En parcourant le blog Crunchy Con je viens de tomber sur ce billet qui m'a fait frémir:
Hamas and the power of hatred
Had a conversation this afternoon with someone in a position to know, who told me this story. An Israeli soldier who had served in Gaza came home to his town in Israel to a hero's welcome. But he didn't want to be welcomed back. He just wanted to see a rabbi.
He told his rabbi that his unit had been engaged in house-to-house combat with Hamas. They'd cornered a somewhat high-ranking Hamas leader in an apartment complex, but the Israelis wouldn't blast him out because they knew women and children were present. So they waited. And waited. Finally, the order came to withdraw. As the Israelis were drawing back, the man they sought showed himself in the doorway, carrying a gun and a tiny baby. He was smiling at the Israeli soldiers. He took the butt of his gun and smashed in the head of the baby, smiling the entire time, then turned and went back into the apartment full of women and children.
"The message," said the man who told me this story, "was this: 'We are the kind of people who will kill babies with a smile on our face. You won't do this, and that is going to be your downfall. You may have won this time, but we are going to outlast you."
Traduction du texte avec google. Mes excuses pour la traduction défectueuse mais c'est mieux que rien.
Le Hamas et le pouvoir de la haine
Dimanche 8 Mars 2009
Si cet après-midi une conversation avec une personne en position de savoir, qui m'a dit que cette histoire. Un soldat israélien qui avait servi dans la bande de Gaza est rentré à sa ville en Israël pour un héros de bienvenue. Mais il n'a pas envie d'être bien accueillis. Il a juste voulu voir un rabbin.
Il a dit à son rabbin que son unité avait été engagé en porte-à-porte avec la lutte contre le Hamas. Ils avaient accaparé un peu de hauts dirigeants du Hamas dans un complexe d'appartements, mais les Israéliens ne lui souffle, car ils savaient que les femmes et les enfants étaient présents. Alors ils ont attendu. Et attendu. Enfin, l'ordre est venu de se retirer. Comme les Israéliens ont le dessin en arrière, ils ont cherché l'homme lui-même montré dans l'embrasure de la porte, portant un fusil et un petit bébé. Il était souriant à des soldats israéliens. Il a pris la crosse de son fusil et brisé dans la tête du bébé, le sourire tout le temps, puis fait demi-tour et est retourné dans l'appartement plein de femmes et d'enfants.
"Le message", dit l'homme qui m'a dit que cette histoire ", a été la suivante:« Nous sommes le genre de personnes qui tuent des bébés avec un sourire sur notre visage. Vous ne pourrez pas le faire, et qui va être votre fin.