Le site du parti de l'In-nocence

Communiqué n° 819 : Sur les propos présidentiels au sujet du Québec

Le parti de l'In-nocence est indigné, aussi bien quant à leur forme que par leur contenu, des propos du président de la République, M. Nicolas Sarkozy, remettant la Légion d'honneur au premier ministre québécois M. Jean Charest et lui déclarant, après avoir affirmé son soutien à l'unité du Canada, que la traditionnelle politique, par lui répudiée, de "non-ingérence, non indifférence" de la France à l'égard à de l'éventuelle indépendance du Québec :

« Honnêtement, ce n'est pas mon truc ».

Le parti de l'In-nocence estime que la vulgarité de la formule, dans la bouche d'un président de la République dans l'exercice de ses fonctions, accroît encore l'indignité d'une attitude qui ne manquera pas d'être perçue, par nos frères de sang, de langue et de culture du Québec, comme un nouvel et honteux abandon de la France, d'autant plus insultant qu'il se drape dans les couleurs vertueuses et affichées du « refus du sectarisme ». Si la défense de l'identité nationale, dans l'esprit présidentiel, est assimilée au "sectarisme", on s'explique mieux l'actuelle politique suicidaire de la France.
Il y a vraiment malaise de savoir que pour faire barrage à SR les francais ont été contraints d'élire un tel pantin...

Le dilemme fut déchirant et on le paye tous les jours très cher !
Exquise vidéo, chère Madame !
Oui, ce film montre un Président du Conseil vertueux. Exemplaire, mais ne magnifions pas le passé, la Troisième République a aussi connu ses scandales et ses turpitudes. Simplement, tout se faisait avec un peu plus de classe !
Peut-être est-ce une surenchère sur l'obamesque "I screwed up"... Je parie sur Nicoléon...
Voilà ce que c'est que la France : on commence avec les sans-culottes, et on finit avec les sans-cravates !
Il y a vraiment malaise de savoir que pour faire barrage à SR les francais ont été contraints d'élire un tel pantin...

Et la prochaine fois, c'est certain, nous y serons encore contraints !, et cette fois pour faire barrage à l'épouvantable MA.
"Simplement, tout se faisait avec un peu plus de classe !"

Mais, cher Corto, la classe, le style, l'élégance ne sont-ils pas le sel de l'existence ?
Il ne faudrait tout de même pas oublier qu'il y a, aussi, le résultat.

Par exemple, je préfère être opéré par Monsieur Duchmol chirurgien peu cultivé, sans classe mais habile plutôt que par le vicomte de Tranche-boyaux, racé mais à la main incertaine.

Si vous êtes d'une opinion contraire, faites-le moi savoir, je serais curieux de connaître vos arguments.
Citation
Par exemple, je préfère être opéré par Monsieur Duchmol chirurgien peu cultivé, sans classe mais habile plutôt que par le vicomte de Tranche-boyaux, racé mais à la main incertaine.

Là vous poussez vraiment mémé dans les bégonias, cher Jmarc . C'est le même type d'argument que "Il vaut mieux être riche et bien portant que pauvre et malade"!
Je partage tout à fait l'avis de Jmarc, toutefois pour certains "organes" tels qu' immigration, peut-être Québec, communautarisme et sans doute quelques autres, l'oeuvre du chirurgien ne paraît pas excellente. Sarkozy est plein de contrastes, excellent un jour mais à vous faire honte le lendemain. Quant aux attaques qu'on ne peut que qualifier d'hystériques de nombreux journalistes, j'ai aussi honte pour eux quant à la façon d'exercer leur métier.
La métaphore du chirurgien est intéressante mais, pour qu'elle soit aussi honnête, il faut appliquer le critère de la classe, du style, de l'élégance à son activité de chirurgien et non à sa capacité à danser le tango ou dire les vers de Marot, ce n'est pas toujours lié. Et l'élégance n'existe jamais sans efficacité, cela en est même l'essence.
Citation
Et l'élégance n'existe jamais sans efficacité, cela en est même l'essence.

