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La question [bip] est aujourd'hui centrale.

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Utilisateur anonyme
16 avril 2009, 22:47   La question [bip] est aujourd'hui centrale.
La question raciale est aujourd’hui centrale
EDITORIAL
par Henry de Lesquen
Président de Voix des Français-Renaissance 95 (Avril 2009)


Raymond Cartier et le problème noir

Raymond Cartier est surtout connu pour avoir laissé son nom au "cartiérisme", doctrine selon laquelle il ne faut pas gaspiller l'argent public pour les pays du tiers monde : "Plutôt Corrèze que Zambèze". Mais ce grand journaliste avait aussi publié, dans les années soixante, plusieurs articles prophétiques pour alerter les Français sur le problème noir dont il observait les prémices dans notre pays.
Hélas, Raymond Cartier n'a pas été écouté ! Au contraire, en 1972, nous avons eu la loi Pleven, loi liberticide expressément conçue pour étouffer les voix hostiles à l'immigration. Et nous avons assisté à l'explosion démographique, en France, des populations noires issues d'Afrique et des Antilles.
Cartier craignait que la République fût ébranlée par les coups de boutoir du communautarisme. Nous y sommes : les activistes du CRAN revendiquent un régime de faveur pour les noirs au nom de la prétendue discrimination "positive" chère à Sarkozy. Aujourd'hui, la question raciale est devenue centrale.
Mais Cartier n'avait pas prévu que le cosmopolitisme deviendrait l'idéologie dominante. Il ne pouvait imaginer que les gens n'oseraient pas contester les dogmes destructeurs de l'antiracisme officiel. Comment peut-on régler un problème que l'on n'a même pas le droit de désigner ?

Le fonds génétique, socle de l'identité

Or, l'existence des races est un fait. Rappelons l'essentiel de la question raciale, telle qu'elle se présente generaliter.
1. L'espèce humaine est divisée en cinq grandes races : la race blanche (caucasoïdes), la race jaune (mongoloïdes), la race noire (négroïdes), plus deux autres qu'il faut distinguer de la précédente, la race hottentote (khoïsanoïdes, en Afrique du sud) et la race australienne (australoïdes, en Océanie et Asie du sud). Ces cinq races se sont séparées il y a au moins un million d'années, selon la théorie polycentrique (énoncée, avec des variantes, par Weidenreich, Coon et Wolpoff).
2. Les sociétés sont des systèmes bioculturels, en sorte que le fonds génétique des peuples, donc, en particulier, la race des hommes qui les composent, est le socle de leur identité (Voir, à cet égard, le livre du Club de l'Horloge, La Politique du vivant).
3. Si des hommes d'une autre race arrivent en masse dans le territoire d'un peuple, les conséquences sont toujours dramatiques. Première hypothèse : les immigrés sont absorbés par métissage ; le peuple d'accueil tombe alors en décadence et perd son identité. Seconde hypothèse : les immigrés ne se mélangent pas avec les indigènes (il s'agit de nous, en l'occurrence...) ; les antagonismes raciaux se développent alors inéluctablement au sein de cette société multicommunautaire. Troisième hypothèse : une partie des immigrés se mélange avec les indigènes, qui perdent peu à peu leur identité, avec leur homogénéité ; une autre partie des immigrés forme une ou plusieurs communautés séparées et hostiles.

L'inversion des flux migratoires

Ce dernier scénario, qui cumule les inconvénients, est celui qui se dessine en France. Pour sauver notre patrie, il faut s'employer à remplacer les dirigeants politiques actuels, indignes des responsabilités qu'ils exercent. L'étape suivante consistera à inverser les flux migratoires pour que la proportion des noirs diminue dans notre pays. Répétons après le général de Gaulle : “Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne.”

Le lien : [www.vdfr95.com]
Utilisateur anonyme
17 avril 2009, 08:27   Re : La question [bip] est aujourd'hui centrale.
Merci, cher Zendji, de nous informer de ce nouveau site que je ne connaissais pas.

Il offre d'ailleurs gratuitement un exemplaire de sa revue mensuelle : La Voix des Français.
17 avril 2009, 09:29   Re : Ni ni
Comment peut-on critiquer l'obnubilation de l'anti-racisme haldiste par l'obnubilation de la race. La pureté ou le mélange, deux faces de la même fausse monnaie. Comment peut-on supposer que le souci de la préservation d'une " race caucasienne" constitue autre chose qu'un problème supplémentaire plutôt qu'une quelconque solution. Autant faire régler les problèmes civilisationnelles par des vétérinaires
Utilisateur anonyme
17 avril 2009, 09:46   Re : Ni ni
"Autant faire régler les problèmes civilisationnelles par des vétérinaires"

