Cela se passe en Europe

Le Père Noël n'est plus bienvenu à Sarajevo nous apprend le Courrier International.

Vu dans un article d'André Dufour sur Liberty Vox.

Oui, et le Père Noël commence de disparaître ici aussi (vous imaginez un Père Noël dans un établissement public du 93... ?) Le même mot d'ordre partout : "écrasons-nous, pas d'ennuis..."

Détrompez-vous, Monsieur Orsoni, le nombre de balcons, fenêtres, arbustes, pavillonnaires ou hlmesques, décorés de lumières de Noël a beaucoup augmenté ces dernières années en Seine-Saint-Denis.

Même chose ici, au Japon, où en l'espace d'une génération, Noël a gagné en couleurs - et ce n'est partout que bonnets rouges et blancs, sapins qui tintinnabulent (jouent de la musiquette et clignotent en mesure), traineaux du Père Noël aux rennes de lumières qui illuminent des façades de vingt étages, houx, neige artificielle et tout le tintouin. Il y a même des marchés de Noël, et crois-je (ou hallucinè-je) certains où l'on sert du vin chaud.

Pas de musulmans méprisant les autochtones en les traitant de porcs et de chiens pour, entre deux geignardises aux officines de la rectitude de la pensée ("l'islamophobie nous meurtrit les chairs"), vous imposer leur sale "respect" à la pointe du canif; pas de mosquées, pas de bâchées, de racailles occupant les rues, les gares ou les stations de métro ou de sport d'hiver, non plus que de ministres veules s'empressant de rassurer les chefs communautaires par des lettres compoctueuses, s'abîmant le nez et se bosselant le front à la pointe des babouches desdits caïds et autres porte-parole meurtris qui auront fait savoir publiquement, dans leur ton mi-geignard, mi-comminatoire si prodigieusement typique de leur race, qu'ils ont un pet de travers à l'âme.

Joyeux Noël à tous, et aimez-vous les uns les autres sans discrimination et dans toutes les positions, c'est le moment ou jamais car comme le disait Saint Bernard, Diou lou volt !

« Pas de musulmans méprisant les autochtones en les traitant de porcs et de chiens pour, entre deux geignardises aux officines de la rectitude de la pensée ("l'islamophobie nous meurtrit les chairs"), vous imposer leur sale "respect" à la pointe du canif; pas de mosquées, pas de bâchées, de racailles occupant les rues, les gares ou les stations de métro ou de sport d'hiver, non plus que de ministres veules s'empressant de rassurer les chefs communautaires par des lettres compoctieuses, s'abîmant le nez et se bosselant le front à la pointe des babouches desdits caïds et autres porte-parole meurtris qui auront fait savoir publiquement, dans leur ton mi-geignard, mi-comminatoire si prodigieusement typique de leur race, qu'ils ont un pet de travers à l'âme. »

On arrive…

"On arrive…"

Y a-t-il encore une place dans l'avion... ?

...
Je crois me souvenir qu'il y avait eu, l'année dernière (?), quelques problèmes avec des sapins qui, ici ou là, incommodaient, ou risquaient d'incommoder, une certaine communauté... (?) Ou bien ce sont certains établissements scolaires qui avaient pris les devants et qui, de leur propre chef, avaient... comment dire ? anticipé... ?

Cher Francis,

Donc, si j'ai bien compris, on ne trouve pas une seule trace de l'islam sur l'ensemble du territoire japonnais (pas une seule !?) ? Et qu'en est-il de l'importante communauté iranienne du Japon, revendique-t-elle un "droit à sa mosquée" ?

Même chose pour la Corée... ?

Par avance merci.

J'habite la cinquième ville du Japon par la démographie; il ne s'y trouve aucune mosquée. Oui, il y a une communauté iranienne au Japon, infiniment minoritaire et à mes yeux invisible. Il est probable qu'elle ait sa mosquée - je ne suis pas allé vérifier. La présence musulmane au Japon est confidentielle, absolument insensible. Si vous croisez une femme voilée, ce sera à Tokyo dans les quartiers des affaires et du commerce, très probablement une touriste étrangère (Malaisienne, Iranienne, etc..). Je n'ai pas entendu parler de conversions de Japonais à l'Islam dans l'Archipel, même s'il doit y en avoir quelques-unes, sachant que tout existe dans ce pays. Seule une enquête approfondie établirait ces faits avec exactitude. A mes yeux, le poids culturel et socio-culturel des musulmans au Japon doit être comparable à celui des adeptes du bouddhisme Tentai en France.

Merci.



Et pour conclure :

" ... desdits caïds et autres porte-parole meurtris qui auront fait savoir publiquement, dans leur ton mi-geignard, mi-comminatoire si prodigieusement typique de leur race, qu'ils ont un pet de travers à l'âme. "

Si typique de leur race ou de leur culture, en effet. Ces gens-là me font irrésistiblement penser aux chefs mafieux que l'on voit dans certains films : "Les affranchis" de Scorcese ou la scène finale du banquet mafieux dans "Certains l'aiment chaud", par exemple.
Mais comment peut-on ne pas faire le rapprochement ?

Parce qu'on est trop aveuglé, volontairement la plupart du temps.
On aurait du voir cette similitude depuis longtemps. Ne parle t-on pas de caïds pour désigner les chefs de bandes ?

Enfin n'allons pas trop loin dans le rapprochement, chère Cassandre, les "cpf" n'auront jamais l'"intelligence", l'envergure ou encore le panache des mafieux italiens (mais là ce sont peut-être mes origines qui parlent...), ne parlons même pas de l'incroyable sens des affaires crapuleuses des mafieux chinois... Certes ils les admirent, mais autant que ceux-ci les méprisent. En clair c'est un problème de "dimension". J'en veux pour preuve qu'ils restent incapables d'une quelconque ramification internationale, et que, la plupart du temps, ils se cantonnent dans de petits business.

Enfin n'allons pas trop loin dans le rapprochement, chère Cassandre, les "cpf" n'auront jamais l'"intelligence", l'envergure ou encore le panache des mafieux italiens (mais là ce sont peut-être mes origines qui parlent...)

Sur ce plan-là, je ne peux que donner raison à M. Orsoni : dissoudre dans l'acide le fils de cinq ans d'un "repenti" comme l'a fait le boss Provenzano ; abattre dans son église de Palerme le père Puglisi, un peu trop sourcilleux dans ses sermons sur le respect des valeurs évangéliques ; éparpiller façon puzzle sur une centaine de mètres sur l'autoroute Trapani-Palerme les corps du juge Falcone, de son épouse et des policiers de son escorte, c'est tout de même beaucoup plus flamboyant que les minables "taguages", incendies de voitures et cambriolages de nos "cpf".

fffffffff…

fffffffff…

D'accord, mais si , de temps en temps, vous consentiez à nous dire quelque chose ?

Dire quelque chose ? Mais vous êtes là pour ça, Alex

Dire quelque chose ? Mais vous êtes là pour ça, Alex

CQFD, Bobo !