Criminalité nordique

Bien chers amis,

On découvre tout les jours des choses nouvelles, et la définition du viol évolue à grande vitesse. Voici ce que nous dit Libération :

Chaque jour en Suède, une quinzaine de personnes portent plainte pour viol. «Les victimes sont de plus en plus jeunes. En 2006, deux tiers d’entre elles avaient moins de 30 ans. Plus de la moitié étaient ivres. Et la majorité n’avait jamais rencontré son agresseur, vingt-quatre heures avant le viol.» C’est le triste tableau que dresse Christian Diesen, professeur de droit à l’université de Stockholm et coauteur de l’enquête présentée hier à Bruxelles. Une étude qui révèle que la Suède est le pays européen où sont déposées le plus de plaintes pour viol, écornant au passage l’image d’une des sociétés les plus égalitaires au monde.

Selon les statistiques du Conseil national de la prévention du crime (BRA), 5 446 personnes ont porté plainte pour viol en Suède, l’an dernier. C’est près de 15 % de plus qu’en 2007, plus du double qu’en 2000 et près de quatre fois plus qu’en 1990. «Tous ceux qui travaillent avec les victimes de viol n’ont pu que constater cette augmentation», observe Asa Regnér, secrétaire générale de l’Association suédoise pour l’éducation sexuelle (RFSU). Mais en Suède, les explications varient.

Alcool. A l’hôpital Södersjukhuset, à Stockholm, le centre d’accueil d’urgence des victimes de viol a ouvert ses portes en 2005. Depuis, la fréquentation augmente en moyenne de 10 % par an. L’an dernier, le centre a accueilli 700 personnes. «Les victimes sont de plus en plus jeunes et plus de la moitié étaient ivres», affirme Lotti Helström, médecin-chef. Pourtant, elle n’est pas convaincue que la hausse du nombre de plaintes reflète l’augmentation des viols. Au contraire. «Les discussions sur le sujet, le durcissement de la loi, ainsi que l’ouverture du centre ont contribué à ce que ce ne soit plus aussi tabou et honteux d’en parler», dit-elle. «Si les chiffres sont aussi mauvais en Suède, c’est principalement parce que les victimes osent plus souvent porter plainte», explique Christian Diesen, soulignant que «ce n’est plus socialement stigmatisant de s’identifier à la victime d’un viol». La modification du code pénal, en 2005, y est pour beaucoup.

Avant, une agression sexuelle commise sur une personne en état d’impuissance, causé par une maladie, un handicap ou la consommation d’alcool, était considérée comme un abus sexuel et non comme un viol. En février 2003, une femme de 35 ans a été agressée pendant plusieurs heures par un groupe d’hommes, dans son appartement, à Tumba, dans la banlieue de Stockholm. Quatre personnes ont été arrêtées, puis jugées. Mais toutes ont été blanchies. Motif : la victime était dans un état d’ébriété avancé. L’affaire a fait scandale en Suède, précipitant une modification de la législation.

Mais si le nombre de plaintes a augmenté aussi rapidement, c’est aussi une conséquence de «la libération des femmes et de l’affirmation de leur droit à décider de leur sexualité, estime Christian Diesen. Aujourd’hui, les femmes en Suède considèrent qu’elles ont le droit de dire non à n’importe quel moment d’un rapport et qu’une relation forcée, même sans menace ou violence, est un viol qui doit faire l’objet de poursuites.» Les jeunes filles sont souvent les premières concernées. «Faute d’expérience, elles considèrent que cela va de soi de dire non en cours de route, mais ce n’est pas toujours le cas», commente Lena Josefsson, présidente d’une association d’aide aux victimes de violence.

«Arène». La Suède, précise-elle, se trouve dans «une période de transition» : si l’égalité des sexes existe en théorie, ce n’est pas toujours le cas dans la pratique. «La sexualité est une arène où il faut plus de temps pour obtenir l’égalité que dans l’espace public», explique la sociologue Lena Berg. Chercheur au Conseil national de la prévention du crime, Klara Hradilova-Selin ne peut s’empêcher de mettre en garde contre des comparaisons internationales. Elle reconnaît cependant que l’évolution des mœurs a sa part de responsabilité dans l’augmentation des viols. Elle évoque notamment une «vie nocturne riche, des rencontres sur Internet et l’augmentation de la consommation d’alcool». Autant de facteurs qui expliqueraient que les agresseurs soient de plus en plus souvent des personnes que les victimes ne connaissent pas ou peu.

