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"Pourquoi l'Algérie fait peur à l'Europe"

Envoyé par Pierre Jean Comolli 
[www.lefigaro.fr]-

Cet article m'a rappelé ce que disait mon vieux père en regardant, à la télé, des reportages de guerre sur l'Irak et le Liban: "Il y a encore des bâtiments debout et donc à bombarder, là-bas ?.."

Avec les Algériens, qui, s'agissant du tempérament, sont un peu les Serbes du monde arabe, on se dit toujours, Mais il y en a encore pour fuir ou émigrer?!
Vous auriez dû écrire:
Nonobstant l'Europe qui a peur... pourquoi l'Algérie fait peur à l'Europe...

Un jour que je faisais mon lacet, j'ai vu une souris.
Ce n'était pas tout à fait une souris ordinaire parce que c'était une souris des bois, au pelage brun et au pavillon des oreilles qui est énorme, presque de la taille de la tête. Quand elle m'a vu, elle s'est enfuie.
Cette souris est le plus bel animal qu'il m'ait été donné de voir.

Quelques mois plus tôt, la même mésaventure s'est reproduite avec un sanglier. Comme je montais le chemin, le sanglier, lui, le descendait. Et là, le même spectacle s'est offert à moi. Par extraordinaire, devinant ma présence, il a ouvert en grand les pavillons de ses oreilles et il a disparu. Ce sanglier est pourtant le plus bel animal qu'il m'ait été donné de voir. Jusqu'à la souris.

L'Europe, je compte bien la voir un jour, l'Europe. Mais avec de pareilles grandes oreilles, je n'ose imaginer combien grande sera sa peur.
 
Utilisateur anonyme
25 février 2016, 18:09   Re : "Pourquoi l'Algérie fait peur à l'Europe"
[www.bvoltaire.fr]

La question c'est : QUAND vont-ils tous débarquer ?
Utilisateur anonyme
26 février 2016, 10:43   Re : "Pourquoi l'Algérie fait peur à l'Europe"
On apprend que 10.000 licenciés algériens rejoignent chaque année les universités françaises et restent définitivement en France.
'''Entre 8.000 et 10.000 étudiants licenciés algériens quittent chaque année le pays pour rejoindre les universités françaises y décrocher un master, selon Abdelmalek Rahmani, coordinateur du Conseil national des enseignants du supérieur (CNES), qui estime que cette fuite de cerveaux est un « gros problème ».

Une grande partie, « pour ne pas dire la quasi-totalité« , de ces licenciés qui préfèrent rejoindre les universités françaises pour passer leurs masters ne reviennent pas en Algérie, a affirmé M. Rahmani, déplorant une grosse perte pour l’Algérie.
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