C'est l'évidence !

Citation
Quant aux attaques qu'on ne peut que qualifier d'hystériques de nombreux journalistes, j'ai aussi honte pour eux quant à la façon d'exercer leur métier.

Chère ostinato,

Vous avez d'une certaine manière raison car NS n'est pas pire que Mme Merkel ou que Mr. Gordon Brown ou même que le chef d'Etat italien.

Le malaise provient de son côté m'as-tu-vu ou hableur, du cinéma qu'il fait dans les conférences internationales. Nous attendons de notre chef d'Etat qu'il représente dignement la France cad avec un brin de solennité et de retenue ce que NS est incapable de faire.
Quant aux attaques qu'on ne peut que qualifier d'hystériques de nombreux journalistes, j'ai aussi honte pour eux quant à la façon d'exercer leur métier.

Je remarque tout de même que ces journalistes, aussi hystériques soient-ils, ne vont pas jusqu'à qualifier le Chef de l'Etat de "pantin".
Utilisateur anonyme
10 février 2009, 12:54   Pantin
Tel qu'en lui-même le pouvoir le change.
10 février 2009, 12:54   Tonalité générale
Bien chers amis,

Etant un contributeur attentif de ce forum et ce depuis des années, je ne puis me départir d'une certaine lecture des messages consacrés au Président de la République.


Du point de vue de la forme, je note qu'on écrit systématiquement "président de la République" et non "Président de la République", ce qui est à la fois incorrect et blessant. Le Chef de l'Etat est-il si petit qu'on doive lui ôter le P au profit du p ?

De la même façon, il me serait agréable que le Gouvernement retrouvât son G, et le Premier ministre son P.

On se reportera avec intérêt à notre Constitution (http://www.assemblee-nationale.fr/connaissance/constitution.asp).

Du point de vue du fond, il m'apparaît qu'en ce qui concerne les communiqués, le Chef de l'Etat accomplit deux sortes d'actions.

Dans le premier cas, l'action est à la fois à effets négatifs et d'une forme criticable. C'est le cas général.

Parfois cependant on veut bien concéder quelque mérite à telle ou telle action ponctuelle, mais c'est aussitôt pour l'entourer de telles réserves ou restrictions que j'en viens à me demander si l'occasion saisie pour féliciter le Chef de l'Etat ne l'est pas, en fait, pour encore le critiquer.

Les actions approuvées sans réserve sont comme les femmes légèrement enceintes : elles n'existent pas.

Or, si on s'interroge sur les faits, il apparaît que nous avons, sur notre échiquier politique :

- la famille Le Pen, qui sombre de jour en jour dans le discrédit, avec la circonstance que Monsieur Le Pen a chaque fois gâché son message dans ce qu'il avait de raisonnable par des écarts de langage inadmissibles, à croire qu'il voulait tout sauf la concrétisation de ses idées, les rendant odieuses par son comportement ;

- Monsieur de Villiers, auquel je reconnais bien des mérites, mais qui aurait été un candidat remarquable en 1848 ;

- les "amis politiques" de l'actuel Chef de l'Etat, divers et variés, plus ou moins amis d'ailleurs. Ce sont les seuls à s'opposer à la vulgate "immigration à tout crin - moyens débridés - laxisme général -avantages acquis" ;

- Monsieur Bayrou, qui m'a beaucoup déçu et qui, par certains côtés, se comporte comme le Parti, c'est à dire qu'il prend le contre-pied de ce que dit le Chef de l'Etat. J'attends avec intérêt que le Chef de l'Etat nous parle des méfaits des fortes pluies, pour voir quel intérêt M. Bayrou va y trouver ;

- les socialistes, divers et variés, qui nous offrent un tableau chatoyant, avec comme dominante les droits de l'homme portés au pinacle, avec comme Credo le libre accès des immigrés à notre sol ;

- l'ultra gauche dans ses composantes vertes, communistes ou gauchistes, que j'exècre.