Or, si la Suède dispose du record des plaintes déposées, seulement 13 % ont donné lieu en 2006 à une inculpation et 10 % à une condamnation.

Mais qu'est-ce que ça veut dire "criminalité nordique" ???, il me semble que c'est aussi "pertinent" que de parler de "criminalité française"... Que la réalité (je veux parler de la surdélinquance immigrée partout en Europe) vous déplaise est une chose, mais que vous la travestissiez, et ce, volontairement, en est une autre.

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Norvège : 100% des viols commis par des immigrés « non-occidentaux »Posté le 17 avril 2009, 13:03 |

La police norvégienne vient de publier de nouvelles statistiques. Sur les 3 dernières années, les 41 viols qui ont donné lieu à une plainte ont été TOUS commis par des immigrés « non-occidentaux », en majorité kurdes et africains (la Norvège compte beaucoup de réfugiés somaliens).

Hanne Kristin Rohde, de la police d’Oslo, déclare que “les coupables sont des hommes étrangers relativement jeunes; ils sont souvent demandeurs d’asile et viennent de pays en guerre ou de pays qui ont un regard sur la femme totalement différent de celui qui règne en Norvège”. Ces viols s’accompagnent d’une violence très importante.

Ole Morten Lyng, du centre d’asile ‘Nordbybråten asylmottak’ déclare qu’ «il est important de comprendre la situation dans laquelle ces violeurs se trouvent, afin de faire de la prévention».

(Toutes sources et compléments d’informations : Bivouac-ID)

"Criminalité nordique" dit très bien ce qu'elle veut dire.

Vous êtes sans cesse à guetter les crimes des étrangers, ne les voyez pas partout.

Dans le cas de la Suède, il y a donc 5446 viols sur un an. A l'échelle de la France, cela ferait à peu près 40000 viols.

Le problème, à mon sens, tient à la définition qu'on donne du viol, maintenant : le seul fait d'avoir bu semble, d'après l'article, supposer qu'on a pas son plein consentement et donc qu'il y a viol ! de même lorsque le "degré de consentement" change !

Relisez-donc l'article, et vous verrez qu'il n'a rien à voir avec les immigrés (qui peuvent effectivement très bien être les violeurs, je n'en sais rien) mais beaucoup avec l'évolution de la définition.

La criminalité des immigrés ne doit pas être le seul point de notre réflexion : d'autres intervenants ont souligné cette question des dérives des définitions criminelles.

Je n'ai pas à intervenir dans vos disputes, mais puisque c'est un "forum public"...

Je crois que M. jmarc, grâce à son titre, mettait en évidence (peut-être trop*) que maintenant en Suède "une relation forcée, même sans menace ou violence, est un viol... "

Vous, M. Zendji, vous parlez d'autre chose...

Quant à moi, qui suis pourtant silencieusement souvent d'accord avec M. jmarc, je trouve tout à fait juste que soit considéré comme viol un rapport sexuel forcé même contre un chaperon rouge et ivre qui vous aurait laissé rentrer chez lui.

*Car celui qui a prononcé cette phrase était sans doute ivre lui même, ou sous la contrainte.

Modification : ajout d'une astérisque et oubli d'un pluriel.

Oups ! Je n'avais pas vu la réponse.

"La criminalité des immigrés ne doit pas être le seul point de notre réflexion..."

Ce serait mieux.

Vous êtes sans cesse à guetter les crimes des étrangers,

Vous avez raison, et ce travail de "guetteur" est éprouvant, tant ces crimes sont rarissimes...

La majest� silencieuse de la France pavillonnaire... ?

Non, tout � fait.

Reste que le pourcentage d'immigrés issu d'Afrique en prison est écrasant (entre 70 et 80 pour cent) alors même qu'ils ne sont encore que 10 pour cent de la population globale, que la justice est plutôt indulgente à leur égard et que , de plus en plus, les gens n'osent plus porter plainte contre eux de peur de leurs repésailles.