Justement le nouveau président du Sénat est un vétérinaire et il a l'air moins sot que le précédent.
Mme Ostinato n'a pas tort. Affronter l'ennemi sur son terrain suprématiste et biologiste est absurde, c'est vraiment descendre au niveau de Sheikh Hanta Diop. Il me paraît difficile de parler politique en termes biologiques, à moins de se mettre à traiter les hommes comme du bétail. Rien n'est plus contraire à la civilisation européenne, rien ne rabaisserait plus sa supériorité culturelle sur le tribalisme, que de raisonner dans les mêmes termes que ses ennemis. La discrimination positive, la Halde, les associations antiracistes, mettent en effet au centre de tout la question de l'appartenance génétique à une race, mais cela ne nous oblige pas à les imiter.
Le parti de l'In-nocence combat l'immigrationnisme et l'antiracisme dogmatique (dénégationnisme, aracisme, etc.). Ce combat n'est ni raciste ni racialiste mais politique et culturel.

"Zendji" et "Agrippa", qui n'en sont pas membres, s'obstinent à ne pas vouloir l'admettre, c'est fatigant.
Utilisateur anonyme
17 avril 2009, 11:08   Re : La question [bip] est aujourd'hui centrale.
Et oui, c'est fatigant tous ces gens qui ne pensent pas comme moi.
Utilisateur anonyme
17 avril 2009, 18:55   Re : La question [bip] est aujourd'hui centrale.
Oh moi, je suis, enfin je deviens, racialo-indifférent. Cela vous convient-il ?


Ce combat n'est ni raciste ni racialiste mais politique et culturel.

Il ne s'agit pas d'être raciste ou anti-raciste mais d'affirmer, ou plutôt de reconnaître, l'importance du fait racial dans l'humanité. Les différences biologiques de cette dernière sont une richesse; en revanche, elles deviennent une source de conflit dès que les cloisonnements n'existent plus. Le fait racial, évidemment, n'est pas tout, mais il est là. L'identité culturelle repose avant tout sur une réalité biologique, naturelle, et je ne vois pas en quoi le fait de n'être pas membre du PI m'enlèverait jusqu'au droit de pointer cette évidence... ?

Henry de Lesquen, lequel dirige Radio Courtoisie, ne me semble pas, lui non plus, être un raciste, un racialiste, un "obsédé de la race".
Vive l'apartheid si je comprends bien !
Utilisateur anonyme
17 avril 2009, 19:51   Re : La question [bip] est aujourd'hui centrale.
[BIP !!!!]
De quelles différences biologiques voulez-vous parler, W. Zendji?
Utilisateur anonyme
17 avril 2009, 21:25   Re : La question [bip] est aujourd'hui centrale.
A très bientôt, cher Eric...
"L'identité culturelle repose avant tout sur une réalité biologique"

Vous n'avez peur de rien, vous.
17 avril 2009, 22:52   Identité culturelle
Bien cher W. Zendji,


Vous nous dites :

L'identité culturelle repose avant tout sur une réalité biologique, naturelle


La France traditionnelle est un des rares pays à toucher à la fois aux domaines germain, romand et celte. De même, la langue de la Nation, le Français, ne fut pas, pendant longtemps la langue de la Bretagne, du Languedoc ou de l'Alsace (en Allemagne, le parler de Hambourg et celui de Munich ne sont pas identiques, mais on se comprend ; de même en Espagne si vous prenez Seville et Gérone).

La France a réussi, dans le passé, à fonder son unité et son originalité dans ces apports de ses diverses régions, et aussi dans l'enrichissement des apports d'Europe du sud.

Il n'y a pas de race française au sens que vous lui donnez, c'est à dire biologique. Il y a un Peuple Français formé de personnes qui ont une culture et une histoire commune. De Gaulle, Barrès, Mistral, Jaurès, Mauriac, Dumas, Proust sont "biologiquement" différents, Maximilien de Béthune et Henri IV sont "biologiquement" différents, tous ces personnages aujourd'hui disparus eurent souvent des opinions différentes sur notre pays, mais je ne vois pas comment vous les qualifieriez d'autre que Français.
« L'identité culturelle repose avant tout sur une réalité biologique, naturelle »

Cette affirmation est absurde, elle est démentie par d'innombrables faits, que ce soit à l'échelle individuelle, bien sûr, mais aussi collective. Quelques rappels : saint Augustin et les fondamentalistes du FIS, du moins lorsqu'ils sont kabyles, font partie du même peuple, de la même ethnie, de la même race. La plus grande partie des populations aujourd'hui "arabes" furent romaines et chrétiennes. Juifs et Arabes (les vrais) sont de la même famille ethnique et ont donné naissance à des cultures très différentes. Peut-on être plus français qu'Alexandre Dumas père et fils ou Gaston Monnerville ? L'Inde est peuplée D'Indo-européens, de Dravidiens (noirs) et de beaucoup de métis mais le vrai clivage qui traverse le sous-continent est culturel et relgieux, il oppose les musulmans aux hindouistes. And so on.