Il serait intéressant que le Parti se positionne quant à ses alliances, ou à ses souhaits de Gouvernement. Le fait de critiquer systématiquement un homme, son allure et son comportement ne constitue pas, à ma connaissance, une politique.
Peut-être pas le terme exact de pantin, mais l'idée y était et d'autres termes n'étaient pas plus modérés. Il fallait entendre Edoui et Nicolas (Domenach) utiliser une émission de télévision comme tribune politique pour développer que chez Sarkozy rien n'est bon (à l'inverse du cochon). Les deux compères riaient de leur bon coup politique, certainement préparé, en se lançant des clins d'oeil satisfaits et rigolards. L'argument imparable était que la conférence de presse de Sarkozy n'était que "mots mots mots", on s'en serait douté.
Oui, je suis d'accord avec jmarc, dont la pertinence du propos ne le cède en rien à la classe, au style et à l'élégance de la pensée.
toutefois pour certains "organes" tels qu' immigration, peut-être Québec, communautarisme et sans doute quelques autres, l'oeuvre du chirurgien ne paraît pas excellente

Oui !, j'aime beaucoup cette image chère Ostinato.
..................

Quant à répéter (encore une fois) que Le Pen n'a jamais réellement désiré le pouvoir ("à croire qu'il voulait tout sauf la concrétisation de ses idées") ce qui, on le sait, reste l'attaque anti-Le Pen privilégiée des journalistes, je ne vois pas au nom de quoi ce responsable politique - et ce, contrairement à tous les autres - ne désirerait pas d'exercer le pouvoir ?
Utilisateur anonyme
10 février 2009, 15:25   Re : UMPI
Cher Jmarc,
il est révélateur que dans cette défense du Président de la République vous procédiez par élimination. Tous ces creux ne font pas un plein, et c'est il me semble bien proche de l'attitude du PI qui, pragmatiquement, lui reconnait un certain mérite à l'occasion, sans se bercer d'illusion sur l'essence de cette présidence. Voyez-vous le PI, même de loin, dans la majorité présidentielle ?
10 février 2009, 15:49   Quelle majorité ?
Bien cher Guillaume,


Je ne sais où le PI se situe, mais je crois le voir à droite.

Je m'étonne simplement que la foudre de ses communiqués frappe avec une telle fréquence le Président, alors que, par exemple, Monsieur Besancenot, Monsieur Benhamias, les divers verts, quelques socialistes ou ex-socialistes à la Mélenchon sont largement épargnés.

Je reviens ainsi à ma rengaine : une source (mais non la seule) de nos problèmes est cette gauche intellectuelle. Pourquoi ne pas concentrer le tir sur elle, au lieu de viser systématiquement le Président ? avez-vous une réponse ?
Marcel Meyer écrivait:
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, la classe, le style, l'élégance
> ne sont-ils pas le sel de l'existence ?


Je me demande si ce que je lis ici est une plaisanterie, car ce que j'ai vu écris ici envers moi en était tout le contraire, à se demander si l'on a ici la moindre idée de ce dont il s'agit.

Je peux comprendre que l'on s'étonne de mon acharnement à défendre certains points de vue, mais la raison en est que j'ai du répondre à une masse de messages attaquant mon point de vue, ou d'autres personnes ou la mienne, un acharnement tout à fait odieux ou ridicules, car sans argument de fond sérieux, ( ou pour des textes qui n'étaient pas de moi ), et qu'il se trouve que je suis assez acharnée lorsque des personnes que j'estime sont attaquées verbalement ...

