Le site du parti de l'In-nocence

Merkel et ses chances pour l'Allemagne

Envoyé par Pierre Jean Comolli 
Pour l'Allemagne, les immigrés sont une aubaine. Pour les Allemandes, un peu moins:

Coordinated Attacks on Women in Cologne Were Unprecedented, Germany Says

Il s'agirait plus précisément de hordes de Nord-Africains. Mais qu'on se rassure:
- Pour le préfet local, je traduis, "l'origine ethnique des auteurs présumés est hors de propos".
- Et sur Facebook, on peut lire plusieurs fois qu' "ils" ne font dans les pays d'Occidentaux que ce que "nous" leur avons fait dans leurs pays d'origine.
On voit d'ici les premiers témoignages de victimes: "Les pauvres, il faut les comprendre aussi, tous ces dominés..."; "S'ils pouvaient s'exprimer autrement, qu'est-ce que vous croyez, ils le feraient. Je pardonne mon violeur, c'est pas bien grave au fond..."; "Ahmed n'aura pas ma haine, je ne lui en veux même pas à ce jeune sans repère...", etc.
Les petits-bobos teuffeurs fin de race en plein syndrome de Stockholm : je suis désolé de le dire mais leur cas me paraît désespéré. Avec des électeurs comme ça la mère Kel n'a pas beaucoup de souci à se faire.

Mais il existe une autre Allemagne, celle de Pegida (Patriotische Europäer gegen die Islamisierung des Abendlandes). Ces Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident font preuve de ténacité. Ils sont l'espoir de l'Allemagne et aussi dans une certaine mesure de l'Occident.
En réalité il y a eu, tout de même, 90 plaintes enregistrées par la police de Cologne après cette nuit que la police avait, le lendemain, qualifiée de “calme”...
Utilisateur anonyme
05 janvier 2016, 21:40   Re : Merkel et ses chances pour l'Allemagne
Agressions sexuelles à Cologne : la maire appelle les femmes à adapter leurs comportements :

5 janv. 2016, 21:07


Après les terribles événements survenus la nuit de la Saint Sylvestre à proximité de la gare de Cologne, la maire de la ville, Henriette Reker, a demandé aux femmes d’adopter des règles de comportement pour éviter les agressions.

L’histoire est à peine croyable et pourtant elle est vraie. Dans la nuit du 31 décembre, des dizaines de femmes ont été sexuellement agressées par des individus qui sembleraient être des migrants. Pour empêcher de telles horreurs de se reproduire, l’édile de la ville n’a rien trouvé de mieux que d’ériger des règles de conduite pour ses citoyennes féminines.

Conférence de presse surréaliste

Alors qu’elle s’exprimait devant les journalistes, Henriette Reker a lourdement insisté sur les mesures de prévention. Elle a également fait référence au comportement des jeunes femmes qui doit être «mieux adapté». Elle souhaite même l’élaboration d’un «code de conduite».

Sa technique infaillible ? Que les femmes se tiennent à distance de bras d’un potentiel agresseur...

Pire, l’édile s’est indignée du comportement des jeunes victimes qui n’auraient pas appelé la police «par peur de se faire voler leurs smartphones». Indigent.


Henriette Reker n’a fait aucune allusion à l’origine des auteurs que de nombreux témoignages, vidéos et déclarations de police identifient comme étant des migrants. En 2015, l’Allemagne a accueilli plus d’un million de réfugiés, pour la plupart originaires de Syrie.

A la suite des événements, le chef de la police de Cologne déclarait : «La seule chose que sache les policiers, c’est qu’il s’agit de jeunes hommes âgés de 18 à 35 ans, venant de l'Afrique du Maghreb.» Ce qui concorde avec les descriptions faites par les victimes.

Un policier a informé le site web Express que huit suspects ont été détenus : «Ils étaient tous demandeurs d'asile et portaient leurs titres de séjour».

Pour l'instant, le gouvernement se refuse à toute déclaration concernant l'implication de migrants dans les événements.

La maire se refuse d'ailleurs tout amalgame. Pour elle, rien n’indique que les auteurs soient des migrants séjournant à Cologne.


Entre dérision et colère

Les réactions aux propos de la maire de Cologne ne se sont pas fait attendre, qu’elles viennent des politiques ou des internautes. Oliver Luksic, membre du FDP, s’est fendu d’un tweet teinté d’ironie : «Mot de l’année : code de conduite.»


