Tant qu'il s'agit de proverbes... pourquoi pas ? Evidemment, dans la période actuelle, cela peut-être ressenti comme un symptôme supplémentaire de la pénétration allogène. Mais quand il y avait zéro Africain en France, pourquoi s'interdire alors de citer un proverbe bantou ? On ne s'en privait pas, on le faisait joyeusement, sans arrière-pensée. Ne nous privons pas de cette possibilité aujourd'hui, parce qu'ils sont là. Ou alors il faudrait reprocher rétrospectivement au cher Vialatte de terminer toutes ses chroniques par : "C'est ainsi qu'Allah est grand", comme s'il était inconscient ou au contraire profond prophète. Il n'était ni l'un ni l'autre... simplement fantaisiste... sans conséquence... et un peu assommant, reconnaissons-le avec ce finale rituel.