Pour répondre à Jmarc :
d'action tout à fait bonne de Nicolas Sarkozy, je n'en vois pas, (mais je n'ai pas vraiment cherché) mais je ne le critique pas en faveur d'autres hommes ou femmes politiques, aucun n'est parfait.
Ce qui me fait réagir fortement est la gravité de ses actes, gravité qui tient à une situation qu'il n'a pas créée, il faut le reconnaître, et gravité qui tient aussi paradoxalement à ses qualités mêmes : Nicolas Sarkozy "fonce", "agit", malheureusement dans certains cas, le sens exactement opposé à celui qu'il faudrait.
Je crois vraiment que s'il avait les qualités "idéales" d'homme d'Etat montrées dans ce film, ou s'il avait VOULU les avoirs, il serait parvenu au pouvoir avec une autre reflexion, une autre culture, et c'est cela qui me choque : l'impression, qu'il n'est pas le seul politique à donner, qu'il se fiche complètement de la France.
PS : ne croyez vous pas Jmarc, que Sarkozy applique lui aussi les préceptes de cette "gauche intellectuelle" ?
10 février 2009, 15:56   Le Président et la gauche
Bien chère Elisseivna, trouvez-vous les discours de Monsieur Besancenot et du Présidents identiques sur le proche-orient ?

Pensez-vous que Monsieur Hortefeux a tenu le même langage que RESF ?

Qu'on ne soit pas content du Président, que cela puisse être mieux, je le conçois. Cela étant, il y a bien pire, et ce pire n'est pas fustigé.
d'action tout à fait bonne de Nicolas Sarkozy, je n'en vois pas

Ah si !, la suppression de la double peine, par exemple... sans oublier la réalisation, pour très bientôt, de son grand projet : la "France d'après" (ou "France de la diversité").
une "B.A." oui, dommage pour la raison d'Etat ...
Cher Jmarc, je ne sais pas de quel auteur(e) vous parlez lorsque vous dites "pas fustigé",
pour ce qui est de ma part, je fustige rarement des personnes, il faut vraiment que l'acte soit terrible pour le critiquer nominalement, ce sont plutot les idées que je critique, mais il se trouve que j'ai aussi "fustigé" Royal, quand elle s'en est prise à Hirsi Ali, de façon honteuse, après être allée "paraître" au meeting destiné à la soutenir :

[elisseievna.blogspot.com]

... ou quand elle s'extasie devant Diam's ... [elisseievna.blogspot.com]

Sur le Proche-orient, il est difficile de juger les politiques sur leurs discours, par contre si vous comparez Hortefeux et RESF, bien sur je préfère de loin de "légalisme" affiché de Hortefeux, mais je pense qu'il ne s'agit que d'un "légalisme affiché" et que l'atteinte contre la légalité est encore plus dangereuse lorsqu'elle est faite sous couvert de son respect.
Je m'explique : c'est au nom de la "légalité" de la lutte contre le racisme, et du "droit des religions", faussement comprise, que l'on est en train de changer de l'intérieur, dans leur définition et compréhension même, le sens de nos lois et de museler toute opposition, et ceci est bien plus dangereux que de les bafouer ouvertement comme RESF.
Si Hortefeux était vraiment légaliste, il appliquerait la législation refusant la nationalité pour défaut d'intégration ou les cas de déchéance, la loi de 1905 etc ...
si vous comparez Hortefeux et RESF, bien sur je préfère de loin de "légalisme" affiché de Hortefeux, mais je pense qu'il ne s'agit que d'un "légalisme affiché" et que l'atteinte contre la légalité est encore plus dangereuse lorsqu'elle est faite sous couvert de son respect.

Entièrement d'accord, et le fait que M. Hortefeux soit désormais remplacé par M. Besson, homme de gauche, en dit long sur la "pureté idéologique" de M. Sarkozy...
Merveilleux éditorial de Claude Imbert qui analyse ainsi à la fin de l'article le caractère de notre Président :

"Agitateur éclectique, profus et optimiste de la Réforme, son personnage paraît moins bien taillé pour le rôle de commandeur des tempêtes, de Père de la patrie chargé de l'affliction nationale. On dit, il est vrai, que les grands acteurs sortent parfois grandis d'un rôle inattendu. C'est toute la grâce qu'on lui souhaite !"

La description de la situation qui constitue l'article me paraît très judicieuse.