RT.com
Utilisateur anonyme
05 janvier 2016, 21:49   Re : Merkel et ses chances pour l'Allemagne
Mais bon, c'est désormais la routine...


Pour preuve ce fil du 24 sept. 2015.


Migrants violeurs dans l'Allemagne-pour-tous ou du viol considéré comme une arme de migrations massives.

Envoyé par Pascal Mavrakis


24 septembre 2015, 12:18 Migrants violeurs dans l'Allemagne-pour-tous ou du viol considéré comme une arme de migrations massives.

Après la Suède, épidémie de viols en Allemagne.

Un nombre croissant de femmes et de jeunes filles hébergées dans des camps de réfugiés en Allemagne sont violées, agressées sexuellement et même forcée à se prostituer par les demandeurs d’asile de sexe masculin, selon les organisations de travail social allemands ayant une connaissance directe de la situation.

Le 28 Août, un demandeur d’asile érythréen de 22 ans a été condamné à un an et huit mois de prison pour avoir tenté de violer une femme irako-kurde de 30 ans dans un refuge de réfugiés dans la ville bavaroise de Höchstädt.
Le 26 Août, un demandeur d’asile de 34 ans a tenté de violer une femme de 34 ans dans la buanderie d’un centre de réfugiés à Stralsund.
Le 6 Août, la police a révélé qu’une jeune musulmane de 13 ans a été violée par un autre demandeur d’asile dans un centre de réfugiés à Detmold.
Au cours du week-end du 12-14 juin, une jeune fille de 15 ans logée dans un foyer de réfugiés en Habenhausen a été violée à plusieurs reprises par deux autres demandeurs d’asile.
Le 11 Septembre, une fille de 16 ans a été violée par un « homme au teint basané » à proximité d’un abri de réfugiés dans la ville bavaroise de Mering.
Le 13 Août, la police a arrêté deux demandeurs d’asile irakiens, âgés de 23 et 19, pour le viol d’un femme allemande de 18 ans derrière une école à Hamm.
Le 26 Juillet, un garçon de 14 ans a été agressée sexuellement à l’intérieur des toilettes d’un train régional à Heilbronn, une ville du sud-ouest en Allemagne. La police recherche un homme « à la peau foncée » entre 30 et 40 à l’«apparence arabe».
Le 26 Juillet, un demandeur d’asile tunisien de 21 ans a violé une femme de 20 ans dans le quartier Dornwaldsiedlung de Karlsruhe.
Le 9 Juin, deux demandeurs d’asile somaliens, âgés de 20 et 18 ans, ont été condamnés à sept ans et demi de prison pour le viol d’une femme allemande de 21 ans à Bad Kreuznach.
Le 5 Juin, un demandeur d’asile somalien de 30 ans appelé « Ali S » a été condamné à quatre ans et neuf mois de prison pour avoir tenté de violer une femme de 20 ans à Munich. Ali avait déjà purgé une peine de sept ans pour viol, et était sorti de prison cinq mois seulement avant d’attaquer à nouveau.
Le 22 mai, un marocain de 30 ans a été condamné à quatre ans et neuf mois de prison pour avoir tenté de violer une femme de 55 ans à Dresde.
Le 20 mai, un demandeur d’asile sénégalais de 25 ans a été arrêté après avoir tenté de violer une femme allemande de 21 ans à la Stachus, une grande place dans le centre de Munich.
Le 16 Avril, un demandeur d’asile irakien de 21 ans a été condamné à trois ans et dix mois de prison pour le viol d’une jeune fille de 17 ans au festival dans la ville bavaroise de Straubing en Août 2014.
Le 7 Avril, un demandeur d’asile de 29 ans a été arrêté pour la tentative de viol d’une jeune fille de 14 ans dans la ville d’Alzenau.
Le 17 Mars, deux demandeurs d’asile afghans âgés de 19 et 20 ont été condamnés à cinq ans de prison pour le viol «particulièrement odieux» d’une femme allemande de 21 ans à Kirchheim, une ville près de Stuttgart, le 17 Août 2014.
Le 11 Février, un demandeur d’asile érythréen de 28 ans a été condamné à quatre ans de prison pour le viol d’une femme allemande de 25 ans à Stralsund, le long de la mer Baltique, en Octobre ici 2014.
Le 1er Février, un demandeur d’asile somalien de 27 ans a été arrêté après avoir tenté de violer des femmes dans la ville bavaroise de Reisbach.
Le 16 Janvier, un immigré marocain de 24 ans a violé une femme de 29 ans à Dresde.
Le 23 Août, un homme « à la peau foncée » a tenté de violer une femme de 35 ans à Dortmund.
Le 17 Août, trois hommes «du sud» ont tenté de violer une femme de 42 ans à Ansbach.
Le 16 Août, un mâle « du sud » a violé une femme à Hanau.
Le 12 Août, un mâle « du sud » a tenté de violer une femme de 17 ans à Hanovre.
Le 12 Août, un mâle « du sud » lui-même exposé à une femme de 31 ans à Kassel. La police a déclaré un incident similaire a eu lieu dans la même région le 11 Août.
Le 10 Août, cinq hommes «d’origine turque» ont tenté de violer une jeune fille à Mönchengladbach.
Le 10 Août, un mâle « du sud » a violé une jeune fille de 15 ans à Rinteln.
Le 8 Août, un mâle « du sud » a tenté de violer une femme de 20 ans à Siegen.
Le 3 Août, un « Africain du Nord » a violé une fillette de sept ans, en plein jour, dans un parc à Chemnitz
Le 1er Août, un mâle « du sud » tenté de violer une femme de 27 ans dans le centre de Stuttgart.

