Le site du parti de l'In-nocence

Communiqué n° 762 : Sur le politique de l'Italie à l'égard de l'immigration

Le parti de l'In-nocence déplore que le gouvernement italien, après quelques rodomontades sans effet, paraisse pratiquer sur les questions de l'immigration une politique encore plus laxiste que la France et semble se préparer, avec la bénédiction du Vatican, à des mesures de régularisation massive qui sont contraires à l'esprit des accords européens.

Le parti de l'In-nocence s'attriste vivement que la première de nos soeurs latines, mère d'une des plus hautes civilisations de la terre et théâtre des plus grands moments de l'histoire artistique et culturelle de l'humanité, rejoigne à présent sans résistance digne de ce nom, avec la complaisance d'une l'Église catholique attachée à des intérêts qui désormais sont tout autres, le chemin du triste village universel, déculturé et décivilisé, alors qu'elle avait su longtemps, plus longtemps que la malheureuse France de longue date submergée par la contre-colonisation, garder son caractère propre et ses magnifiques idiosyncrasies.
Citation

avec la bénédiction du Vatican
Qu'en pense jmarc ?
Envoyé par: Obi Wan ()
Date: 18 novembre 2008, 13:11

Cela en dit long sur l'alliance objective du grand capital et des immigrationistes, des natalistes en fin de compte.

Un autre exemple dans cet article bidon du Monde :

Une majorité d'Américains et d'Européens s'inquiètent de l'immigration illégale



Si, de part et d'autre de l'Atlantique, l'immigration est un sujet sensible, les opinions américaine et européenne ne manifestent pas d'opinions extrêmes, plaidant en faveur de politiques migratoires ouvertes et équilibrées. Tel est l'enseignement qui ressort de l'enquête réalisée dans sept pays (Etats-Unis, Royaume-Uni, France, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Pologne) par le German Marshall Fund of the United States (GMF US), rendue publique lundi 17 novembre.

Ainsi, Européens comme Américains considèrent (à 47 % et à 62 %) l'immigration "comme un problème". Les Français et les Néerlandais font exception, la percevant davantage "comme une opportunité" (46 % et 42 %).

UN IMPACT CULTUREL

Assimilée à un problème, l'immigration n'en a pas moins un impact positif sur la culture des pays d'accueil, affirment cependant dans leur grande majorité tant les Américains (68 %) que les Européens (65 %). Et bien que le sujet soit souvent associé aux questions d'insécurité, les uns comme les autres ne croient guère que l'immigration augmente les risques de terrorisme.

La principale inquiétude des citoyens américains et européens porte sur l'immigration illégale : 43 % des Européens et 45 % des Américains se disent préoccupés par ce phénomène. Les Européens, à l'exception notable des Français, redoutent une augmentation de la criminalité à travers les flux migratoires.

"Les Américains, comme les Britanniques, sont, eux, davantage préoccupés par l'impact économique de l'immigration", souligne Natalie La Balme, du GMF. Plus de la moitié des citoyens de ces deux pays (51 % et 52 % respectivement) pensent que les immigrés prennent les emplois des nationaux. "Cependant, relève Mme La Balme, ils pensent aussi (à 61 % et à 50 %) que l'immigration favorise le développement de l'emploi par la création d'entreprises." Pour limiter l'immigration illégale, les Américains, comme les Européens, estiment avant tout qu'il faut renforcer le contrôle aux frontières (respectivement 83 % et 80 %), pénaliser les chefs d'entreprise qui emploient des clandestins (74 % et 84 %), et renvoyer les migrants en situation irrégulière dans leur pays d'origine (69 % et 70 %). Mais les mêmes appellent, à 61 % et à 70 %, au développement de politiques favorisant l'immigration étudiante et de travail. Contrairement aux gouvernements, qui cherchent à favoriser une immigration professionnelle temporaire, les opinions publiques s'opposent à une conception utilitariste de l'immigration : 64 % des Européens et 62 % des Américains affirment qu'il faut donner la possibilité aux migrants en situation régulière de s'installer durablement.

Une fois ces migrants admis sur leur territoire, ils plaident également en majorité en faveur de politiques d'intégration leur garantissant les mêmes droits civiques (58 % en Europe, 59 % aux Etats-Unis), et les mêmes avantages sociaux (73 % et 58 %).
Laetitia Van Eeckhout

Laetitia Van Eeckhout est journaliste au Soir, journal belge qui défend sans cesse les "sans papiers". Après le titre accrocheur (pour Le Monde), on s'aperçoit qu'en fait, le fond de l'article plaide en faveur de l'immigration, en distribuant mine de rien des bons et des mauvais points selon les peuples envisagés dans l'enquête, quoique tout cela soit noyé dans une curieuse confusion.
Mais d'où sort cette enquête ? De The Lynde and Harry Bradley Foundation, très à droite, très conservatrice d'après Wikipédia, qui note dans son Criticism : Wilayto also published a 140-page report on the Bradley Foundation, The Feeding Trough, on behalf of the "A Job is a Right Campaign" in Milwaukee. The report claims the Bradley Foundation commissioned the studies that supported the welfare reform legislation in Wisconsin, which he contends harmed the state's poor residents. He also claimed the Bradley Foundation exploits Milwaukee's black community.

