Cela pourrait être aussi Jacques Laurent : il y a une semaine, sur un banc d'une station de tram, trouvé en format de poche un roman de Laurent :
Le Miroir aux tiroirs ! Etonnant, n'est-ce pas ? faut croire qu'à Jéru au moins il n'y a pas que des ploucs, contrairement à une tendance semblant se généraliser en France... Quoi qu'il en soit, ai commencé aussitôt à le lire : ce n'est pas mal,
agréable même, un peu trop plaisant peut-être : on a l'impression de rester un peu trop à la surface des choses, sans même que ce soit d'ailleurs un parti pris rigoureusement stylistique : ce type d’écriture semble n'avoir pas assez de profondeur d'entrure en soi pour entamer les chairs, et nous voulons quand même de la blessure et du sang, non pas ?