J'ai rappelé que vous et "Agrippa" n'étiez pas membres du PI pour bien marquer que vos positions non seulement ne l'engagent pas mais sont même radicalement incompatibles, sur ce point précis en tout cas, avec son programme et sa philosophie. Vous avez le droit d'écrire ce que vous voulez, bien sûr, mais pas forcément ici et, à tout le moins, et à défaut de vous expulser de pour la Nème fois, je me dois de rappeler cela car vos commentaires sur ce thème sont susceptibles de donner une image exécrable de ce parti et de ce forum.
Cher Jmarc, vous oubliez Maurras, Mistral et toute la Provence!
17 avril 2009, 23:50   Felibri galejade
Mais j'ai cité Mistral !

Maurras est un contre-exemple, à mon sens : il est "Français en général", du moins tel que je l'ai lu. Barrès, tout en étant nationaliste, est profondément Lorrain.
17 avril 2009, 23:53   A la manière de...
Bien cher Florentin,

Vous vous souvenez sans doute de ceci :

Mistral
Legeinde de la belle clemènço
La floùr d'Avignoun

Clemènço, la floùr d'Avignoun,
Avé soun péti corbeilloùn
Remplissou di cocons, tarabin, tarabàn,
Se va, chantàn, à Beaucairo.
Mais, paçàn la paçareilo,
La povrètte, toumbàn dins l'o,
Patafiou ! si treïpan plù hau qué lou mitàn.

Tutu panpan
Felibri galejade !
E zoù ! zoù ! zoù !
E lagadigadou ?

Mouillàdo coume oùn soupado,
Mit sécho soun feing caraco,
Sa joupe et sa camise o-dessu dé bouisson,
Més oun toro di Camargo
Lis emporto su sà corno,
Péindan qué la pitchoùn dormo
Avé countre soun coeur tou ses péti cocons.

Tutu panpan, etc.

La voïan touto nùdato
La Viergo Mario digo :
"Cette Clemènço, boufre ! a pou di moudesti !"
Mais lou San-Espri qui seï tou,
Oùn doig su lou frount, respoundou :
"Té, c'é pà sa fote, j'ai vou.
C'é le toro, pas moïns, qui a pri soun abit."

Tutu panpan, etc.

La Vierg' al celestou balcoùn
Se peincha su li corbeilloun
Et toca li cocons d'où soùrtire li vers,
Et la charmeïnte Clemènço
Fu emberluquée auçitô
De mille soyeùs àsticô,
E en fu pou-à-pou soun bô cors ricouver.

Tutu panpan, etc.

Ont tissé camiso si meïnce
Qué jamais la reine di Freïnce
Su soun lit d'accouchée en porto di plù doùs,
Ont tissé bas por li gàmbo,
Otre joupe, otre caràco,
E su lou veïntre e su lou do,
Li mignoùn travaillours li ont tissé partou.

Tutu panpan, etc.

Por reïndre atour ancor peu bél,
Coum il y manco la dentêl,
Mario pri dins l'èr dè fils di la Virgo,
En fi oun boùnet arlésiëng
E, avé soun divino maïng,
Tout-d'un-tèmps, mi coquettemeïng
Lou blàn bounet sus lou teste di Clemènço.

Tutu panpan, etc.

E[t] la bello si reveillo
E s'en allo en cantanto,
E il éto d'oune splendoùr si merveillous
Que roussignolets di la Cràu,
Et tous lis otres animo,
Grillon, abeillo, cigàlo,
Sé criei : "Troun dé l'èr", é tombeï à geinous !

Tutu panpan
Felibri galejade !
E zoù ! zoù ! zoù !
E lagadigadou ?
Non.. non... cher Zendji, la biologie est a-politique. Je vous en supplie, pour la dernière fois, fichez-lui la paix: tout être humain, tout vivant est rédimable. La politique ne peut exister qu'en s'édifiant sur ce postulat.
18 avril 2009, 00:09   Re : Felibri galejade
Exact bien cher Jmarc, Maurras, tout en étant le type que l'on sait, tout en étant Félibre et en promulguant la langue et les lettres de soun païs, était un sacré Français, à peu près totalement grec, hermogéniste, détaché du sol, mental, abstrait, un bel hégélien de droite comme l'Europe dans toute cette histoire n'en fit naître qu'une poignée.
18 avril 2009, 00:11   Re : Felibri galejade
à propos de sol et de grécité à la française, son copain Mistral, on ne devrait jamais manquer une occasion de le rappeler car ce fait est des plus édifiants, traduisit la Genèse du grec au.... provençal, la langue française étant surplombée, anecdotisée régionale !
18 avril 2009, 00:17   Beauté de la race
Bien cher Francis,