Tout en bas, on apprend aussi que cette enquête se base sur des coups de téléphone, meilleur moyen de connaître, comme chacun le sait, le fond de la pensée de quelqu'un en cette matière !

Methodology
TNS Opinion was commissioned to conduct the survey using Computer Assisted Telephone Interviews in all countries except
Poland, where lower telephone penetration necessitated the use of face-to-face interviews. In each country, a random sample of
approximately 1,000 men and women, 18 years of age and older, was interviewed. Interviews were conducted between August
29, 2008, and September 29, 2008.
For results based on the national samples in each of the seven countries surveyed, one can say with 95% confidence that the
margin of error attributable to sampling and other random effects is plus or minus 3.1 percentage points. For results based on
the total European sample (n=6002), the margin of error is plus or minus 1.3 percentage points. The average response rate for
all seven countries surveyed was 21%.
18 novembre 2008, 14:19   Si les mots ont un sens...
Pour répondre à Corto,


Je m'étonne qu'on puisse s'étonner, si les mots ont un sens, de la position qu'a l'église catholique.

Ou bien le mot catolique veut dire ce qu'il a toujours voulu dire, à savoir universel, et l'église de ce nom ne peut avoir une position autre qu'universelle, ou bien ce mot a changé de sens, et dans ce cas je serais curieux de connaître ce sens nouveau.
18 novembre 2008, 14:24   Re : Si les mots ont un sens...
En quoi est-ce universel de soutenir l'immigration dès lors qu'une partie de l'humanité en souffre et que des acquis culturels de l'humanité risquent de disparaître (y compris la religion catholique d'ailleurs) ?
La position de l'Eglise catholique (que je ne partage pas, est-il besoin de le préciser, mais que je peux expliquer) se comprend assez bien, si l'on se reporte à la distinction éclairante que Rémi Brague a esquissée entre "chrétiens" (disciples du Christ, ce que nous ne sommes pas, ou à peine) et "christianistes" (ou défenseurs du christianisme, ce que nous sommes presque tous, attachés à la civilisation façonnée par les disciples du Christ) et si l'on étend, à la situation actuelle, ce qu'il disait de Grégoire le Grand (je le cite, en large substance) : "il n'a pas cherché à fonder une civilisation; il a voulu vivre et il a voulu que ses contemporains vivent en disciples du Christ, l'imitant, n'écoutant que Sa Charité; nous, nous ne retenons de ce Grégoire le Grand que la civilisation qui est résultée de son action". L'Eglise catholique actuelle est un peu comme Grégoire le Grand : elle a pour absolu la Charité du Christ; elle tient pour secondaire la civilisation dont nous avons hérité; comme le Christ, en son temps, dans sa vie d'homme, tenait pour secondaire la Loi mosaïque et y préférait l'Amour du Père, le lien au Père...
Aussi bien le communiqué ne "s'étonne"-t-il en rien de l'attitude de l'Église...
18 novembre 2008, 17:10   Etonnement
Effectivement, le communiqué ne s'étonne pas.

Cela étant, je ne partage pas l'opinion formulée dans la phrase :

"Avec la complaisance d'une l'Église catholique attachée à des intérêts qui désormais sont tout autres", le terme "désormais" évoquant un changement d'attitude par rapport à une situation passée.

L'analyse détaillée de JGL correspond entièrement à mon point de vue.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
18 novembre 2008, 17:54   Synonyme
Bien cher Didier, je ne sais si c'est à moi que vous vous adressez.

Le terme "universel" figurant dans la phrase "... rejoigne à présent sans résistance digne de ce nom, avec la complaisance d'une l'Église catholique attachée à des intérêts qui désormais sont tout autres, le chemin du triste village universel...", je ne puis que rappeler ce que, à mon sens, catholique veut dire.


Je suis disposé à me ranger, in fine, à l'acception donnée à "race" par la majorité des liseurs, en vertu du principe de l'usage constant et général, mais, si on veut être cohérent, il faut entendre, comme l'explique fort bien JGL, catholique au sens d'universel, par opposition à "civilisationnel".
Utilisateur anonyme
18 novembre 2008, 17:58   Re : Synonyme
Citation

Je suis disposé à me ranger, in fine,

Nooooooooooon ! Cher jmarc, je vous invite à demeurer ferme et impénétrable.
18 novembre 2008, 18:04   Juste milieu
Bien cher Corto,

Comme vous avez pu vous en apercevoir dans mes multiples messages, je suis, comme Ricord, un homme du juste milieu.