Pendant ce temps, on demande aux parents de faire attention à leurs filles..

La police de la ville bavaroise de Mering, où une jeune fille de 16 ans a été violée le 11 septembre, a émis un avertissement aux parents, les enjoignant de ne pas laisser leurs enfants sortir dehors non accompagnés. Elle a également conseillé aux femmes de ne pas marcher de ou vers la gare seules en raison de sa proximité avec un refuge de réfugiés.
Dans la ville bavaroise de Pöcking, les responsables de l’établissement Wilhelm-Dies ont enjoint les parents de ne pas laisser leurs filles porter des vêtements révélateurs afin d’éviter les «malentendus» avec les 200 réfugiés musulmans logés dans des hébergements d’urgence dans un bâtiment à côté de l’école.
Ça rappelle les viols de masse commis en Allemagne par les soldats soviétiques et en Italie par les bataillons de l'Armée française d'Afrique.
C'est la prérogative de l'Occupant. Les Occupées quant à elles sont invitées par les autorités à se montrer aimables envers lui tout en gardant les jambes bien serrées, et à ne pas venir se plaindre ensuite si, car elles auront été averties, les autorités de collaboration n'ayant aucunement failli à leur tâche de mise en garde sur ce point. Circulez il n'y a rien à voir. Et toute stigmatisation à l'encontre de l'Occupant sera sévèrement punie.

Il faut s'attendre, un jour ou l'autre, à ce que les gouvernements des pays européens qui livrent ainsi leur pays publient des notices illustrées, sur le modèle de celle présentant des instructions sur le comportement à adopter en cas d'attaque à la Kalachnikov, qui instruiront les Européennes de la manière dont il convient de se vêtir, d'aller accompagnée dans les lieux publics, de ne pas soutenir un regard, etc. dans les villes et villages où les migrants seront présents en nombre. On sent que c'est dans l'air, que ça vient. Le besoin est là, chez les ingénieurs politiques du vivre-ensemble, d'instruire les Européennes à baisser les yeux et à se couvrir, les jambes et les épaules pour commencer, la chevelure et le front ensuite. Tout faire pour éviter de provoquer l'Occupant, pour lui éviter de subir l'effronterie qui est la nôtre d'exister dans l'ignorance de ses exigences.
On est en droit d'attendre des éclaircissements sur cette affaire d'attaques sexuelles de grande ampleur coordonnées.
Dans la ''maison de le guerre'', les femmes non musulmanes, voilées ou pas, provocantes ou non, sont considérées comme butin de droit du musulman.
Utilisateur anonyme
06 janvier 2016, 10:59   Re : Merkel et ses chances pour l'Allemagne
Que les femmes se tiennent à distance de bras d’un potentiel agresseur...

A encadrer.

Mais à quoi repère-t-on un "potentiel agresseur" ? Comment mesure-t-on la dangerosité de tel ou tel ? Est-ce inscrit sur les visages (de migrants) ? Quelle est la bonne longueur de bras ?...
Utilisateur anonyme
06 janvier 2016, 13:29   Re : Merkel et ses chances pour l'Allemagne
Tout ceci était tellement prévisible.
On mesure le degré d'ahurissement et de sidération d'une large majorité d'Allemands (et de Français) à la non-réaction générale, aux commentaires stratosphériques des responsables politiques ou administratifs et aux contorsions médiatiques lamentables.

