Communiqué du parti de l’In-nocence n° 2081,
vendredi 23 juin 2023
Sur la réduction de l’artificialisation des sols
Le parti de l’In-nocence observe diverses manœuvres, notamment du côté du Sénat, des dits “Les Républicains”, des franges de la coalition présidentielle et, malheureusement, de nombreux maires de communes rurales, pour amender ou pour tourner la loi “Climat et Résilience” du 22 août 2021, et pour en réduire la portée et les objectifs, déjà très insuffisants, en particulier sur la question capitale de l’artificialisation des sols. Cette question est d’emblée mal posée. Et elle est mal posée parce qu’à peine est-on élu, et fût-on parfaitement honnête, ce qui n’est pas toujours le cas, on devient un traître aux intérêts profonds de sa commune, de sa région, de ses électeurs et concitoyens, de sa terre et de la Terre : on veut des installations d'entreprises, des routes, des touristes, des retombées fiscales, des subventions, des revenus supplémentaires, de nouveaux habitants. Le premier facteur d’artificialisation des sols — cette composante essentielle du changement climatique et de la destruction du paysage —, c’est la croissance : et d’abord la croissance démographique, bien entendu, exclusivement assurée en France par la submersion migratoire et la colonisation. Il n’y a aucune espèce de chance de mettre un terme à la bétonisation du territoire sans mettre un terme au changement de peuple et de civilisation, c’est-à-dire au Grand Remplacement, ou génocide par substitution.
Le parti de l’In-nocence estime d’ailleurs qu’il en va exactement de même de ces deux phénomènes liés, l’artificialisation et la prétendue “immigration”, cette artificialisation des peuples : il ne s'agit pas de les “réduire” (on ne vise pas à “réduire” des calamités), mais de les faire cesser entièrement et de les retourner. Le seul remède à l’artificialisation des sols, c’est la libération du territoire et la remigration. Vive une France de cinquante millions d’habitants !