Je coupe donc la poire en deux, et voici ce que je dis de votre proposition : ferme je resterai, mais non impénétrable.
Utilisateur anonyme
18 novembre 2008, 18:12   Re : Juste milieu
Vous êtes aussi sage que Salomon, cher jmarc.
Les positions politiques de l'Eglise peuvent apparaître irresponsables et irritantes mais, comme l'a dit Jmarc, elles procèdent d'une analyse globale, universaliste. C'est en Inde qu'il y a le plus d'ordinations de prêtres. Les Africains ne sont pas en reste; ils sont majoritaires à la faculté de Théologie à Toulouse, par exemple. Je ne connais pas la proportion de ceux qui retournent en Afrique mais j'observe, dans les paroisses toulousaines, des prêtre noirs.
18 novembre 2008, 21:21   Universalité
On observe aussi, à la Dalbade, un prêtre de l'Opus Dei. Pour ma part, je connais deux prêtres fidei donum, qui exercent hors d'Europe, et qui sont originaires du diocèse d'Albi.

A propos de l'Inde, je me souviens avoir visité un séminaire débordant d'activité au Kerala. Je viens aussi de faire un don à AED (Aide à l'Eglise en Détresse) pour un séminaire au Nigeria, pays où les chrétiens résistent aux musulmans.

Pour être clair quant à ma position "universaliste", je me sens le prochain d'un prêtre du Burkina qui exerce en France et non de Monsieur Besancenot, et je pense qu'une personne aux valeurs catholiques et d'origine africaine vivant en France, connaissant l'oeuvre d'Augustin et celle de la petite Thérèse, est plus proche de ce que fut notre Nation qu'une personne athée et européenne vouée au culte du "c'est bon pour mon cul et c'est bon pour ma gueule" et connaissant parfaitement toutes les séries qui hantent nos téléviseurs. Aux liseurs de s'interroger sur ce qu'est, pour eux, l'essence de notre pays.
A-t-on le droit, cher jmarc, dans votre système, de ne se sentir plus proche ni de l'un ni de l'autre, ou est-ce défendu ?
La tentation gallicane est toujours très forte. Peut-être n'est-ce pas mauvais signe?
18 novembre 2008, 22:28   Du drame de l'indécision
Bien cher Francmoineau,

Chacun est libre de penser ce qu' il veut. Pour moi, je me sens plus proche du prêtre africain qui exerce chez nous que du propagandiste de la LCR ou de l'adorateur d'une sous-culture américaine dont il abuse des défauts sans en avoir aucune qualité.


On peut aussi jouer la carte de l'équidistance, décrite en français classique par l'image de l'âne de Buridan, et en français populaire par celle du cul entre deux chaises. A vous de voir.
18 novembre 2008, 22:31   Vision pascalienne
Bien cher Florentin,


Je partage totalement votre point de vue sur la gallicanisme, et sur le signe qu'il représente. Les prêtres africains qui sont chez nous sont souvent gallicans.
18 novembre 2008, 22:51   triangle isocèle
Cher jmarc, sans vouloir pinailler outre mesure, je crois me rappeler que l'âne, lui, appétait aussi fort l'eau que l'avoine... vouloir des deux, ce n'est pas la même chose que ne vouloir d'aucun! Quant aux chaises du "cul" que vous évoquez, mon atavisme paysan me leur fait préférer le banc qui vous met, s'il est moins confortable, à l'abri de cet inconvénient.
18 novembre 2008, 23:04   Assise
Bien cher Francmoineau,


Le problème tient à ce qu'il n'y a plus de banc (si vous en avez un, exhibez-le moi). Quant à l'âne, ce serait une anesse, prétend la rumeur.
Un de mes plus grands traumatismes animaliers et cinématographiques fut d'apprendre que l'acteur canin interprétant RinTinTin était une femelle, et que l'actrice canine interprétant Lassy était un mâle.

Etonnez-vous après des conséquences.
19 novembre 2008, 10:41   Re : A propos de l'universalisme
Petite histoire drôle entendue hier soir dans une émission sur l'attitude de l'Eglise pendant l'Occupation. Un fidèle n'ayant eu qu'une formation religieuse sommaire va voir le Curé après qu'il ait entendu des propos sur l'Evangile qui l'avaient troublé.

-Est-il vrai mon père que selon l'Evangile il faut abandonner tous ses biens pour les donner aux pauvres, et vivre sans se préoccuper du toute de ses possessions ?

-Oui, mon fils, c'est bien dans l'Evangile.

-Ah, heureusement que l'Eglise est là pour nous protéger de l'Evangile !