Quant aux recommandations officielles et autres "codes de conduite", ils sont l'image du pire qui vient, c'est-à-dire de la soumission institutionnalisée et de la victoire annoncée des moeurs islamiques sur les nôtres : pudeur imposée, comportement des femmes culpabilisé, neutralisation puis barbarisation des espaces publics, nécessité d'agir en meute, tout est déjà là.

Le plus rageant est que tout cela était évitable, prévisible, inutile...
En Scandinavie les nouveaux arrivants doivent suivre un cours d'éducation civique où il leur est expliqué que pour avoir des relations sexuelles avec une autochtone celle-ci doit être consentante.
Si les Allemands avaient adopté cette démarche ce drame ne serait pas arrivé.
Utilisateur anonyme
06 janvier 2016, 15:16   Re : Merkel et ses chances pour l'Allemagne
Citation
Serge Diot
En Scandinavie les nouveaux arrivants doivent suivre un cours d'éducation civique où il leur est expliqué que pour avoir des relations sexuelles avec une autochtone celle-ci doit être consentante.
Si les Allemands avaient adopté cette démarche ce drame ne serait pas arrivé.

Euh....vous êtes vraiment sérieux avec votre histoire de "consentement" ?
Utilisateur anonyme
06 janvier 2016, 15:33   Re : Merkel et ses chances pour l'Allemagne
L’Allemagne a mis du temps pour découvrir les agressions sexuelles massives de Cologne lors de la Saint-Sylvestre, et puis voilà que ce matin on nous dit que la même chose, des attaques contre des femmes, s'est produite à Hambourg (je viens d'apprendre qu'à Stuttgart également). Des groupes de 15 hommes clairement décrits comme étant de type nord-africain, déjà repérés dit-on, ont encerclé des femmes dans le centre et aux alentours du quartier chaud de cette ville bonnarde, les ont détroussées et copieusement tripotées. Les policiers visiblement ahuris parlent de faits jamais vu jusque-là.

De toutes les façons ce sera de la faute de ces garces d’Allemandes aguicheuses qui auront osé défier la pudeur de ces jeunes mâles migrateurs...
Eh bien voilà, c'est fait. Ces dames ont manifesté à Cologne au cri de « Contre les sexisme, contre le racisme » :



Le mot de Claudel : ''La tolérance, il y a des maisons pour ça'', devient d'une actualité brûlante dans son sens le plus littéral. On est en train, au nom de la Tolérance, de transformer littéralement, en effet, l'Europe en maison de passe, en un gigantesque lupanar où les populations d'origine sont contraintes de faire les yeux doux, de dire ''mon chéri'' aux clients qu'on leur impose, même à ceux qui les débectent à vomir, de leur ouvrir les bras et, maintenant, les cuisses. Pendant ce temps les décideurs empochent les bénéfices du boxon qu'ils blanchissent dans le droit-de-l'hommisme comme les mafieux blanchissaient l'argent sale dans les commerces de bondieuseries.
Message ci-dessus, de Cassandre, direct dans l'anthologie, nouvelle édition de De l'In-nocence !
Le Réveillon du Viol de la Femme blanche

Niaiserie de la droite, imbécillité de la gauche : la première veut donner aux immigrés des cours pour leur apprendre à respecter les femmes européennes (ça me rappelle le titre d'un film de Ferreri des années soixante-dix : « Touche pas à la femme blanche ! »), la seconde brame qu'il s'agit d'une idée raciste. Un peu comme la bonne femme qui est maire de Cologne et conseille aux femmes allemandes de rester à distance des violeurs potentiels (la longueur d'un bras a-t-elle précisé) : elle les reconnaît comment, les voleurs potentiels, la femme allemande, sinon au faciès, hein ?

Les immigrés africains et nord-africains savent très bien ce que nous sommes et connaissent nos règles de conduite. Ce ne sont pas de petits enfants qui ont besoin de pédagogie, ce sont des adultes conquérants : CONQUÉRANTS. Et les conquérants, on les combat, on les vainc, on succombe ou on se soumet ; croire que l'on peut leur donner des cours de morale est une sottise mortelle.

