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Communiqué n° 1879 : Sur une coïncidence implacable

Communiqué n° 1879, lundi 26 octobre 2015
Sur une coïncidence implacable

Le parti de l’In-nocence et le NON (au Changement de Peuple et de Civilisation) remarquent la coïncidence implacable qui sévit entre le rouleau compresseur de l’invasion, s’avançant par interminables cohortes le long des routes d’Europe vers les centres de pouvoir, d’une part, et, d’autre part, simultanément, le renforcement de l’appareil politique, judiciaire, policier, destiné à assurer sans résistance l’étalement régulier de la submersion démographique sur tout le territoire, notamment celui de notre propre pays. Les remplaçants fournissent les troupes, les remplacistes offrent aussitôt les moyens, de plus en plus rigoureux pour les remplacés et féroces pour les antiremplacistes, les résistants. Le pouvoir désire le changement de peuple : il est résolu à l’obtenir par tous les moyens et à châtier de plus en plus sévèrement ceux qui feraient mine de s’y opposer. Il n’y a pas de conspiration, puisque tout est en pleine lumière. Au moins les indigènes ne pourront-ils pas dire qu’ils n’ont pas été prévenus. Leur civilisation ne disparaîtra pas sans leur consentement. Le donnent-ils ?
Utilisateur anonyme
28 octobre 2015, 12:24   Re : Temps mort.
Cette Nouvelle Occupation en cours, c'est pour nous le temps de la guerre froide, le temps de l'après guerre ou plutôt d'un nouvel entre-deux-guerres, un temps intercalaire. Un temps mort, un temps réfractaire, comme cette période durant laquelle les animaux sexués et mâles, après avoir émis leur semence, cessent d'être sexuellement réactifs. Ainsi se perdent la mesure du temps et les hiérarchies et valeurs fondées sur elle.

Les Français sont neutralisés culturellement, au sens fort du terme. Et il n'est plus non plus de vie de civilisation - de cette vie, de cette violence première, ce corps à corps de forces antagonistes - dont la présence, le refoulement, l'irruption en retour, les élans sous-jacents animent la société et fécondent les disciplines garantes de cette animation : la pensée politique / les lettres / les arts.
Invasion? Mais non, "ils" ne sont pas épouvantablement nombreux: ce sont nos capacités d'accueil à bras ouverts qui sont insuffisantes. Nous ne sommes pas à la hauteur, rien à faire, c'est notre condition.
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