Par delà la plaisanterie qui voulait souligner la culpabilité de l'Eglise pendant la période de l'Occupation et en montrer l'origine dans un soutien constant aux "puissants", l'universalisme d'une religion qui s'implante doit-il demeurer identique dans une religion développée. Ce qui devait frapper les esprits au début est-il compatible avec la conduite de l'église, berger des croyants, dans un monde complexe ?
Je ne sais pas ce qu'en pense Jmarc mais je crois que l'Eglise espère une conversion des élites musulmanes à terme. Le débat qu'elle propose doit déboucher sur un procès de l'Islam par les musulmans eux-mêmes. Ce qui complique la tâche, c'est que beaucoup d'intellectuels occidentaux composent avec les archaïsmes les plus liberticides.
"Je ne sais pas ce qu'en pense Jmarc mais je crois que l'Eglise espère une conversion des élites musulmanes à terme."

Ce qu'elle ferait peut-être bien d'observer, c'est la conversion des couches populaires à l'Islam.
Oui, je sais, Orimont mais les couches populaires sont très versatiles.
19 novembre 2008, 17:09   Couches populaires
Bien cher Orimont,


Connaissant quelque peu le monde musulman, je puis vous dire que la conversion de personnes de couches populaires (et d'origine européenne) suscite souvent le mépris.

Au coeur d'une des cités, un musulman maghrébin refusera de marier sa fille (car c'est de cela qu'il s'agit) à un européen de la cité, bien que converti.

Il y a, pour le musulman, un seul converti digne d'égard : c'est l'intellectuel, le médecin, l'ingénieur. En effet, il n'est pas soupçonné de s'être converti par souci de conformisme, mais par un réel choix, et sa conversion rassure le musulman quant à la supériorité de sa religion.

Le mariage de Fatima avec Momo Kevin Durand, âgé de vingt ans, tourneur "on the dole" me paraît plus problématique que celui avec Karim Alfred de Pursayeux, quarante-cinq ans, professeur de médecine.
Utilisateur anonyme
19 novembre 2008, 17:38   Re : Du drame de l'indécision
C'est un peu Mon imam chez les riches que vous nous contez, cher jmarc.
19 novembre 2008, 17:48   Re : Couches populaires
Cher Jmarc, vous avez absolument raison.
19 novembre 2008, 18:01   Imam chez les riches
C'est un peu cela.

Si Cassandre est dans les parages, peut-elle donner une opinion sur la question ?
Utilisateur anonyme
20 novembre 2008, 11:48   Re : Imam chez les riches
Cher jmarc,

Merci pour cet éclairage, comme on dit.
Mais si les couches populaires occidentales se convertissent à l'Islam et que, de surcroit, c'est pour y être méprisées par leurs coreligionnaires "d'origine" , ne serait-ce pas une bonne raison pour l'Eglise de s'en préoccuper ?
Serait-ce que l'Eglise frustrée par le scepticisme de ses fidèles se tournerait vers des fidèles d'autres religions dont la foi (du charbonnier) est impressionnante. Il suffirait alors de les diriger vers la vraie foi...
Il y a de ça... mais avec l'espoir d'une vision plus adulte que personnellement je remarque plus chez quelques laïcs que chez les clercs.
Quand-même, quand-même ! Vous prenez vraiment les catholiques pour des demeurés !
20 novembre 2008, 20:58   Conversions
Tout d'abord, je présente mes excuses à Cassandre : écrivant avec une version de navigateur qui me cause quelques surprises, je n'ai pas vu que nos messages s'étaient croisés.


Pour ce qui est des conversions, on ne parle pratiquement jamais de celles de l'islam vers la catholicisme. D'après ce qu'on sait (j'en avais parlé avec un prêtre très au fait de ces questions), nous serions dans la situation suivante :

- conversions à l'Islam : à peu près 5000 par an, émanant la plupart de catholiques "culturels" (c'est à dire, en fait, sans religion) et poussés souvent par un souci de mimétisme social. Cela concerne essentiellement des jeunes de classe populaire. On notera que dans le cas du couple mixte, peu importe à la famille musulmane l'éventuelle conversion de la belle-fille chrétienne, la seule chose qui compte étant que les enfants soient élevés dans la religion musulmane. Parmi les 5000 personnes, de l'ordre de 10% appartiennent aux classes supérieures et sont souvent de haut niveau intellectuel. Leur conversion, fort bien vue de l'islam, est une conversion d'adhésion ;

- conversions en sens inverse : à peu près dix fois moins, mais avec une structure sociale inversée. Il n'y a pas de musulmans des milieux populaires qui se convertissent. En revanche, les intellectuels musulmans se convertissent en nombre pas forcément égal mais sans doute comparable à celui des intellectuels chrétiens, en sens inverse.


D'après ce prêtre, la grande différence tient surtout à ce qu'un musulman (je parle de celui qui ne se convertit pas) ne perd ni sa religion, ni ses traditions, à l'inverse du "chrétien culturel".
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