Et pendant qu'on viole leurs filles et leurs femmes ils discutent pour savoir si dispenser des cours de morale aux violeurs potentiels serait ou pas une idée raciste :
Theo Francken va introduire des cours de respect des femmespour les migrants.
Une belle idée de roman pour Eddy Bellegueule, alias Edouard Louis, (le censeur de Marcel Gauchet), qui publie ces jours-ci une Histoire de la violence au Seuil dans laquelle il raconte son viol par un Algérien et ses tourments d'avoir porté plainte contre un homme issu de l'immense lignée des damnés de la colonisation. Télérama est en transes :
Son violeur et meurtrier Reda n'est-il pas le dernier maillon d'une longue chaîne de terreurs infligées par l'Histoire et la société à son peuple kabyle, à sa classe de migrants ?
Le même Eddy qui écrit dans son livre, à propos de Réda le violeur-victime: « Comment est-ce qu’on peut croire que ce genre de procédure fait du bien ? Je ne voulais pas porter plainte, à cause de ma détestation de la répression, parce que je pensais que Réda ne méritait pas d’aller en prison. »

EB qui assénait au moment de la parution de son premier roman cette platitude aux conséquences effroyables: « La sociologie m’a permis de réaliser que la violence est produite par des structures sociales ».
Le viol pourtant, est hors toute société, puisqu'il est partout le même. Il est l'acte de la brute qui tourne le dos à tout ce qui fait la matière de la sociologie. Il ne saurait donc, nulle part, avoir quelque rapport que ce soit avec l'état social. Comme l'inceste, le meurtre, la folie, il existe dans toutes les couches de la société et sous toutes les latitudes, et de tous temps. Il est le compagnon de la baffe et du gourdin, qui ne connaissent rien des règles et des ordres institués par l'histoire des sociétés. Il est immuable. Il est universel, comme peuvent l'être la conceptuelle égalité des humains et l'Oumma.
Le violeur-victime

C'est curieux, et un rien dérangeant, la manière dont l'actualité du jour, celle de ces viols en Allemagne dont ont pu être victimes de braves acceuillantes de migrants, qui manifestaient leur chaleur humaine dans les gares d'arrivée il y a trois mois à peine en souhaitant la bienvenue à ces hommes, me rappelle ma jeunesse montpellieraine. Montpellier était la capitale estudiantine, dans la première moitié des années 70, de tout ce qui avait raté le coche de mai 68. Montpellier vivait donc une espèce de Mai 68 permanent, avec quatre ans de retard, comme le permettait encore cet âge précoce des temps post-modernes où les émeutes parisiennes connaissaient leurs répecussions provinciales (Larzac, etc.) presque cinq ans plus tard.

Dans ces temps reculés, les "sans-papiers" existaient déjà, qui se plaisaient à occuper les églises, souvent protestantes (dans les contreforts des Cévennes, c'était un peu normal) se mettant en fausses grèves de la faim pour de symboliques "cartes de séjour". Il y avait des meneurs locaux, presque tous trotskystes, qui firent carrière ensuite dans l'appareil PS de George Frêche. Certains maoïstes, qui se débandèrent bientôt, rejetés par le PS. Et il y avait nos petites gauchistes merveilleusement intentionnées, "tigresses de la charité" (Koestler), d'une vivacité et d'un dévouement démesurés pour leurs sans-papiers arabes.

L'une d'elle était professeur d'espagnol à l'université Paul Valéry. Toutes ces pétulantes pétroleuses, ardentes, le mors aux dents 24 heures sur 24, de tous les combats pour leurs vénérés héros d'outre-méditerranée auraient tout donné, enfin presque. Ce presque, il arriva à la professeur d'espagnol que l'un le prit, goulument, d'autorité. Le viol fut "assumé" par l'un et l'autre des protagonistes, l'autre qui en profita pour crécher ad vitam aeternam chez la bonne pomme qui s'était sacrifiée à quelque cause, on ne saura jamais laquelle pour de bon. Je revois le bonhomme sur le lit de la pauvre femme (à l'époque, la chambre à coucher des uns et des autres servait de salon à tous), tenant la place, conquérant, ennuyé de n'avoir personne d'autre que ça sous la main à se violer un bon coup et repartir d'un bon pied, lui-même, dans l'affaire, un peu piégé. Et la pauvre bonne petite pomme, défaite, acquise, flouée avant l'âge. Niquée bien profond, politiquement, sexuellement, existentiellement et à tout jamais.
Utilisateur anonyme
08 janvier 2016, 08:17   Re : Merkel et ses chances pour l'Allemagne
Theo Francken va introduire des cours de respect des femmespour les migrants.
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Cours de «respect des femmes» : du «racisme déguisé».

