Pardonnez mon immixtion. Mais la question de la race est d'une actualité brûlante chez ceux qui se sont plu à bravement en nier l'existence pendant des années.
Les races humaines existent dès lors que l'un ou l'une se plaît à se représenter comme élément de telle ou telle. Or cette représentation ne se trouve guère que chez les Noirs, qui, ce faisant, s'accaparent la
race.
A vrai dire, et tout bien réfléchi, ils ont raison de le faire.
C'est de leur part un choix stratégique judicieux et réaliste, car, sur cet axe, ils sont les plus forts, non qu'ils possédassent des trait raciaux supérieurs mais forts ils le sont pour être
spécialistes de la chose raciale. Le spécialiste n'a que cela à son actif et son crédit: sa spécialité. Son point fort unique et incontesté se subsume à sa spécialisation.
Le Noir est supérieur par la race à tous les autres qui ne l'ont pas pour spécialité. Ce que les Noirs, perspicaces sur ce point, ont parfaitement assimilé en nous déclarant avec aplomb et raison que nous autres, les Blancs, ne composons aucune race.
Les Blancs sont une race piteusement faible sur le plan, l'axe de mesure, racial.
D'abord parce que, incapables de se concevoir une minute comme race, lorsqu'ils en viennent, comme par accident, à en dominer une autre, ce n'est JAMAIS au nom de leur race mais de leurs stupides idéaux universalistes. Le Blanc, incontestablement, compose une race stupide, la plus stupide qu'ait connu l'humanité puisque, dominant, il continue de se nier en tant que race et, même dominant le monde, de s'agenouiller devant des
idées.
Pizzare abordant les Incas, accompagné de ses hommes grands, athlétiques, barbus, à l'oeil clair et montant des bêtes prodigieuses jamais vues jusqu'alors (des chevaux) eût magnifiquement pu s'imposer comme race supérieure au natif fasciné, or cet idiot n'en fit rien, et se compliqua la vie en tenant à ses dominés des discours circonvolus et abscons sur le Sauveur, le Fils de Dieu et autres histoires à dormir debout inventées par un traitre à sa race: Saint Paul, aidé, dans la genèse de ces fariboles dites chrétiennes, par une autre traitre étalon nommé Judas, qui amena la passion du Christ
en trahissant le traître à sa race (!)
Le Blanc, s'il composait une race (ce qu'il ne fait pas, ne veut ni ne souhaite faire) commencerait par la trahir car il ne sait s'avancer vers les autres races qu'en hissant haut le drapeau du Grand Traître à la race: le Christ (et ses piteux avatars issus du courant jésuite et franc-maçon).
On comprend que, sur l'axe racial, le Blanc est mal barré: non seulement sa race est non revendiquée (ce qui en fait une faiblesse ontique) mais, qui plus est, il se revendique, même au sommet de sa puissance, du traître à sa race le plus glorieux qui soit dans tout le panorama spirituel de l'humanité: le Christ.
Le très piètre chrétien que je suis se dresse contre la Race pour toutes ces bonnes raisons. Mais, et corollairement, ne tolère pas de se faire dicter des lois par quelque racialiste que ce soit. Le Blanc, en échec sur la race, discipline sportive qui n'est pas la sienne, se veut intraitable face à tout petit sportif idiot de la chose qui se met en tête de le subjuguer au nom de sa maudite "spécialité".