Vous avez tort, je crois, cher Jean-Marc. Les pays scandinaves, dont la libéralité des mœurs et la sécurité furent célèbres, connaissent une vague de viols dont la liaison avec l'immigration islamique est un secret de polichinelle, et il faut être Libération pour écrire un article sur la question sans aborder du tout cet aspect-là. Vous trouverez ici, là, ou encore ici, des informations à ce sujet. Il y a aussi eu un article dans Le Monde il y a quelque temps dans lequel on pouvait lire que tout le monde savait en Suède mais que personne ne voulait en parler.

Bien cher Marcel et bien chère Cassandre,


Que la contre-colonisation soit très bien représentée parmi les violeurs, je n'en doute aucunement.

Il se trouve par ailleurs que j'ai fait quelques recherches avant de "poster" cet article, et vous ne m'ôterez pas de l'esprit qu'appeler viol, au même titre que le viol bestial par une bande au fond d'un wagon d'une victime, la scène suivante :

Une jeune femme passe une soirée avec un jeune homme (ou plusieurs), s'imbibe d'alcool avec lui (ou eux), se met au lit avec lui (ou eux), fait avec lui (ou eux) certaines choses et, au bout d'un certain temps, dit qu'elle a été violée car ayant bu

me paraît totalement délirant.

Oui, bien sûr, il y a aussi le délire féministe qui aboutit à donner du viol une définition tellement extensive, et des peines prononcées parfaitement exorbitantes, du moins lorsqu'il s'agit d'affaires entre indigènes. Et toujours cette contradiction schizophrénique. J'aimerais bien lui trouver un nom à celle-là aussi.

Je me rappelle fort bien, quand le viol a commencé à être sérieusement criminalisé en France, que des avocates proches de Mme Halimi s'interrogeaient doctement sur l'opportunité des poursuites à l'encontre de "travailleurs immigrés".

Je ne sais, bien cher Marcel, si vous avez encore en mémoire cette incroyable époque, et les étourdissants commentaires de Maître Monique Antoine :

[referentiel.nouvelobs.com]
[referentiel.nouvelobs.com]

Les pays scandinaves, dont la libéralité des mœurs et la sécurité furent célèbres, connaissent une vague de viols dont la liaison avec l'immigration islamique est un secret de polichinelle

Oui, reste que de souligner un peu trop clairement cette liaison c'est courir le risque de se faire traiter de raciste - non , c'est se faire traiter de raciste, ou de rapporteur de ragots du Daily Mail... Néanmoins je comprends parfaitement le désir qu'ont certains (ici, de même que dans les médias) de focaliser sans cesse notre attention sur des questions inessentielles, ceci afin de ne pas "faire de vagues", et qui, faute d'utiliser, ou plutôt de réclammer, la censure brutale, mettent en place une sorte de détournement mental : la distraction.

Constantinople est assiégée, mais on disserte sur le sexe des anges (viol ?, demi-viol ? viol bestial ? viol avec un début ? un milieu ? une fin de consentement ? etc).

Pour ma part, je ne trouve pas que discuter sur l'extrême sensibilité actuelle aux "crimes sexuels", l'extension perpétuelle de leur champ soit parler du sexe des anges.

Bien au contraire, je vois dans cela un signe très fort de la maladie de notre société.

Cela étant, on peut effectivement transformer ce forum en un lieu où ne seront traités que les crimes des hordes ethniques, et limiter le déclin de notre civilisation à cette unique question.

Je proposerai en conséquence au Maître de Plieux, qui bénéficie de l'oreille des médias, d'abandonner par exemple tout travail sur le langage pour se pencher sur la seule criminologie.

qui bénéficie de l'oreille des médias

hum...

Double hum, si je puis me permettre...

...d'autant que l'oreille des médias n'est pas toujours un bénéfice.

Dans l'acte sexuel il est parfois difficile de savoir où commence le consentement plus ou moins extorqué de la femme et la pure et simple brutalité qui vaut viol. Les femmes , qui, avouons-le, aiment bien souvent faire les délicates, ne le savent pas toujours elles-mêmes. Elles n'ont pas, comme les hommes, l'anatomie qui atteste sans contestation possible le désir .