau, 75116 Paris (métro porte Maillot ou porte Dauphine).

Ce rassemblement se tient à l’initiative du Siel (Souveraineté, Indépendance et Libertés) et de son président M. Karim Ouchikh. De nombreux mouvements hostiles au Grand Remplacement, à la colonisation et à l’islamisation de l'Europe s’y sont ralliés avec enthousiasme. Plusieurs personnalités y prendront la parole, parmi lesquelles le président commun du NON et du parti de l’In-nocence, Renaud Camus.

Ouchikh dans Minute :
[www.minute-hebdo.fr]

Un millier de personnes environ étaient rassemblées à côté du consulat d'Allemagne, les manifestants n'ayant pu se poster directement devant du fait d'une forte mobilisation des compagnies de CRS, qui bouclaient les rues.
Le public était composé de gens plutôt très politisés (SIEL, Action française, Riposte laïque, Synthèse nationale, Parti de la France) et familiers des manifestations de ce genre. Cela peut sembler un peu décevant au regard des enjeux, mais ce n'est qu'un début. L'ambiance était assez combative et la qualité des intervenants a contribué à réchauffer une atmosphère rendue sinistre par la nuit et l'averse qui tombaient. Bon discours de Karim Ouchikh, Pierre Cassen et de Jean-Yves Le Gallou, chacun dans leur genre et complémentaires.
L' accueil réservé à Camus a été excellent. Le discours centré sur la question du Grand Remplacement était fort et puissant.
J'ai été également impressionné par les discours en allemand de la jeune femme de PEGIDA. Discours très radical et dont la radicalité fut un peu édulcorée par la traductrice du SIEL, laquelle semblait un peu effrayée par la violence du propos (Merkel fut qualifiée de "putain de Babylone", mais seuls les germanistes l'entendirent) et du geste. Se saisissant du drapeau de l'U"E", elle le brûla sous les yeux quelque peu interloqués du président de l'In-nocence. Une belle soirée. Pas d'antifas à l'horizon ("les antifas en Corée du Nord !" clama l'Allemande). Pas de médias, hormis TV libertés de Martial Bild. Comme on disait en 68 : ce n'est qu'un début, continuons le combat !