"Le Soir", jeudi 7 janvier 2016.

La ministre PS des Droits des femmes recale le projet du secrétaire d’Etat Theo Francken.



La ministre des Droits des femmes et de l’Egalité des chances en Fédération Wallonie-Bruxelles, Isabelle Simonis, a dénoncé jeudi le projet du secrétaire d’Etat fédéral en charge de l’Asile et de la Migration, Theo Francken, d’instaurer un cours de «respect des femmes» à destination des migrants. Aux yeux de la ministres socialiste, le secrétaire d’Etat N-VA n’avance aucun argument de fond légitimant pareille décision. «Il se base sur un fait divers survenu en Allemagne pour lequel nous ne disposons d’aucun élément probant: l’identité des auteurs des agressions de Cologne n’est pas encore connue et les seuls éléments dont semblent disposer les enquêteurs à ce stade sont quelques signalements de personnes d’origine maghrébine», selon la ministre citée dans un communiqué. «Proposer dès lors une telle mesure aujourd’hui, en Belgique, c’est faire un amalgame entre indications formulées dans une enquête allemande et personnes réfugiées. C’est un timing inapproprié qui camoufle un racisme à peine déguisé».

Celle-ci rappelle que "les discriminations graves envers les femmes sont commises par des individus ou groupes «de toutes les origines sociales, ethniques ou nationales». «On ne peut, au nom des droits des femmes, créer de nouvelles discriminations», s’insurge la ministre.

08 janvier 2016, 08:28   Replay
"Une autre nuit, cinq truands en faction devant la pissotière. Les solitaires, tête baissée, passent en se faisant insulter, un Arabe se pointe : même insultes, il les traite de merdeux. Je gueule avec lui : « Sales petites ordures racistes, Arabes ou pédés, vous voulez nous coincer pour jouir de votre haine. » L’Arabe sort un couteau quand l’un nous fonce dessus. Ils se tirent.

C’est vrai que les homosexuels français, à leur manière, ont une certaine forme de racisme : comment pourriez-vous imaginer qu’un jeune blanc de quinze ans, même pédé, échappe à l’atmosphère raciste ? Mais nous sommes sûrs que le racisme des militants, qui ne vivent leur rapport avec les Arabes qu’au travers de grandes phrases, est plus aliénant que le nôtre.

D’abord, tout le monde vit sur l’image du vieux pédé européen qui se tape des petits arabes. Outre que ça n’est jamais si simple, signalons qu’en France se sont nos amis arabes qui nous baisent et jamais l’inverse. Comment ne pas y voir une revanche consentie par nous sur l’Occident colonisateur ? Croyez-vous qu’on puisse avoir les mêmes rapports que tout le monde ou que le Français moyen avec les arabes quand on commet avec eux l’acte que la morale bourgeoise rend le plus honteux ?

Oui, nous nous sentons une solidarité d’opprimés très forte avec les Arabes."

In FHAR - Rapport contre la normalité - 1971.
Des policiers imputent les agressions de Cologne à des réfugiés « tout juste arrivés en Allemagne »

Non, c'est pas vrai!

Bientôt, Mein Kampf se vendra en Allemagne autant que le Coran, et si, dans la foulée de ce succès de librairie pas du tout prévisible, des juifs allemands sont pris pour cible par des fous d'Allah, on nous priera de nouveau de ne pas faire, bêtement, de façon irresponsable et raciste, le lien.
Les commentaires des lecteurs du Monde : haro sur Mme Merkel et sa politique inconsciente et irresponsable après que 120 Allemandes ont été victimes "d'agressions sexuelles" (des attouchements, des pelotages violents).

En France : 130 fêtards parisiens, hommes et femmes, se font descendre à la kalachnikov dans des lieux publics par des djihadistes entrés en France avec les flux de faux réfugiés de l'automne dernier. Réactions des mêmes bobos lecteurs du monde : soutien total à François Hollande et à son action. Et la cote de popularité de celui que l'on affublait avant ces événements de mille sobriquets (Normal 1er, etc.) de flamber, et ses chances d'être réélu en 2017 de devenir réelles.

Comme dit le populaire : cherchez l'erreur.