Je me demande tout de même si W. Zendji n'a pas un peu raison. Prenez ce grand Français, qui a tant fait pour la Race, et qui a été si dénigré. Du point de vue anthropologique, vous voyez tout de suite le paysan gaulois, le descendant de Vercingetorix (après tout, Chateldon est en Auvergne) :

[pastel.diplomatie.gouv.fr]

Bien évidemment, des âmes noires (sans doute aux deux sens du terme) le dénigrèrent, disant que sa mère avait dû être culbutée par un quelconque moricaud derrière une meule de foin et allèrent jusqu'à l'appeler "Siddi".
18 avril 2009, 00:29   Re : Felibri galejade
Mouillàdo coume oùn soupado,
Mit sécho soun feing caraco,
Sa joupe et sa camise o-dessu dé bouisson,
Més oun toro di Camargo
Lis emporto su sà corno,
Péindan qué la pitchoùn dormo
Avé countre soun coeur tou ses péti cocons.

Reconnaissez-vous ici les vers de la
vieille chanson "A la claire fontaine" ? Parodie ? Variante ? Tout est possible.

Enfant j'entendais, en français, le reproche : "tu es trempe comme une soupe !" (Mouillàdo coume oùn soupado); j'ignore si nos amis angevins, picards ou bourguignons enfants se faisaient gronder ainsi par leur mère, les déshabillant pour les changer après qu'ils avaient reçu un "ruscle" (une averse) sans être couverts.

Et tout ça ça fait, d'excellents Français, comme le chantait Maurice Chevalier, qui enjambait la "biologie" comme Mistral les langues romanes, par jeu, par bravade, par goût de l'expérimentation et du sain étirement de l'identité nationale.
18 avril 2009, 00:47   Re : Felibri galejade
Allez, parce que c'est trop joli, pour nos petits camarades nés au nord de la Loire, l'effort de traduction:

Mouillàdo coume oùn soupado,
Mit sécho soun feing caraco,
Sa joupe et sa camise o-dessu dé bouisson,
Més oun toro di Camargo
Lis emporto su sà corno,
Péindan qué la pitchoùn dormo
Avé countre soun coeur tou ses péti cocons.


Trempée comme une soupe,
Elle mit à sécher son fin caraco,
Sa jupe et sa chemise sur un buisson,
Mais un taureau de Camargue,
Les emporta sur sa corne,
Pendant que la petite dormait
Serrant contre son coeur, tous ses petits cocons.
18 avril 2009, 02:21   Re : Felibri galejade
Une de ces "âmes noires" était L-.F. Céline n'est-ce pas ?

Pierre Laval avait la gueule de l'emploi, à un point qui dépasse le dire.
18 avril 2009, 02:26   Re : Beauté de la race
Pierre Laval avait à ce point la gueule de l'emploi qu'il en avait concentré tous les traits du salaud oriental. Il avait réussi à ressembler à Staline, à Mao: même rictus, plissement satisfait, égrillard des paupières, mêmes traits adipeux, chevelure gras-mouillée, amusement devant l'Histoire.
Utilisateur anonyme
18 avril 2009, 06:18   Re : La question [bip] est aujourd'hui centrale.
Ok, d'accord : l'homme est a-biologique, la culture est a-biologique, la France (oui, surtout la France !) est a-biologique - et qu'on me fiche la paix avec ça !
18 avril 2009, 08:16   Re : Felibri galejade
De mémoire :
A l'eau de la claire fontaine
elle s'allait baigner toute nue
Une saute de vent soudaine
porta ses habits dans les nues.
18 avril 2009, 09:33   Re : Felibri galejade
« et qu'on me fiche la paix avec ça ! »

Ça c'est la meilleure ! Mais nous ne demandons pas mieux, cher Monsieur.
"tu es trempe comme une soupe !"

Dans Le français parlé à Toulouse de Jean Séguy, on trouve cette expression: "Arrête, je suis trempe". Dans la bouche d'une soubrette, je trouve ça ravissant...et encourageant!
18 avril 2009, 14:27   Jean Séguy
Bien cher Florentin,


Je suis très content que vous parliez de Jean Séguy, il fut le professeur de ma mère, au temps où la faculté des lettres se trouvait encore rue Lautmann.

Séguy, à vrai dire, n'était pas encore professeur, je ne sais si sa fonction se nommait déjà maître de conférences, mais il allait créer la chaire de linguistique et philologie romane. Ma mère lui devait d'avoir rendu attrayante l'étude rébarbative du sanscrit.
“On est sorti trempe en lavette” : expression québécoise.
J'ai entendu "trempe comme la soupe", "trempé comme la soupe" et même "tu as trempé dans la soupe"...
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