[www.lepoint.fr]
(Message inutilement polémique, supprimé par son auteur)
Je m'étonne simplement que la foudre de ses communiqués frappe avec une telle fréquence le Président, alors que, par exemple, Monsieur Besancenot, Monsieur Benhamias, les divers verts, quelques socialistes ou ex-socialistes à la Mélenchon sont largement épargnés.

Mais, cher jmarc, c'est bien M. Sarkozy qui préside la République, non ? Ou bien aurais-je raté un épisode ?

P.S. : j'aime bien "les divers verts"
10 février 2009, 18:56   Présidence
Oui, c'est cela. Je trouvais cependant à la cause in-nocente un caractère général qui était intéressant, mais je n'ai aucune raison de critiquer une orientation qui serait "Parti de l'anti-nocence de Monsieur Sarkozy".
10 février 2009, 19:15   Re : Quelle majorité ?
» une source (mais non la seule) de nos problèmes est cette gauche intellectuelle. Pourquoi ne pas concentrer le tir sur elle

J'espère que c'est une blague...
10 février 2009, 19:19   Blague ou non
Ce n'est absolument pas une blague. Cette gauche est à la base même de la doxa à laquelle nous nous opposons (Primauté de l'élève sur le maître, primauté de l'immigré sur l'autochtone...).
Il n'empêche qu'on écrit le président de la République, avec un "petit p"...
Au moins, avec Nicolas Sarkozy, la France a enfin un président à son image.

Fat, remuant, menu et vain.

Saluons la belle sagesse des français qui les a conduit à prendre pour maître le plus franc symbole du destin de leur pays !
11 février 2009, 00:09   Jeu: un personnage célèbre
"Agitateur éclectique, profus et optimiste de la Réforme"

"Fat, remuant, menu et vain"

"parole, parole, parole"

Quel personnage politique de l'histoire contemporaine fut abondamment traité par les chroniqueurs et opposants politiques de son pays, dans les premiers mois de son mandat au magistère suprême de la nation, alors qu'il avait exactement l'âge actuel de notre président de la République (54 ans), dans les termes que nous voyons employés ici à propos de M. Sarkozy avant que ce personnage n'apparaisse comme un des hommes politiques les plus importants du siècle ?

Vous avez droit à trois réponses...
Le malheur est que justement, NS est probablement un des hommes politiques français les plus importants depuis cinquante ans !

Malgré ses défauts, NS a de très nombreuses qualités (la plus éclatante étant son flair politique proprement scandaleux).

Cela donne la mesure de la perte de pouvoir réel sur le cours des choses des princes qui nous gouvernent, français notamment mais pas seulement.

On peut dire la même chose de Georges W. Bush, dont la vision géostratégique a été beaucoup plus pertinente qu'on ne le dit (il faut juste arrêter de compter les morts, obsession de comptable, Churchill aurait-il fait cela ? "Une nuit de Paris rattrapera cela", comme disait l'autre...) et la politique en matière d'écologie ou d'aide aux pays d'Afrique injustement passée sous silence, tout au moins en France.
11 février 2009, 07:59   Re : Blague ou non
» Ce n'est absolument pas une blague. Cette gauche est à la base même de la doxa à laquelle nous nous opposons (Primauté de l'élève sur le maître, primauté de l'immigré sur l'autochtone...).

Cher Jean-Marc, je ne dis pas le contraire, et je suis lecteur de Philippe Muray. Mais certains pardonnent tout à la droite, et rien à la gauche, c'est ce que j'appelle s'étiqueter « de droite ». Cette attitude me semble incompatible avec l'in-nocence, c'est pourquoi votre idée de « concentrer le tir » sur la gauche me paraît à priori scandaleuse. (J'ajouterai : surtout pour un bon chrétien, qui stigmatise ainsi la moitié de ses frères.)
Il s'agissait de Mikhail Gorbatchev, ce qui peut en un sens éclairer notre lanterne sur la grande question de ce qui va se passer en France dans les années proches: fin, chaos et lent recommencement.
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