Dans une certaine Europe, les tueries d'innocents regonflent l'assise populaire du gouvernement qui ne les a pas empêchées, qui par son action les a rendues possibles ; tandis que la simple violence ciblant les femmes en menace un autre d'une crise politique grave et de la destitution.

Le paradoxe français ne se manifeste pas seulement en diététique, il sévit aussi gravement en politique.
Il faut le reconnaître et le dire comme vous le faites souvent, Francis Marche: le comportement, l'opinion des Français, manifestés, exprimés d'une façon si brouillonne, incorrecte et boueuse, sont devenus totalement indéchiffrables. Confusion pathologique impossible à débrouiller, excès de bêtise, têtes farcies de déchets idéologiques de toutes sortes (le chanteur Renaud, qui ne tient plus debout, en train de beugler "Bella Cio", hier, place de la République, ou encore les discussions truffées d'âneries et de contradictions rédhibitoires sur la déchéance de nationalité et le 'cas' Macron). Plus rien ne capitonne (Lacan), ne fait sens directement. Des concaténations anarchiques de signifiants sortent de la bouche des gens, nous n'y comprenons plus rien.

Le French paradox, le bel esprit de contradiction, ce sens si français de la problématisation, le bien-dire ont peut-être dégénéré en "ça", qui se décline chaque jour en de traumatisants micros-trottoirs de journaux télévisés (je dois retrouver les propos à la signification implosée, éparse, volée en éclats de jeunes Marseillais commentant la nomination de Zidane à la tête du Real Madrid).
À propos d'expressions indéchiffrables, quelqu'un aurait-il la bonté de m'expliquer ceci qui est un tweet d'Anne Hidalgo :
« Nous créerons une maraude spécifique pour orienter les personnes en situation de rue »
Il y a là le nouveau et inénarrable “personnes en situation de rue” pour ce que l'on appelait jadis les clochards et naguère les sans-domicile-fixe, chef-d’œuvre de niaiseuse tartufferie langagière. Mais qu'est-ce qu'une “maraude spécifique” ? J'avoue que même dans le contexte, surtout dans le contexte, je ne comprends pas.
"maraude spécifique". Probablement une tournure permettant d'éviter à "la maman de Paris" -- F.H. s'étant mué en père de la nation à la faveur des événements récents, il n'est que logique qu'Hidalgo assume le rôle qui doit lui faire pendant dans la capitale (tout père Ubu se devant d'être flanqué d'une mère Ubu) -- d'employer des termes "traumatisants", "à violence symbolique", à écho militaire (par les temps qui courent, il ne le faut surtout pas) et bien sûr "stigmatisants". Donc, "maraude spécifique bla bla bla personnes de rue" : patrouilles destinées spécifiquement à la recherche des sans-abris et à la prise de contact avec eux.
le comportement, l'opinion des Français, manifestés, exprimés d'une façon si brouillonne, incorrecte et boueuse, sont devenus totalement indéchiffrables. Confusion pathologique impossible à débrouiller, excès de bêtise, têtes farcies de déchets idéologiques de toutes sortes (le chanteur Renaud, qui ne tient plus debout, en train de beugler "Bella Cio", hier, place de la République, ou encore les discussions truffées d'âneries et de contradictions rédhibitoires sur la déchéance de nationalité et le 'cas' Macron).

Cette confusion, ces symptômes quasi-pathologiques, cette panique de la pensée, sont peut-être, ou probablement, les signes d'une rentrée forcée et très brutale dans l'Histoire, avec ses guerres, ses obligations, sa mobilisation permanente, la contrainte qu'elle impose à chacun d'être en alerte, de s'attendre à tout et à la survenue de la mort injustement donnée.

Tous les Français sentent bien désormais que leur vie, que le monde ne seront jamais plus, absolument jamais plus, comme dans une chanson de Michel Delpech, quand il n'y avait plus d'histoire à faire, à construire ou à débrouiller. Leur grande difficulté est de devoir tout réapprendre de ce qu'est une vie dans l'histoire et ses terrifiants combats, ses choix définitifs qu'il faut opérer dans le danger et la presse et par lesquels l'avenir se forge cahin-caha.

Jamais faciles ni sans douleur, en effet, les réveils d'opiomane.
Vous devez avoir raison : une patrouille en maraude, comme un taxi. Je n'y avais pas pensé parce que j'étais obnubilé par le sens étymologique, premier et longtemps seul du terme; associé au vol, au pillage...
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