L'appareil judiciaire français est en train de sombrer dans l'ignominie pure et simple.
Autre chose qui n'a rien à voir mais qui relève du même état des choses, ce “texte”, écrit par un critique musical employé par France-Musique, relevé par Jérôme Vallet :
« Après, cette prise de bec ecclésiale, ce 2ème concert du Prix de composition était rassurant car le niveau était bon. En Amérique latine il y a.des compositeurs contrairement à France Culture, la radio coloniale du matin qui s'imagine que l'Amérique latine se réduit à la salsa. Le Néo-Colonialisme a ses lettres de noblesse. Les 2 œuvres sont passionnantes. Le chilien Fernando Munizaga Mellado avec Au travers projette l'œuvre dans la salle. La texte déconstruit dans les cordes nous parvient en final susurré, la musique se fait écho. Elle se fait intense, amplifiée, débordée par l'électronique. Elle dit l'émotion du poème d'Irène Gayroud. Avec le colombien Daniel Alvarado Bonilla, nous avons un concerto pour violoncelle, Los senderos se bifurca. La référence à Borges est explicite, l'orechestre le labyrinthe. Le piano donne le la avec un petit groupe répété qui deviendra le thème du violoncelle avec battu. Très belle maîtrise d'écriture par son économie et sa directivité. Un mot, le taïwanais Chia-Hui Chen est fidèle au modèle de la grande vague d'Kokusai. On monte progressivement le son puis illibère son écume, il redescend lentement. Le model est efficace mais un peu usé.jusqu'à la corde. »
Mon commentaire : on peut écrire comme ça et devenir critique à France Musique ? Ce sont des faits de ce genre qui montrent de la façon la plus crue et la plus cruelle l'ampleur de notre décadence.